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Assemblée des députés communautaires: du PDG à l’Académie Rivier

Assemblée des députés communautaires: du PDG à l’Académie Rivier

Pour la deuxième fois cette année, les députés de l’Assemblée communautaire fransaskoise se sont réunis en ligne pour discuter des enjeux touchant la fransaskoisie.

11 juin 2021/Auteur: Emmanuel Masson – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (18223)/Commentaires ()/
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Les Fransaskois de Saskatoon se préparent à recevoir une nouvelle école élémentaire

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D’ici 2025, les francophones de la ville des ponts sont consultés pour identifier leurs besoins en infrastructure en vue de la construction d'une nouvelle école élémentaire.

27 mai 2021/Auteur: Emmanuel Masson – IJL – Réseau.Presse/Nombre de vues (16208)/Commentaires ()/
Académie Rivier : la fransaskoisie attend un signal du gouvernement

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Le budget provincial ne fait aucune mention d’aides financières dans le projet de transformation de l’ancienne Académie Rivier de Prince Albert en un centre scolaire communautaire francophone. 

17 mai 2021/Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (17283)/Commentaires ()/
Révéler nos racines avec un nouveau guide pédagogique

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Carmen Campagne vient garnir la collection « Atelier » du CCF destinée aux écoliers afin de leur faire découvrir les grands personnages de la culture fransaskoise.

26 avril 2021/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (17690)/Commentaires ()/
Il y a urgence d’agir en éducation postsecondaire en français

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Disparition de programmes à l’Université Laurentienne, compressions au Campus Saint-Jean et à l’Université de Moncton, budget à l’encre rouge à l’Université Sainte-Anne, réduction du financement à l’Université de Saint-Boniface : l’éducation postsecondaire en français en contexte minoritaire est en difficulté.

21 avril 2021/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (15599)/Commentaires ()/
L’Afrique au programme de la Cité universitaire francophone de Regina

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La Cité universitaire francophone de Regina proposera dès la rentrée prochaine une mineure bilingue en études africaines.

24 mars 2021/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (16455)/Commentaires ()/
Comment démarrer une garderie francophone en milieu familial ?

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Le CÉCS a offert le 6 mars un atelier virtuel sur le démarrage d’une garderie en milieu familial.

22 mars 2021/Auteur: Sarah Vennes-Ouellet/Nombre de vues (15529)/Commentaires ()/
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Prince Albert: Le projet de l’école Rivier expliqué à la communauté

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Les détails du projet d’acquisition de l’Académie Rivier de Prince Albert ont été explicités au cours d’une session d’information.

6 mars 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (18362)/Commentaires ()/
Le Mois de l'histoire des Noirs à l’honneur au CÉF

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Nos directrices et directeurs d’écoles témoignent

À l'occasion du Mois de l'histoire des Noirs nous vous offrons trois témoignages de trois directions d'écoles fransaskoises.

23 février 2021/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (12393)/Commentaires ()/
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La communauté réaffirme son soutien au projet de Prince Albert

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Le ministre de l’Éducation a rencontré les présidences d’organismes fransaskois afin de discuter du projet de nouvelle école francophone à Prince Albert.

4 février 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (14536)/Commentaires ()/
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Éducation en français sous respirateur artificiel

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Ça va mal dans le monde de l’éducation universitaire en français en Ontario

3 février 2021/Auteur: Réjean Grenier/Nombre de vues (13845)/Commentaires ()/
La notation humanitaire, un « soulagement » pour la population étudiante

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Des universités canadiennes ont adopté un système de notation où les étudiants peuvent désormais choisir la mention « réussite » ou « échec »

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École en pandémie : manque de ressources pour aider les élèves

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Manque de ressources dans les écoles pour aider les élèves à gérer leurs émotions en pandémie

29 janvier 2021/Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse /Nombre de vues (16675)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Louis Prince, jeune champion du français et du bilinguisme

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Portrait d'un jeune leader bilingue

Louis Prince, élève de 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, est un des huit jeunes leaders du Français pour l’avenir.

26 janvier 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (15391)/Commentaires ()/
Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

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Depuis le 6 janvier, FRÉSK, le répertoire de ressources éducatives en français pour la Saskatchewan, a délaisser la version papier du catalogue au profit d’un site web.

