Je me suis trouvé un nouveau passe-temps qui me permet d’être dehors et de faire de la photo : j’explore des ruelles à la recherche de vieilles voitures.
Le mois passé, je vous ai fait part du fait que la revue National Geographic ne sera plus vendue dans les kiosques en 2024.
Je sens mon poil de main qui brûle. Pas grave, j’en ai beaucoup. D’ailleurs, un peu de poil qui passe au feu est bon signe.
Avez-vous déjà entendu parler du Rallye des Minounes ? C’est un événement qui se tient dans le nord du Québec chaque hiver, et ce n’est sans doute pas ce qui vous vient en tête.
La célèbre revue National Geographic n’est plus disponible dans les kiosques. Le magazine est imprimé en ligne, mais la dernière édition en papier vendue au public était celle de décembre 2023.
Un cartographe a créé en 2022 une carte des communautés fransaskoises. Un document passé un peu inaperçu qui pourrait pourtant inspirer les visiteurs à mieux découvrir la fransaskoisie.
Une foule se réunit sous une grande tente installée devant la bibliothèque de Lethbridge. L’auteur d’un nouveau livre se place devant nous. Il commence à décrire son voyage en kayak entre l’île de Vancouver et l’Alaska. J’ai hâte d’entendre son histoire.
En raison de l’absence de neige, plusieurs activités d’hiver sont impraticables. Alors je vous propose une aventure sur internet : un site qui contient un grand nombre de vieux journaux francophones de l’Ouest canadien, dont certains remontent à 1871. Explorons-les !
Certains emplois sont plus dangereux que d’autres. Les pilotes dans le Grand Nord prennent d’énormes risques à voler dans des conditions extrêmes. Dominique Prinet, lui, a survécu à de nombreux incidents qui ont mis en péril sa vie. Il les décrit dans ses mémoires, intitulées Pilote du bout du monde.
La Fransaskoise Alice Brown, née Hébert, garde dans sa cuisine une veille photo en noir et blanc : le portrait de son père en uniforme militaire. Chaque année, au jour du Souvenir, son journal local à Maple Creek publie la photo, ainsi que celle de son frère Maurice Hébert, pour rendre hommage aux anciens combattants fransaskois. Voici leur histoire.
L’Action de grâce nous encourage à être reconnaissants et nous aide à vivre avec un sentiment de bien-être. J’apprécie le rôle que l’aventure joue dans ma vie et, durant l’Action de grâce, j’ai donc entrepris une petite aventure : voir de la lutte professionnelle.
J’attendais ce moment depuis des années. En 2016, je m’étais donné le but de parcourir 500 000 km avec mon camion. Le moment tant attendu est finalement arrivé.
L’été arrive trop tard et se termine trop tôt. Hélas, telle est la vie au Canada. Pour bien conclure l’été, j’ai entrepris un dernier voyage en canot et, déjà, l’automne s’annonce par des voies plus ou moins subtiles.
À quoi pourrait ressembler un voyage autour de la planète sans engin motorisé ? L’Ontarien Markus Pukonen le sait puisqu'il vient de l’accomplir, et cela lui a pris 8 ans.
Cinq aventuriers sont décédés lors d’une descente vers l’épave du Titanic. La tragédie est survenue le 18 juin lorsque leur submersible aurait implosé.
Le voyage à moto d’un an continue pour l’aventurier français Morgan Bernoux qui traverse l’Afrique depuis le mois de janvier. Je l’ai rattrapé alors qu’il venait de franchir la frontière de la Zambie. Le voyageur décrit ses péripéties.
Je compose son numéro de téléphone. Ce sera la première fois qu’on se parle depuis 15 ans. Je suis à la fois curieux et nerveux. Ça sonne. Elle répond. Sa voix n’a pas changé. C’est la même Carole. On a beaucoup à se dire.
Notre série sur le tourisme se termine par la découverte d’un endroit peu connu, mais qui renferme un bon nombre de mystères : le site historique Doug Richards. Je n’ai pas l’ombre d’un doute que les amateurs d’histoire, d’archéologie et d’artéfacts autochtones sauront apprécier sa visite.
Notre série sur le tourisme en Saskatchewan se poursuit avec le musée Notukeu de Ponteix. Ce dernier souligne la passion d’Henri Liboiron, un fermier qui a rassemblé l’une des plus grandes collections d’artéfacts des Premières Nations de l’Ouest.
Ce printemps, je vous propose une série d’articles dans le but de promouvoir le tourisme en Saskatchewan. Je m’y prends à l’avance afin de vous donner le temps de planifier vos vacances d’été. Commençons avec le fort Walsh, ce site historique dans les collines de Cyprès.
Je regarde l’heure : il est 17 heures passé, alors les employés seront partis. C’est le moment d’aller là où je ne devrais pas, soit au milieu des trains près de l’élévateur à grain. Pourquoi ? Car je veux prendre en photo un graffiti.
Il existe une rivalité entre mon père et moi. Chaque printemps, nous nous lançons dans un concours un peu spécial : être le premier à voir un gopher. Qui a gagné cette année ?
« Regarde », me dit ma voisine, « l’hôtel au centre-ville est en feu ! » Elle me montre les nouvelles sur son téléphone. Intrigué, j’y vois le potentiel d’une aventure, alors je me précipite vers l’incendie.
Vous avez sûrement déjà été témoin de ça : vous vous retrouvez dans un groupe pour une activité de plein air, telle que du camping ou du ski de fond, et les gens passent leur temps à parler de leur équipement. Mais est-ce là l’essentiel ?
Le 28 janvier est une journée importante pour moi. Ce même jour en 2013, je suis arrivé en canot à La Nouvelle-Orléans après un voyage de huit mois et 3 270 miles, soit 5 232 km. Depuis, dix ans se sont écoulés et j’ai eu la chance de réfléchir sur mon expérience et la façon dont elle m’a transformé.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.