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Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Depuis le 6 janvier, FRÉSK, le répertoire de ressources éducatives en français pour la Saskatchewan, a délaisser la version papier du catalogue au profit d’un site web.

25 janvier 2021/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (11336)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: FRÉSK
Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Le début du semestre d’hiver est l’occasion de revenir sur l'expérience étudiante inédite à la Cité universitaire francophone de Regina depuis le début de la pandémie.

24 janvier 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (16157)/Commentaires ()/
Balises: COVID-19
Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :

 

21 janvier 2021/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (15522)/Commentaires ()/
Balises:
Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours international Ma minute francophone.

18 décembre 2020/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (14647)/Commentaires ()/
Balises:
Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Alors que Regina a obtenu l’aval du gouvernement pour le financement de nouveaux espaces scolaires, Saskatoon et Prince Albert attendent toujours. Le Comité vision des espaces scolaires francophones à Saskatoon, créé en juin 2020, a consulté la communauté pour identifier les besoins dans la ville des ponts.

11 décembre 2020/Auteur: Arthur Béague/Nombre de vues (16992)/Commentaires ()/
Balises:
Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire. Le défi : exposer de façon claire, concise et convaincante un projet d’envergure en trois minutes.

14 novembre 2020/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (13972)/Commentaires ()/
Balises:
Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est aussi président du Conseil scolaire fransaskois l’a emporté avec 70 % des voix face à son adversaire Siriki Diabagaté.

11 novembre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (13914)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Barry
Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)/Nombre de vues (15020)/Commentaires ()/
Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Selon un nouveau sondage Léger, près de la moitié des Canadiens sont au courant de la récente controverse à l’Université d’Ottawa, et plus de la moitié ont tendance à soutenir la professeure ayant prononcé le «mot en n» dans le cadre de son cours Art and Gender plutôt que les étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Francopresse)/Nombre de vues (13068)/Commentaires ()/
Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

La ministre Mélanie Joly invite le gouvernement de l’Alberta à annuler sa décision de couper le financement du campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, dans une lettre adressée au premier ministre de la province, Jason Kenney.

1 novembre 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (15620)/Commentaires ()/
Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

C'est un premier débat radiophonique parfois houleux qui a eu lieu le 20 octobre entre Alpha Barry et Siriki Diabagaté, les deux prétendants au poste de conseiller scolaire de Regina.

23 octobre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (12088)/Commentaires ()/
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Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

LE DROIT (Ontario) – Le débat autour de la suspension d’une professeure de l’Université d’Ottawa pour avoir utilisé le mot «n**ger» continue de faire rage.

21 octobre 2020/Auteur: Daniel LeBlanc e)t Julien Paquette (Le Droit)/Nombre de vues (14252)/Commentaires ()/
Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Les parents fransaskois de Regina et Saskatoon seront appelés aux urnes le 28 octobre pour choisir leur conseiller scolaire dans le cadre des élections générales du Conseil scolaire fransaskois.

15 octobre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (15071)/Commentaires ()/
Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Rentrée scolaire

La rentrée scolaire fransaskoise a eu lieu du 8 au 11 septembre partout dans la province. L’eau vive s’est entretenue avec quelques parents pour faire le bilan d’une semaine riche en émotions.

17 septembre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (14890)/Commentaires ()/
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Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.

28 août 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (14839)/Commentaires ()/
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Alpagas, paons, ânes et chevaux : un havre de paix à deux pas de Regina

Auteur: Lucas Pilleri/4 juillet 2022/Catégories: Société, Portraits et entretiens

Originaire de l’Abitibi au Québec, Charles Marcoux réside en Saskatchewan depuis 1988. Fransaskois d’adoption, il a travaillé pendant près de 30 ans à Radio-Canada avant de prendre sa retraite. Une retraite au vert près du village de Pilot Butte, à l’est de Regina, entouré de son compagnon et de ses animaux.

Avec 65 hectares de ferme, Charles Marcoux et son compagnon Brant Lynch ont de quoi respirer. « La qualité de vie, ça passe par l’espace », lâche-t-il.

Lorsque, en 1998, Brant propose à Charles d’acheter une vieille bâtisse et son grand terrain, ce dernier est dubitatif. « J’étais complètement désintéressé, confie Charles. Mais quand on a vu l’endroit, on est tombés en amour ! »

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Charles Marcoux (à gauche) et son conjoint Brant Lynch ont acheté la propriété en 1998. Ils y vivent toujours en 2022. Crédits : Courtoisie de Charles Marcoux

Une histoire d’amour qui débute avec de grandes rénovations. Et pour cause : la maison date de l’année de naissance de la province, soit 1905. « C’était en ruines, se souvient Charles. Des amis disaient que ça ne valait même pas la peine de la rénover. »

Pourtant, à force de persévérance et de labeur, le couple parvient à faire de la ferme un véritable havre de paix. « Les rénovations ont été lentes, concède le propriétaire. On a essayé de garder des éléments originaux, de garder l’atmosphère rustique. C’est 30 ans de travaux », résume celui qui vient d’ajouter un garage et un solarium à son cadre de vie.

« Une ferme pour le plaisir »

Surtout, la vie à la campagne s’accompagne vite de colocataires à poils et à plumes. Chiens, chats, chevaux, vaches, ânes, poules, alpagas et paons… Le couple se constitue au fil des ans un véritable parc animalier : « Je ne sais pas comment on s’est retrouvés avec autant d’animaux », rit Charles.

Depuis une quinzaine d’années, plusieurs alpagas vivent donc en pleine Saskatchewan. « L’idée, c’était d’avoir des fibres pour pouvoir tricoter, faire des vêtements », explique l’apprenti fermier dont le conjoint conçoit des chandails et des couvertures.

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Les alpagas Picot et Crochet viennent d’être tondus. Crédits : Courtoisie de Charles Marcoux

Les poules, elles, participent à la réduction des déchets. « Elles sont essentielles. Ça mange tout ! Il n’y a aucun gaspillage avec des poules », souligne Charles. Quant à eux, les ânes jouent le rôle de protecteurs contre les prédateurs comme les coyotes.

D’autres animaux, certes moins utiles, sont simplement là pour le plaisir des yeux, à commencer par les paons. « C’est un oiseau unique, incroyable. Quand il fait la roue, tout le monde tombe à terre », note Charles, qui a le bonheur de récolter chaque année les plumes tombées à l’automne.

Une autre vie

À 61 ans, Charles Marcoux est à la retraite depuis 5 ans. Ancien journaliste et réalisateur à Radio-Canada pendant 27 ans, l’homme de profession intellectuelle a dû adopter une toute nouvelle routine de vie. Conduire un tracteur, prendre soin des animaux, s’occuper de deux jardins potagers, rénover et réparer, tel est son quotidien. « Ce ne sont pas forcément les animaux qui prennent le plus de temps ! », s’exclame-t-il.

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Charles Marcoux (à gauche) et son conjoint Brant Lynch ont acheté la propriété en 1998. Ils y vivent toujours en 2022. Crédits : Courtoisie de Charles Marcoux

Auparavant, Charles menait une vie citadine, aux antipodes de la vie à la ferme. « Quand je travaillais, c’était une façon de sortir complètement du bureau, de penser à autre chose, de respirer, d’avoir une vie complètement à part de la vie quotidienne », se remémore-t-il.

Aujourd’hui, le retour en arrière lui semble impossible : « Je ne me verrais plus vivre dans un petit espace en ville. Ça fait 30 ans maintenant que je vis ici et je n’irais nulle part ailleurs ! Pour moi, c’est la vie idéale. »

 

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Lucas Pilleri

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 - samedi 1 juin 2024