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Un nouveau groupe de parents, de nouvelles exigences auprès du CSF

Un nouveau groupe de parents, de nouvelles exigences auprès du CSF

Il y a maintenant un nouveau groupe de parents qui fait pressions sur le Conseil scolaire fransaskois.

17 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (21959)/Commentaires ()/
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Un poisson d’avril épicé

Un poisson d’avril épicé

Le 1er avril, certains élèves de 7e année de l’école Mgr Laval ont cuisiné un poisson d’avril des plus pimentés à leur directeur. 

10 avril 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (28352)/Commentaires ()/
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Célébration de la semaine des adultes apprenants

Depuis 2000, l’UNESCO a initié la célébration de la semaine des adultes apprenants qui vise la promotion de la culture de l’apprentissage tout au long de la vie; une occasion donnée aux adultes d’exprimer leurs points de vue, expliquer leurs défis et de faire part de leurs réussites. 

3 avril 2014/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (31367)/Commentaires ()/
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Zoé Kendel de Prince Albert se mérite un prix national en écriture

Zoé Kendel de Prince Albert se mérite un prix national en écriture

Zoé Kendel, élève de la 11e année à l’école Valois, s’est méritée la première place dans la catégorie sénior d’écriture du concours « J’écris et je crée! – guerre de 1812 » de Historica Canada.

2 avril 2014/Auteur: Jennie Baudais/Nombre de vues (32181)/Commentaires ()/
Balises: École Valois
Ouverture officielle du PSQV et du Carrefour Horizons

Ouverture officielle du PSQV et du Carrefour Horizons

C’est le jeudi 20 mars dernier qu’a eu lieu l’ouverture officielle de l’édifice qui abrite le pavillon secondaire de l'École Mgr de Laval.Même si le Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de l’école Mgr de Laval est en pleine action depuis le début de l’année scolaire et que le Carrefour Horizons abrite une dizaine d’organismes fransaskois depuis près d’un an, c’est le jeudi 20 mars dernier qu’a eu lieu l’ouverture officielle de l’édifice. 

27 mars 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (35332)/Commentaires ()/
Journée de la francophonie

Journée de la francophonie

Je me souviens...

Portrait croisé de deux pionniers, à qui l’éducation en français tient à cœur depuis longtemp: Roger Gauthier et Wilfrid DenisTous les élèves du secondaire se sont retrouvés dans l’amphithéâtre du Pavillon Gustave Dubois pour écouter deux personnes qui connaissent le chemin parcouru depuis la petite École canadienne-française, qui comptait quelques élèves il y a une trentaine d’années, jusqu’aux pavillons élémentaire et secondaire, qui accueillent désormais plusieurs centaines d’élèves.

27 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (23623)/Commentaires ()/
Braver les routes enneigées pour honorer l’orthographe et la grammaire

Braver les routes enneigées pour honorer l’orthographe et la grammaire

Mercredi matin 12 mars. L’ambiance est pesante au bistro du Carrefour des Plaines à Regina. Les responsables de l’école Mgr de Laval scrutent nerveusement la rue Hillsdale dans l’espoir de voir arriver les participants de la finale provinciale de la dictée Paul Gérin-Lajoie (PGL). 

20 mars 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (24990)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Conférence de Nancy Doyon, Coach familial

Nancy Doyon aide les enfants dans leur famille, mais aussi à l’école. 

6 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (26418)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation

Le CÉFOU « en pause » pour le printemps 2014

La nouvelle a fait le tour de la fransaskoisie : cette année le CÉFOU n’aura pas lieu en 2014.

6 mars 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25737)/Commentaires ()/
Balises: CÉFOUCÉF
Le nouveau cabinet Juristes Power

Le nouveau cabinet Juristes Power

Un appui aux conseils scolaires francophones en période turbulente

Mark Power dirige un nouveau cabinet bilingue à mandat national et réunissant dix passionnés de droit. Les conseils scolaires francophones comptent sur lui pour traverser des années sombres pour la jurisprudence.

6 mars 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (21300)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Mgr de Laval à l’école du recyclage

Les élèves de Mgr de Laval à l’école du recyclage

Visite des élèves de Mgr de Laval aux installations de recyclage de Regina.

6 mars 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (27249)/Commentaires ()/
Symposium des 2014 de l’Association des parents fransaskois

Symposium des 2014 de l’Association des parents fransaskois

Toutes les familles étaient invitées au Pavillon Gustave Dubois, ce samedi 1er mars, pour échanger sur des thématiques liées au bien-être et à la sécurité des petits comme des grands. 

