Skip Navigation
Fonds l'Eau vive banniere
Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Depuis le 6 janvier, FRÉSK, le répertoire de ressources éducatives en français pour la Saskatchewan, a délaisser la version papier du catalogue au profit d’un site web.

25 janvier 2021/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (14468)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: FRÉSK
Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Le début du semestre d’hiver est l’occasion de revenir sur l'expérience étudiante inédite à la Cité universitaire francophone de Regina depuis le début de la pandémie.

24 janvier 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (22931)/Commentaires ()/
Balises: COVID-19
Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :

 

21 janvier 2021/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (18126)/Commentaires ()/
Balises:
Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours international Ma minute francophone.

18 décembre 2020/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (15747)/Commentaires ()/
Balises:
Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Alors que Regina a obtenu l’aval du gouvernement pour le financement de nouveaux espaces scolaires, Saskatoon et Prince Albert attendent toujours. Le Comité vision des espaces scolaires francophones à Saskatoon, créé en juin 2020, a consulté la communauté pour identifier les besoins dans la ville des ponts.

11 décembre 2020/Auteur: Arthur Béague/Nombre de vues (19217)/Commentaires ()/
Balises:
Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire. Le défi : exposer de façon claire, concise et convaincante un projet d’envergure en trois minutes.

14 novembre 2020/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (15250)/Commentaires ()/
Balises:
Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est aussi président du Conseil scolaire fransaskois l’a emporté avec 70 % des voix face à son adversaire Siriki Diabagaté.

11 novembre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (15499)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Barry
Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)/Nombre de vues (17074)/Commentaires ()/
Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Selon un nouveau sondage Léger, près de la moitié des Canadiens sont au courant de la récente controverse à l’Université d’Ottawa, et plus de la moitié ont tendance à soutenir la professeure ayant prononcé le «mot en n» dans le cadre de son cours Art and Gender plutôt que les étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Francopresse)/Nombre de vues (14149)/Commentaires ()/
Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

La ministre Mélanie Joly invite le gouvernement de l’Alberta à annuler sa décision de couper le financement du campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, dans une lettre adressée au premier ministre de la province, Jason Kenney.

1 novembre 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (17117)/Commentaires ()/
Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

C'est un premier débat radiophonique parfois houleux qui a eu lieu le 20 octobre entre Alpha Barry et Siriki Diabagaté, les deux prétendants au poste de conseiller scolaire de Regina.

23 octobre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (13433)/Commentaires ()/
Balises:
Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

LE DROIT (Ontario) – Le débat autour de la suspension d’une professeure de l’Université d’Ottawa pour avoir utilisé le mot «n**ger» continue de faire rage.

21 octobre 2020/Auteur: Daniel LeBlanc e)t Julien Paquette (Le Droit)/Nombre de vues (15555)/Commentaires ()/
Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Les parents fransaskois de Regina et Saskatoon seront appelés aux urnes le 28 octobre pour choisir leur conseiller scolaire dans le cadre des élections générales du Conseil scolaire fransaskois.

15 octobre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (16806)/Commentaires ()/
Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Rentrée scolaire

La rentrée scolaire fransaskoise a eu lieu du 8 au 11 septembre partout dans la province. L’eau vive s’est entretenue avec quelques parents pour faire le bilan d’une semaine riche en émotions.

17 septembre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (16234)/Commentaires ()/
Balises:
Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.

28 août 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (15877)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
Première2345791011Dernière

Enrôlez-vous, qu'ils disaient!

Retour sur l'entrée en guerre du Canada

Auteur: Société Historique de la Saskatchewan/13 novembre 2014/Catégories: 2014, Société, Guerre et enjeux militaires

95e régiment de Regina - 1917

95e régiment de Regina - 1917

Photo: Musée canadien de la guerre

Le dominion du Canada et la colonie de Terre-Neuve entrent en guerre le 4 août 1914, par obligation pour la métropole britannique. Ils s’illustreront dans plusieurs batailles, dont voici les plus marquantes pour le pays.

C’est le 22 avril 1915 que les soldats canadiens, tous des volontaires, participent  à leur première grande bataille, la Deuxième bataille d’Ypres. Ils sont confrontés pour la première fois aux gaz mortels. C’est en humectant des mouchoirs imbibés d’urine que les Canadiens résistent et le Terre-Neuviens Cluny Macpherson invente un premier masque à gaz grâce à un casque muni d’une cagoule enduite de produits chimiques, de lunettes et d’un tube pour respirer. Ce prototype sera utilisé par l’armée britannique par la suite.