25 janvier 2021/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (14017)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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La fuite

Texte de Gils Mariani, 9ème année, École Valois, Prince Albert

Auteur: Gils Mariani (Mots d'ados)/30 avril 2015/Catégories: 2015, Mots d'ados

La fuite 

Par :  Gils Mariani

2015

9ème année, École Valois, Prince Albert

(Enseignant : Paul Bergeron)

            Je suis détesté par les adultes d’ici, ce qui ne fait pas de bon sens car je ne leur ai jamais payé d’attention quand même. Tandis que les enfants, eux, me donnent des coins de leurs sandwichs à travers les trous dans la clôture. À part eux, les seules personnes qui m’aiment sont les mécaniciens qui travaillent ici, et les autres chiens solitaires qui vivent dans mon quartier. Il y a Mélasse, le vieux bulldog baveux; Carreaux, la belle labrador bavarde; Gibson, le jeune berger allemand naïf qui est toujours dans le trouble, et moi, Hurley, le grand danois de garde. 

            Nous sommes très proches les uns des autres, et nous avons tous le même désir… Voir le monde extérieur. On a fait un pacte qu’un jour, on va tous nous enfuir et voir la beauté qui est hors des limites de notre petit village… Seulement, il y a un problème.  Je n’ai pas le droit de sortir de l’enclos du garage.

            - Allez!!! Viens avec nous… Ça va être amusant! Gibson essayait de me convaincre de venir avec eux pour aller chasser les vaches dans le parc près de l’autoroute. 

            - Si mon maître m’attrape une autre fois à sauter la clôture, je vais bien voir de quoi ça a l’air le bout d’un fusil!

            - Mais non! Tu sais qu’il t’aime bien ton maître… Il t’a même bâti une maison!

            - Oui, une maison FAITE DE PIÈCES D’AUTOS!!!!! Mon toit est une capote rouillée. Elle a tellement de trous que j’peux voir les nuages passer! Quand il pleut, tu penses toujours que j’ai pris un bain… T’es-tu dont bien idiot!!!

- OK, il t’aime pas à mourir, mais… il t’aime.

- Laisse faire, Gibson, jappa Carreaux en intervenant dans la conversation. Hurley sait comment prendre soin de lui-même.

- Au moins Carreaux, elle, elle comprend… Pas comme toi!

- Bon alors, salut!

- Oui, oui. C’est ça. 

            Assis dans ma niche, je me demande pourquoi je suis ami avec ce stupide chiot…  Il me met toujours dans le trouble et n’a aucune idée comment se retenir de dire ce qu’il a en tête. Mais je ne peux pas le blâmer : Mélasse m’a toujours dit que j’étais pareil à son âge. Je suppose que Mélasse est un peu comme mon père, mais il ne m’a jamais aidé dans les situations difficiles, comme quand j’ai cassé ma patte, il m’a dit de me débrouiller tout seul. Mais je l’aime quand même ce vieux gaillard! 

            Quand j’étais petit, j’ai été enlevé de ma mère. J’ai été laissé, seul, dans un sac de poubelle au bord de la route. Un homme m’a trouvé et m’a ramené chez lui, et m’a appris à surveiller l’enclos qui est derrière son garage. Depuis ce temps, je suis ici à surveiller des pièces de voitures et à mordre les intrus. Je n’avais pas d’amis, jusqu'à temps que j’ai rencontré Mélasse… Il m’a appris la plupart des choses que je connais, comme comment voir s’il y a… BANG!!! Mais qu’est-ce que c’est ça?

            Quand j’arrive à l’endroit où j’ai entendu le bruit retentir, je vois deux gars qui essayent d’enlever le carburateur d’un moteur. Je grogne en avertissement, et là, je leur montre à quoi servent mes dents énormes… Lorsqu’ils sont couchés par terre, et qu’ils n’ont plus la force de bouger, je jappe pour avoir l’attention d’un mécanicien. Il leur explique ce qui va leur arriver s’ils reviennent, et puis il les jette dehors… Sans parler de la menace qu’il leur a donnée que s’il les attrape encore ici, son chien (moi) va leur faire passer un mauvais quart d’heure. Je me sens fier d’être craint par les autres, mais je sais que je serais encore plus fier si je voyais des paysages que nul autre chien n’a jamais vu… Je me décide. Les autres et moi allons nous enfuir et voir le vrai monde… 

J’ai clabaudé à tue-tête. Les autres ont su que j’avais besoin de discuter de quelque chose avec eux :

- Qu’est-cé qu’tu veux? demanda Mélasse.

