Le Rendez-vous fransaskois qui avait lieu du 1er au 7 novembre touchait un sujet sensible et urgent : l’éducation. Dans cet article, vous trouverez un résumé des discussions qui ont eu lieu à ce sujet.
L’inclusion et l’intégration sont au cœur des discussions de la Semaine nationale de l’immigration francophone, organisée du 9 au 13 novembre par la Fédération des communautés francophones et acadienne.
En ce jour du Souvenir, je me souviens d'un combattant d'une autre sorte : Serge Bouchard, anthropologue, auteur, conférencier, animateur, décédé il y a exactement six mois, le 11 mai 2021.
Pour Michel Vézina, on commémore plus que le désastre de la Première Guerre mondiale en ce jour du Souvenir.
En ce jour du souvenir, nos pensées se tournent le plus souvent vers cette « masse anonyme » de soldats qui, pourtant, possèdent tous une identité propre. Parmi eux, deux jeunes Fransaskois dont nous retraçons l’histoire ici.
Extraits du recueil de poésie photographique À fleur d’âge, publié par Estelle Bonetto aux Éditions de la nouvelle plume en 2018.
Jetez un coup d'oeil à l'histoire de l'Eau vive : le dépositaire de l’action collective de la communauté fransaskoise et pilier fondamental de son développement depuis 1971.
Parmi les bâtisses vides situées sur la rue principale de Robsart, on trouve une quincaillerie, un garage, un centre communautaire, un hôpital et des maisons.
Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la Société historique de la Saskatchewan compte numériser tous les numéros de L’Eau vive publiés entre 1971 et 1998, soit 1 095 éditions, ou pas moins de 16 000 pages.
Dégoter des livres en français en milieu francophone minoritaire est loin d’être évident.
À travers ses cinquante ans d’existence, L’Eau vive est restée et continue d'être fidèle à la communauté fransaskoise.
Alors que l'Alberta vient d'annoncer son projet de devenir un grand exportateur d'hydrogène, voici tout ce que vous devez savoir sur ce gaz qui est sur toutes les lèvres.
Quarante ans après le rapatriement de 1982, le projet d'une constitution canadienne entièrement bilingue demeure inachevé.
« Le journal raconte toutes les réussites, les moins bons coups, notre vie finalement », obseve Marie-France Kenny, ancienne présidente du conseil d’administration de la Coopérative des publications fransaskoises.
Tel un « saut quantique », la pandémie nous a tous propulsés dans un nouveau paradigme, éclatant au passage les fondations de nos vies en morceaux.
L’Eau vive a connu de nombreux moments difficiles où le naufrage a parfois semblé proche. Laurier Gareau témoigne que « le journal a dû fermer ses portes à au moins deux reprises ».
Savez-vous donc ce que signifie cauxer, avoir du garnigouaine, ou encore haspar ?
Facilitations aux Fransaskoises Anne Leis et Françoise Sigur-Cloutier, deux nouvelles membres de l'Ordre des francophones d'Amérique.
Durant 50 ans, L’Eau vive a dû surmonter de nombreuses difficultés, mais le journal fransaskois a aussi connu plusieurs succès remarquables.
Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.
Les pionniers du journal L’Eau vive avaient une vision : doter la Saskatchewan et la communauté francophone d’un outil de communication en français.
« J’utilise les matériaux que l’on retrouve dans l’Ouest canadien, en particulier une argile qui provient de Claybank et Eastend dans le sud de la Saskatchewan. »
— Claude Morin, céramiste fransaskois
La nouvelle ministre des Langues officielles, Ginette Petitpas Taylor, affirme que le projet de loi sur la modernisation de la Loi sur les langues officielles sera déposé dans les 100 premiers jours du gouvernement.
« Quand on est en position de leadership, on doit prendre des coups », affirme le directeur de l’Association des parents fransaskois Abdallah Oumalek.
Qui aurait cru qu'on aurait pu faire appel à autant de créativité et sonder les facettes inexplorées de notre environnement en créant des cartes de bingo!
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.