Le régiment de Terre-Neuve, qui ne fait alors pas partie du Canada, fait sa première bataille à Beaumont-Hamel, à la Somme. Une erreur de calcul est responsable de cette hécatombe : du petit groupe de 801 soldats, 324 trouvent la mort et 386 sont blessés. Le régiment a chargé sur des fils barbelés sous les tirs de mitrailleuses ennemies. Le lendemain, seuls 68 soldats répondent à l’appel.

La bataille la plus mémorable pour le Canada est celle de la crête de Vimy. Réputée imprenable, cette fortification en hauteur avait résisté à plusieurs attaques alliées, faisant déjà 100 000 morts. Pour la première fois, les 4 divisions canadiennes sont réunies dans la même campagne. C’est en creusant un tunnel sous le no man’s land pour s’approcher des lignes ennemies à l’abri des mitrailleuses et grâce à des préparations minutieuses et à un mur d’artillerie qui ouvre le passage devant les soldats que les Canadiens remportent la victoire. L’avancée se fait sous la neige et la pluie. Aujourd’hui, la bataille de la crête de Vimy est le symbole du sacrifice du Dominion, raison pour laquelle un immense mémorial y est dressé et une part du territoire a été léguée au Canada, à titre honorifique. 

Passchendale était déjà un champ de boue lorsque les troupes canadiennes ont mené l’attaque. C’est sous les tirs allemands que les préparatifs se font. Après quatre mois de combats dans un bourbier où le sang et les cadavres se mêlent à la boue, les Alliés remportent une victoire futile, car les Allemands reprendront le terrain l’année suivante. C’est 15 600 Canadiens qui y trouvent la mort ou sortent blessés. Passchendale restera pour toujours le symbole de l’horreur de la guerre dans les tranchées.

Finalement, les Canadiens participent à la campagne des cent jours, du 8 août 1918 au 11 novembre de la même année. L’armée allemande est défaite et l’armistice est signé. La victoire sera célébrée avec un arrière-goût d’amertume : tous ont un proche qui a trouvé la mort sur le champs de bataille.

Au total, sur une population canadienne d’environ 8 millions d’habitants, 619 639 hommes et femmes participèrent à la guerre, dont 66 655 trouvèrent la mort et 172 950 furent blessés. Le courage des soldats canadiens, leur sacrifice, leur détermination et leurs victoires arrachées sur des places réputées imprenables ont permis au Dominion de sortir de l’ombre britannique et de se démarquer. Le Canada appose sa signature sur le traité de paix : il est désormais une nation.

Pour plus d’informations sur la crise de la conscription, les camps d’internement, les objecteurs de conscience et la participation fransaskoise dans la guerre, nous vous invitons à consulter la dernière édition de la Revue historique. 

•••

Le Canada et la guerre : Quelques statistiques

• 8 millions d’habitants

• 620 000 enrôlés

• 424 000 envoyés outre-mer

• 267 813 rapatriés après la guerre

• 67 000 morts

• 5348 Saskatchewannais tués au combat

• 172 000 soldats blessés, dont

• 3461 amputés et

• 9000 traumatisés dus aux bombardements (traumatisme psychologique)

• 22 812 soldats dans l’aviation britannique

• 3000 infirmières de guerre, dont

• 53 furent tuées

• 21 à 38 ans : l’âge des infirmières

• 4000 soldats d’origine autochtone

• 1000 soldats noirs

• 222 soldats japonais et d’autres nationalités

• 1/8 des employés d’usines de guerre sont des femmes

• 2/3 des obus britanniques sont fabriqués au Canada

• 8579 Canadiens enfermés dans des camps d’internement, dont

• 3138 sont prisonniers de guerre

• 80 ans : l’âge du plus vieux soldat

• 10 ans : l’âge du plus jeune soldat

• 26 ans : l’âge moyen des soldats

• 80% des soldats sont des hommes célibataires

• 1963 morts dans l’explosion du port d’Halifax

 

Imprimer

Nombre de vues (29959)/Commentaires (0)

Société Historique de la Saskatchewan

Société Historique de la Saskatchewan

Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - samedi 23 novembre 2024