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Festival fransaskois 2024

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34251)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25422)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (37925)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (21370)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21143)/Commentaires ()/
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Prendre soin de sa santé mentale durant une pandémie

Prendre soin de sa santé mentale durant une pandémie

Auteur: Francine Proulx-Kenzle/1 juillet 2020/Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, Société, Santé, Tabou No More - Réflexions sur la santé mentale

J’aime le mois de juin, à mi-chemin de l’année, pour plusieurs raisons. La promesse d’été, les journées de chaleur, l’espoir des semences dans les champs voisins et dans mon jardin, et la plus longue journée de clarté. Ajoutons à cette liste les célébrations de la fête des Pères, de la Journée nationale des peuples autochtones, de la Saint-Jean-Baptiste, de la fin de l’année scolaire, des fêtes des finissants et des festivals de la Fierté.

On ne s’en cache pas, plusieurs d’entre nous ont été déçus d’avoir été obligés d’annuler ou de modifier ces célébrations qui font partie d’un mois de juin « normal ». Nous avons été forcés de repenser ces célébrations autrement. Les festivals de la Fierté offrent une programmation virtuelle, les fêtes des finissants ont pris des tournures créatives, et que dire de la fin de l’année scolaire... Vive la résilience et la créativité !

On peut bien se demander « Quand serons-nous de retour à la vie normale ? » Entre-temps, on doit suivre les directives de l’Autorité de la Santé, faire du télétravail ou, pire, encaisser la perte de son emploi. Et que dire de cet isolement général forcé depuis la mi-mars ? Des semaines sans voir ses proches et sans sortir avec ses amis.

Avec l’assouplissement des règles de confinement arrivent les divergences de compréhension : c’est quoi encore ma bulle ? Masque ou pas masque ? On pourrait dire que nous avons perdu un semblant de contrôle sur nos choix. Oui, la perception de perte de contrôle est évidente.

Sauf que nous avons toujours le contrôle sur nos attitudes. Victor Frankl, prisonnier du camp de concentration à Auschwitz, écrit : « Tout peut être pris à un homme sauf une chose : celle de choisir son attitude dans des circonstances données, de choisir sa propre voie. » (extrait du livre Découvrir un sens à sa vie)

Cette citation vient renforcer ma philosophie : le choix de mon attitude et de ma réaction m’appartient. Durant cette pandémie, je peux choisir de réagir avec frustration et de m’apitoyer sur mon sort. Je peux aussi choisir une attitude parsemée d’énergie positive. Et souvent, pour moi, ces différentes attitudes sont entremêlées. Normal, dans le cadre de ce changement inédit de notre quotidien.

On dit que la vulnérabilité est notre plus grande force. J’y crois. Ne pas avoir honte de ressentir ses émotions, que ce soit la peur, la colère, la tristesse, et avoir de la compassion envers soi-même peut nous être utile pour passer à travers cette épreuve.

Sachez que notre santé mentale est aussi unique que notre empreinte digitale. Elle dépend de plusieurs facteurs qui peuvent même changer d’un jour à l’autre. En fait, notre bien-être global se tient sur un continuum, composé de 4 différentes dimensions : notre santé physique, notre santé mentale, la spiritualité et la dimension émotionnelle.

Comment on choisit de jongler ces différentes dimensions pour équilibrer son bien-être global nous appartient. Rappelons-nous deux choses : premièrement, nous n’avons pas besoin de faire ce jonglage seul ; deuxièmement, il est normal de se sentir fragilisé ou vulnérable.

Heureusement, la technologie nous ouvre des portes. Les ressources en ligne sont abondantes et incluent du soutien supplémentaire et même de l’aide professionnelle virtuelle.

En conclusion, je vous souhaite un magnifique été pour vous ressourcer. Et surtout, n’hésitez pas à demander de l’aide ! Voici deux agences canadiennes reconnues pour leur appui dans le domaine de la santé mentale :

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Francine Proulx-Kenzle

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 - vendredi 28 juin 2024