Gravelbourg a vécu au rythme du Festival Solstice d’été la fin de semaine des 17 et 18 juin dernier.

La période électorale du Conseil scolaire fransaskois (CSF) approche à grands pas. Nous sommes les électeurs. Nous sommes des payeurs de taxes (les contribuables).  Nous demandons une éducation de qualité pour nos enfants. Nous demandons l’excellence au niveau du français dans nos espaces scolaires. Nous voulons une gestion responsable de nos écoles.

Le ministère du Patrimoine canadien a annoncé une série de consultations publiques afin d’élaborer un nouveau plan d'action pluriannuel en matière de langues officielles pour le Canada.

Même si notre enfant semble être déterminé à ne pas manger les « choses vertes » qui osent envahir son assiette, rien n’est perdu. Voici quelques trucs et astuces pour aider votre enfant dans sa découverte alimentaire.

Au début d'avril 2016, Arbely est revenue de l'Inde où elle avait étudié l'Ashtanga pendant trois mois. Elle était allée à la ville de Mysore, le centre du monde pour ce style de yoga.

En Saskatchewan nous vivons au milieu d’une grande route de migration des oiseaux entre l’Arctique et l’Amérique du Sud, une route sur laquelle de nombreuses espèces d’oiseaux migrent deux fois par année. 

En 1924 un jeune haïtien, Sylvio Cator est apparu sur la scène olympique. C'était à Paris où il a gagné sa première médaille, une bronze, dans le saut en longueur. 

Les prestations de PONTEIX s’avèrent des expérimentations scéniques pop et planantes. 

Après s'être rendu en demi-finale aux Francofolies, PONTEIX, la nouvelle formation de Mario Lepage, lançait, le 3 juin dernier, son EP J’orage, un mini-album composé de quatre chansons. 

Le président de la SCFPA, Michel Dubé, a présenté un bilan annuel de la SCFPA très riche et très positif pour la deuxième année consécutive. 

PRINCE ALBERT - Vivre son secondaire comme étant le seul élève de la classe peut sembler être un défi pour bien des élèves. Cependant, pour Bao Tuong An Chau, la situation ne lui a pas semblé incongrue. Il a su s’en accommoder et même s’en satisfaire pleinement.

Les radios communautaires rejoignent 75 % de la population canadienne et comptent sur près de 6 000 bénévoles qui produisent 21 000 heures de programmation par semaine. On y parle plus d’une soixantaine de langues.

SASKATOON - Pour la première fois cette année, le Festival pour enfants Potash Corp offrait une tente abritant les activités offertes par plusieurs artistes et organismes francophones.

Notre transporteur aérien n’a jamais quitté le peloton de tête des délinquants du bilinguisme. Graham Fraser vient de déposer un rapport spécial au Parlement sur ce triste accomplissement. 

Pour assurer la vitalité de notre presse communautaire, ne pourrait-on pas adopter une politique semblable à celle mise en place pour stimuler le secteur artistique? Si les associations consacraient un petit 1% de leur budget à la promotion de leurs activités dans nos pages et sur notre site, la presse fransaskoise serait en bien meilleure santé.

C’est devant une soixantaine de spectateurs que s’est déroulé le Gala Nouvelle scène 2016 le 10 juin dernier au Studio 914 à Saskatoon. 

Abondamment illustrée par l’artiste autochtone Mike Keepness, cette légende ancestrale relate la façon dont le bison est devenu un animal sacré pour les Cris. 

Cette année encore, le Festival de la Fête fransaskoise se déroulera au Circle H Ranch, à 25 minutes de Saskatoon, pour trois jours de festivités du 1er au 3 juillet prochain. 

REGINA - La francophonie était représentée par un pavillon englobant le Canada français, la France, la Côte d’Ivoire, le Burundi, le Congo, le Rwanda et l’île Maurice » 

Majestueux, grandiose, spectaculaire, le mont apparaît au tournant d’une courbe de la transnationale. On lui a attribué celui d’un mortel, celui d’un homme simple et besogneux, souriant et attentif, constant et fébrile. Cet homme c’est Eugène Bourgeau.

En Saskatchewan, bien que la maladie hollandaise de l’orme soit présente depuis une trentaine d’années, elle est encore relativement sous contrôle. Le manque de couvert forestier continu et des mesures préventives permettent aux rues de Saskatoon de conserver leurs grands ormes.