Le printemps est enfin arrivé ! On sort de nos grottes, les yeux plissés devant tant de lumière. Le soleil réchauffe nos corps meurtris, les oiseaux chantent et la voiture démarre du premier coup ! Encore quelques jours et chaque contre-allée de la ville sentira bon la viande grillée et les éclats de rire résonneront dans tous les jardins.
Il a beau être parti, il nuit encore. Quand l’homme quitte un lieu, inutile d’être Sherlock Holmes pour savoir qu’il y est passé. L’homme artificialise, construit, bétonne pour y développer ses activités, bien souvent lucratives. Quand les ronds ne rentrent plus, il va voir ailleurs si le vent est plus porteur.
Que vous soyez un ornithologue aguerri capable de reconnaître l’âge d’une mésange qui chante à 8 kilomètres, ou un simple amateur qui s’émerveille devant ces petites boules de plumes capables de survivre à -40°C, we want you !
Qui n’a jamais rêvé de contribuer à l’avancée de la science, tout comme Charles Darwin en son temps, ce naturaliste britannique du 19e siècle dont les découvertes scientifiques sont encore le fondement de la biologie moderne ? C’est possible aujourd’hui.
La nuit tombée, si vous regardez le ciel, les scientifiques estiment qu’un point lumineux sur 15 correspond à un satellite. Un constant aberrant il y a encore dix ans, mais nous avons tout intérêt à nous en réjouir au vu des prévisions.
Elles sont souvent dans l’ombre, mais cette semaine elles sont à l’honneur ! En plein soleil, là seul où elles peuvent photosynthétiser, les plantes rares des Prairies canadiennes oxygènent notre vie.
Vieille de 1 732 ans, cette expression signifie « décider de tout, se croire tout permis ». L’Homme, dans sa soif perpétuelle de contrôle absolu, endosse depuis plusieurs décennies le costume de Dieu de la météo. Mais à quel prix ?
Véritable fléau pour les animaux sauvages et les animaux d’élevage, la grippe aviaire entraîne des répercussions catastrophiques à l’échelle mondiale.
Une centaine d’oiseaux d’Amérique du Nord portent des noms honorifiques, dont certains sont très difficiles à porter. Un mouvement en plein essor vise aujourd’hui à les remplacer par souci d’inclusion.
Devant ce bal majestueux qui pousse des milliers d’oiseaux à venir passer l’été dans nos contrées, il en est une qui sort du lot, moderne et unique. Coup de projecteur sur une espèce animale matriarcale : les phalaropes de Wilson.
Conséquence directe du changement climatique, la production de graines de moutarde en Saskatchewan connaît un coup d’arrêt cette année et les conséquences s’en ressentent jusqu’au-delà de l’Atlantique.
La capitale de la Saskatchewan devient la 5e ville du Canada à recevoir le précieux trophée de Ville amie des oiseaux.
Un article scientifique de l’Université de la Saskatchewan s’intéresse aux différents mécanismes conduisant au déclin des populations du caribou des bois dans la province.
Cette semaine, la chronique environnement d'Arthur Béague parle d'un mythe, une quête pour certains, et un rêve inaccessible pour d’autres : la chouette lapone.
Le groupe SaskOutdoors qui œuvre pour les loisirs de plein air et la responsabilité environnementale en Saskatchewan tiendra un module d’activités pédagogiques en français le 30 novembre autour de l’eau.
Alors que l'Alberta vient d'annoncer son projet de devenir un grand exportateur d'hydrogène, voici tout ce que vous devez savoir sur ce gaz qui est sur toutes les lèvres.
Ayant frôlé l’extinction des mains des colons européens, les castors recolonisent aujourd’hui une grande partie de leur aire de répartition historique, y compris les cours d’eau des grandes villes.
Dernier chapitre de notre série sur l’Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan. Nous partons pour le Nord.
L’Atlas des oiseaux nicheurs de la Saskatchewan renseigne sur la situation de n’importe quelle espèce dans une région ou parcelle particulière.
La Saskatchewan repose sur l'agriculture et les ressources, Est-ce de quoi affronter le futur en toute sérénité ? Des scientifiques se sont penchés sur la question.
Le plus petit renard d’Amérique du Nord, de la taille d’un gros chat, est un pur habitant des prairies.
La vraie info du mois de mars est l’arrivée des pélicans d’Amérique pour le Pelican Watch Contest de la Meewasin Valley Authority.
Le Consortium national de formation en santé veut comprendre les influences culturelles de la communications en santé.
La Saskatoon Nature Society (SNS) est une organisation caritative dont l’objectif est de promouvoir l’appréciation de la nature.
Connaissons-nous bien la rivière Saskatchewan, l’une des plus grandes du Canada, et les menaces qui pèsent sur elle?
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.