6 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (23423)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: parents

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33915)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (25180)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (37465)/Commentaires ()/
Balises: FormationCCS
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Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert

Entrevue avec Annamie Paul, nouvelle cheffe du Parti vert

Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/8 octobre 2020/Catégories: 2020, Politique

FRANCOPRESSE – En entrevue avec Francopresse, Annamie Paul souligne que «nous avons seulement une dizaine d’années pour nous attaquer à la crise climatique». Francopresse a pu aborder, avec la nouvelle cheffe des verts, de nombreuses thématiques dont le revenu minimum garanti, la place du Parti vert sur la scène fédérale et la situation du français en milieu minoritaire. Le tout, dans la langue de Molière.

Francopresse : Félicitations pour votre victoire. Elizabeth May a été à la tête du Parti vert pendant près de 15 ans, comment envisagez-vous reprendre le flambeau?
Annamie Paul : D’abord je dois remercier Elizabeth pour tout son excellent travail, et j’ai vraiment hâte de travailler avec elle. Elle est une membre de notre caucus et je suis vraiment ravie. Moi, je suis là pour reprendre le flambeau et essayer de rassembler plus de Canadiens et plus de membres vers notre parti pour soutenir nos idées et contribuer à élire plus de verts pour que nos politiques puissent entrer dans notre vie politique et aider les Canadiens.

Elizabeth May

Elizabeth May

Elizabeth May a été à la tête du Parti vert pendant près de 15 ans. Réélue le 21 octobre 2019 dans sa circonscription de Saanich-Gulf Islands, elle a annoncé sa démission comme cheffe de parti le 4 novembre alors que les Verts sont arrivés en cinquième position quant aux votes exprimés.

Crédit : Archives Francopresse

La priorité des verts a toujours été la sauvegarde de l’environnement. Cependant, les autres partis politiques prennent aussi un virage écologique sous la pression populaire. Comment comptez-vous positionner le parti dans ce paysage?

Je vais continuer de résister à l’idée que tout est réglé, que tous les partis politiques ont leur plan pour l’environnement et pour le climat. Le fait reste que le Parti vert est le seul parti, parmi les partis majeurs au Canada, qui a proposé un plan et des cibles qui correspondent à la science. Et nous avons seulement une dizaine d’années pour nous attaquer à la crise climatique.

Votre discours inaugural a mis l’accent sur l’importance de la diversité. Comment est-ce que le Parti vert compte faire la promotion de la diversité?

En élisant la première personne, pas même [seulement la première] femme, la première personne noire au Canada, et la première femme juive au Canada [à la tête d’un parti politique fédéral, NDLR]. Ce sont deux choses historiques. C’est un signal de nos membres qu’ils veulent prioriser la diversité et qu’ils comprennent bien que c’était une grande lacune aux plus hauts niveaux de notre vie politique.

Le public place souvent le Nouveau Parti démocratique et le Parti vert dans le même espace politique. Comment est-ce que le Parti vert se distingue du NPD?

Notre parti est le plus progressiste parmi les partis majeurs, qui incluent le NPD. J’étais candidate lors de la dernière élection et notre parti était le seul de parler d’une décriminalisation des drogues, d’une éducation postsecondaire universelle, d’un revenu minimum garanti. On veut coopérer avec eux et les autres partis sur ces enjeux, mais on était les premiers et on reste les plus progressistes.

Quelle est la perspective du Parti vert sur le français en situation minoritaire? 

Mes deux enfants font partie de la francophonie, ils ont fait leur éducation ici et à l’étranger en français. J’ai été très fière d’inscrire mon fils dans le système public français, ici en Ontario.

Mais en matière de politiques publiques, comment est-ce que le Parti vert va supporter le français en situation minoritaire?

Ça commence par s’assurer que nous sommes complètement bilingues et travailler avec notre caucus francophone au Québec et hors du Québec pour créer des politiques pour soutenir ces communautés minoritaires. 

Nous avons parlé de ça dans notre programme de 2019 [il y a une clause sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles dans la plateforme de 2019 du Parti vert, NDLR]. Et nous allons avoir une convention en 2021 pour renouveler nos politiques, je sais que c’est un des enjeux dont nous allons discuter l’année prochaine.

Un des enjeux avec l’éducation en français en milieu minoritaire est la pénurie d’enseignants. Est-ce que vous croyez qu’il devrait y avoir un plus grand rôle pour le gouvernement fédéral dans l’éducation postsecondaire?

C’est très intéressant comme idée. Je sais que nous avons besoin de solutions, parce que l’éducation dans la langue seconde est une énorme barrière pour les francophones qui veulent apprendre l’anglais et l’inverse pour les anglophones, et ça devient un grand souci pour moi parce que ça revient à marginaliser des personnes qui sont déjà marginalisées, et ça devient un luxe d’apprendre notre langue seconde.