- T’as toujours voulu t’enfuir, n’est-ce pas?

- Oui, mais je deviens trop vieux pour un voyage planifié…

- Je n’ai jamais dit qu’on ferait un voyage planifié!!! Je pensais qu’on pourrait faire une fuite sans plan, sans direction et juste suivre la route jusqu’au bout…

- Et se faire chasser par des animaux sauvages, se faire piquer par des moustiques et se faire crier après par des étrangers?!? Moi, je suis plus que prêt pour cela, déclara Gibson.

- Et moi aussi, acquiesça Carreaux.

- Bon, alors j’ai un « oui » de tout le monde sauf de toi, Mélasse.

- Je ne sais pas… J’me sens trop vieux pour ce genre d’aventure.

- Mais non!!! T’as l’air vieux, mais t’as encore l’âme d’un chiot quelque part en toi.

- J’suppose que vous allez me supplier jusqu’à temps que je craque, donc j’vais couper ça court…

- Tu veux dire que tu viens?

- Oui…  J’suppose.

- Bon!!!  C’est fait. Nous partons demain. 

On a dit nos saluts et nous nous sommes reposés pour la longue route du lendemain matin.

Le jour suivant, je me suis réveillé, et je n’ai même pas hésité à sauter la clôture…  Je me suis grouillé le derrière le long de la rue principale. J’ai rencontré Gibson qui, lui aussi, avait hâte de partir. On a trouvé Carreaux et Mélasse, et nous sommes partis faire le voyage que nous rêvions de faire depuis des années.

- Je crois que j’n’aurais jamais dû venir, s’exclama Carreaux.

- Et pourquoi pas?

- Je sens comme de la boue de marais.  Tu ne le remarques pas?

- Tu sens comme ça tout le temps, lui répondis-je en riant. 

En chemin, nous avons eu besoin de traverser plusieurs obstacles: des forêts denses, des ruisseaux froids, et des étangs puants…  Et en plus, Carreaux n’a presque pas arrêté de chialer. Mais, par la fin, tout cela valait la peine, car finalement, nous n’avions jamais rien vu d’aussi beau… On pouvait voir pour des miles, en apercevant de temps à autre un chevreuil ou deux. On pouvait entendre une rivière couler tout proche, et l’horizon devenait d’un mélange rose, orange et bleu pâle. Nous avons continué de marcher jusqu'à la tombée de la nuit. Nous avons décidé de faire notre camp tout près d’un chemin de fer pour que, si nous dormions trop tard, le train puisse nous réveiller. Nous avons raconté quelques histoires et là, nous avons dormi jusqu'à temps que…

            - Hurley!!!  Hurley!!! Réveille-toi!!!

- Hein? Quoi? Qu’est-ce que tu veux, Carreaux?

- Gibson n’est plus là!!!  Je me suis réveillé et il était disparu!!!

- C’est le milieu de la nuit! Allons vite le trouver avant qu’il ne se fasse mal… ou pire. 

            Nous avons donc piqué un sprint. Nous avons commencé à hurler le nom de Gibson aussi fort qu’on le pouvait, en espérant qu’il nous réponde. Il n’y avait pas d’indice dans quelle direction il était parti, et ce n’était pas facile de suivre sa senteur, car pendant notre voyage ici, nous avons eu besoin de croiser plusieurs marécages boueux, donc nous avons fait de notre mieux en courant partout dans les alentours en gardant un œil ouvert pour repérer des empreintes sur le sol. Finalement, j’ai trouvé un indice… Un indice qui m’a fait redouter le pire : j’ai trouvé du sang.

- Oh non!  Il s’est fait mal, sanglota Carreaux.

- Ne t’en fais pas, nous allons le retrouver, murmura Mélasse.

- J’espère que oui… Un chiot comme Gibson n’a pas le sens des directions.  S’il est perdu, c’est nous qui avons besoin de le trouver.

Nous avons continué à chercher, mais nous n’avons pas eu de succès. Tout à coup, nous avons entendu un cri aigu… Un cri qui sonnait un peu comme… Mais, c’était Gibson!!! Nous avons pris nos pattes à nos cous, et nous sommes arrivés sur les lieux du drame…

            Un ours était debout sur ses pattes de derrière et tenait Gibson par le cou.  Le pauvre chiot se débattait, mais la bête le tenait fermement entre ses dents acérées…  Ce n’était pas n’importe quelle bête : devant nous se dressait un ours noir géant avec des griffes menaçantes!!! Nous avons tous eu la même idée. Nous avons commencé à aboyer pour que l’animal féroce détourne son attention vers nous… Avant même que l’ours ne se retourne, une ombre sauta sur la bête, vive comme l’éclair. C’était un loup. Il s’est agrippé au-dessus de la tête de l’ours, afin que celui-ci, sous la douleur, lâche prise et libère le pauvre chiot effrayé. Croyez-le ou non, l’ours est parti, apeuré, en gémissant.  Gibson se releva lentement, la queue entre les jambes, mais sans hésitation. Il se retourna pour voir qui l’avait sauvé, mais le loup anonyme était déjà parti. Notre ancêtre légendaire, habitant des collines, était venu à notre secours.

- Ça va, Gibson?

Il se força à nous lancer un petit sourire.

- Je n’ai jamais été mieux.

Nous sommes partis vers le nord, suivant une piste de chevreuils. Nous avions faim, car nous n’avions rien mangé depuis le jour précédent. Mélasse eût la bonne idée de retourner à la rivière pour trouver des truites de ruisseau que nous pourrions déguster en paix. Gibson, qui était encore en état de choc, ne pouvait pas arrêter de se retourner pour voir s’il y avait quelqu'un derrière lui. Il était tellement nerveux que poursuivre l’aventure nous semblait désormais impossible. Après discussion, nous avons finalement décidé de retourner chez nous.

            En chemin pour la maison, nous nous sommes arrêtés quelques fois pour laisser Gibson se reposer, car c’était évident que chaque pas lui faisait mal… Quand on marchait, il prenait support sur Mélasse, qui habituellement aurait refusé cette complicité. Nous sommes arrivés au bord du village, nous avons dit nos adieux, et on est retourné chacun dans nos habitudes. 

 

            Je suis arrivé au garage. Je me suis fait chicaner pour m’être enfui, mais mon maître s’est finalement calmé et m’a laissé entrer. Quand je me suis couché dans mon abri, j’ai pensé à notre aventure… L’herbe n’est pas nécessairement plus verte sur les collines entourant notre village. Oui, nous disons toujours que nous n’aimons pas notre quotidien, et que rien ne se passe ici, mais par la fin : nous venons d’ici, et c’est ici l’endroit où nous voulons rester.

           

            Le lendemain matin, le soleil s’est levé et je me suis aperçu que quelque chose me fixait… C’était le loup. Il m’a donné un clin d’œil et est parti. Je crois que mes amis et moi avons maintenant notre propre ange gardien. 

           

            Nous sommes allés visiter Gibson pour voir comment il allait… On est arrivé là, et… il était debout et creusait comme un fou. 

- Gibson!  Tu vas mieux comme je peux le constater…

- Je me suis rappelé qu’j’avais caché un os quelque part ici… Donc j’ai décidé de célébrer en grugeant sur la deuxième plus belle chose au monde… La plus belle est Carreaux, expliqua-t-il en souriant d’une oreille à l’autre.

- Donc, ça va? L’ours n’a pas hanté tes rêves hier soir?

- Non, pas du tout. La seule chose qui arriverait à me faire peur c’est la face à Mélasse!!! Et même là, ce n’est pas du matériel de film d’horreur.

- Bon, mais au moins t’es en vie. 

- Plus tard, on va tous aller pour une marche près du chemin de fer… D’accord?

- Peut-être qu’on pourrait chasser les vaches au fermier Murphy, aussi?

- Promis!

En partant, une ombre passât derrière nous… Elle est partie aussi vite qu’elle était apparue, mais nous savions tous qui c’était : notre ami mystérieux.

                  

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L'Eau vive

Gils Mariani (Mots d'ados)

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 - jeudi 14 novembre 2024