Donc j’aimerais bien voir les gouvernements provinciaux et le gouvernement fédéral coopérer sur la création d’un vrai plan d’action pour former des professeurs et avoir une société qui soit vraiment bilingue.

Vous êtes candidate à l’élection partielle dans Toronto-Centre, une circonscription où vous avez terminé 4e lors de la dernière élection. Quelle est votre stratégie pour l’emporter cette fois?

Maintenant que je suis cheffe d’un parti majeur fédéral, j’espère que ça va attirer plus d’intérêt parmi les résidents et dans la presse. Aussi, nous sommes en plein milieu d’une crise sans précédent. La pandémie a changé beaucoup de choses dans cette circonscription, et pour le pire. Donc les gens ont besoin vraiment d’une représentation vraie et concrète, et ça fait plusieurs années qu’ils n’ont pas reçu ça du Parti libéral.

Finalement, je crois que les gens cherchent quelque chose d’autre. Ils voient que ce qu’ils ont ne marche pas, que les politiques ne marchent pas, donc ils souhaiteront peut-être faire un choix différent dans cette élection.

Scénario hypothétique : vous devenez première ministre du Canada, avec un gouvernement majoritaire. Quelles seraient vos trois priorités?

Il faut créer des cibles et un plan pour attaquer la crise climatique.

Il faut saisir cette opportunité dans les prochains mois et années de prendre tout l’argent que nous allons investir dans notre économie pour accélérer une transition vers une économie verte, qui est une économie soutenable, juste et équitable.

Et finalement, il faut compléter notre filet social pour que la prochaine fois que nous serons en crise, nous ayons une valve afin d’être plus résilients et d’éviter le pire pour les citoyens canadiens.

Le Parti vert préconise une transition vers une économie verte. Comment s’assurer de ne pas plonger certaines provinces économiquement dépendantes du pétrole, comme l’Alberta et la Saskatchewan, dans une crise économique?

C’est une excellente question. Notre but doit être de faire la transition de manière juste et équitable. La réponse, c’est que nous pouvons investir dans l’économie du futur.

C’est extrêmement irresponsable des gouvernements successifs en Alberta, en Saskatchewan et à Terre-Neuve-et-Labrador de ne pas avoir diversifié leur économie. Là, c’est le moment, nous sommes en train de planifier un investissement sans précédent dans notre économie.

Si on investit sagement dans les infrastructures vertes, dans les technologies propres et dans les énergies renouvelables, ce sont des secteurs où les travailleurs peuvent transférer leurs compétences actuelles directement à ces emplois, et on sait que les emplois dans l’économie verte produisent presque huit emplois par million de dollars investis. En comparaison, un investissement d’un million dans le secteur pétrolier en produit moins de trois.

Alors c’est une bonne nouvelle pour le futur de ces provinces, et j’espère que leurs premiers ministres vont saisir cette opportunité pour finalement diversifier leur économie.

Est-ce qu’une transition économique de cette ampleur peut être réalisée sous les échéances très courtes qu’imposent les changements climatiques?

C’est un processus qui va prendre du temps. Il y a des choses que nous pouvons faire immédiatement, mais il y a des choses qui vont prendre plus d’années.

Mais nous avons l’opportunité d’accélérer cette transition en ce moment, parce qu’il y a un consensus parmi les partis fédéraux, il y a un consensus international parmi les grandes économies, qu’il va être nécessaire de dépenser des centaines de milliards de dollars pour réanimer nos économies [à la suite de la COVID-19]. Si on investit dans les secteurs dont je viens de parler, on peut dramatiquement accélérer notre transition.

Plusieurs politiques du Parti vert s’appuient sur des négociations avec d’autres paliers gouvernementaux. Qu’est-ce qui arrive si les gouvernements provinciaux ne sont pas intéressés par les politiques que vous proposez?

C’est vrai, notre approche c’est toujours de coopérer et de collaborer. Et ça va être nécessaire d’avoir une bonne collaboration pour créer toutes ces politiques et pour les mettre en œuvre.

Moi, je vois que les Canadiens ont beaucoup aimé la coopération qui existe en ce moment entre les différents niveaux de gouvernement pour lutter contre la pandémie. Et je crois qu’ils vont insister de plus en plus dans le futur pour que leurs représentants collaborent et coopèrent.

Mais sinon, il faut trouver d’autres moyens de faire ce qui est nécessaire. Parce quand on parle de la crise climatique, de l’accès aux médicaments ou d’un revenu minimum garanti pour les Canadiens, ce sont des questions nationales, dans certains cas de sécurité nationale, donc ce n’est pas uniquement la juridiction d’une province ou l’autre.

À noter que les propos ont été réorganisés pour des raisons de longueur et de cohérence.

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Francopresse

Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)

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 - vendredi 17 mai 2024