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AGA 2024 de la CPF

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

4 mars 2015/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (27004)/Commentaires ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

4 mars 2015/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (29633)/Commentaires ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

20 février 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (23749)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

20 février 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette /Nombre de vues (28366)/Commentaires ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

20 février 2015/Auteur: Anne Blais (EV)/Nombre de vues (33139)/Commentaires ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

12 février 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (23685)/Commentaires ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

12 février 2015/Auteur: Ahmed Hassan (EV)/Nombre de vues (29647)/Commentaires ()/
Balises: Littératie
La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

5 février 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (36197)/Commentaires ()/
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Éducation fransaskoise : le navire ne prend plus l’eau, mais sait-on où il va?

L’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois était plutôt calme cette année. Je me suis surpris à m’ennuyer des joutes verbales de l’année dernière. Lors de l’AGA de 2014, le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) était en pleine tempête financière, des coupes sévères venaient d’être faites, et tout laissait croire que ce n’était pas fini. Les colonnes de chiffres inquiétaient les parents et ceux-ci l’avaient fait savoir.
4 février 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31529)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
L’importance de la lecture avec les enfants

L’importance de la lecture avec les enfants

Selon les résultats des recherches de C.A. Nelson, du Centre du développement de l’enfant de l’Université Harvard, le développement langagier d’un enfant se manifeste longtemps avant le premier balbutiement des mots « mmman » ou « pa, pa, papa ». Les études du développement cérébral révèlent que les neurones et les synapses pour le langage apparaissent trois mois avant la naissance. La croissance de cette zone du cerveau atteint son sommet vers l’âge de 4 ans.

4 février 2015/Auteur: Rita Denius (CM)/Nombre de vues (28989)/Commentaires ()/
Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
4 février 2015/Auteur: Michèle Fortin (EV)/Nombre de vues (28894)/Commentaires ()/
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Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois depuis le dépôt d’un rapport sévère de la vérificatrice provinciale et la fermeture annoncée de l’école Sans-frontières de Lloydminster.

4 février 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (34282)/Commentaires ()/
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La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la Commission scolaire francophone du Yukon (CSFY) au gouvernement du Yukon. Le litige repose sur les droits de gestion scolaire en contexte minoritaire.

29 janvier 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32261)/Commentaires ()/
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Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise:  Comment se porte le français dans nos écoles?

Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles?

Rencontre avec un parent inquiet, mais optimiste

La Saskatchewan a bien changé depuis l’obtention de la gestion scolaire il y a 20 ans. Depuis deux décennies, l’épanouissement du Conseil des écoles fransakoises (CÉF) est évident. La gestion scolaire est-elle garante de la qualité de l'éducation française? Nous en avons discuté avec un parent de Regina qui a accepté de répondre à nos questions mais qui a préféré garder l'anonymat.

29 janvier 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (160558)/Commentaires ()/
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Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

La Commission scolaire francophone du Yukon devant la Cour suprême

J’ai appris avec stupéfaction la position du gouvernement du Québec devant la Cour suprême en ce qui concerne la gestion des écoles par les minorités francophones du reste du pays. En effet, par l’entremise de sa ministre de la justice, Stéphanie Vallée, Québec a signifié son refus d’appuyer des communautés francophones hors Québec. 

29 janvier 2015/Auteur: Jean-François Larose/Nombre de vues (31822)/Commentaires ()/
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Une nouvelle direction générale pour la CAFS

Auteur: Lucas Pilleri/17 mai 2021/Catégories: Organisme, CAFS - Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan, Société, Francophonie, Multiculturalisme

Mireille Bizimana
Mireille Bizimana, nouvelle directrice adjointe de l'ACFR.
Crédit : Courtoisie

Mireille Bizimana est devenue le 27 avril la nouvelle directrice générale de la Communauté des Africains francophones de la Saskatchewan (CAFS). Forte d’une longue expérience dans le développement communautaire, la nouvelle responsable souhaite avant tout œuvrer pour le bien-être des nouveaux arrivants.

Qu’est-ce qui vous a poussée à rejoindre la CAFS ?

Étant moi-même africaine et immigrée, je comprends très bien les défis auxquels font face les nouveaux arrivants francophones : le manque de services en français, le manque d’emploi et la discrimination. Dès que j’ai vu l’offre pour le poste, je me suis sentie en mesure d’apporter une valeur ajoutée à cette communauté.

Dans quel état trouvez-vous la CAFS ?

C’est un organisme qui est bien organisé. Il y a un conseil d’administration très dynamique chargé de donner des orientations stratégiques et qui supervise leur mise en exécution. La CAFS possède des instruments de gouvernance, entre autres les statuts et règlements ainsi que des politiques de gestion qui sont là pour définir le rôle de chaque organe et assurer une bonne collaboration entre tous les acteurs. 

Quelle est votre vision pour l’organisme ?

Je souhaite rendre la CAFS encore plus visible dans la communauté fransaskoise par les actions et les activités qu’elle apporte envers ses membres. Ma vision est aussi celle d’un organisme qui travaille en étroite collaboration avec d’autres organismes qui s’occupent de l’accueil et de l’intégration des nouveaux arrivants pour améliorer leur bien-être.

Vos deux prédécesseurs, Fulgence Ndagijimana et Rosalie Umuhoza, ont connu des mandats de moins d’un an. Que vous inspire cette situation ?

Ça montre qu’il existe des conflits de gestion managériale. Mais je vais tout mettre en œuvre pour assurer la collaboration entre toutes les parties prenantes. À première vue, je trouve un organisme bien structuré et qui a tous les outils nécessaires pour qu’il y ait une bonne gouvernance. La relation avec les bailleurs de fonds et les partenaires est bonne. La CAFS organise plusieurs activités justement grâce à la confiance que les partenaires ont en elle. 

De quelles activités s’agit-il ?

Au-delà des activités traditionnelles, la CAFS a un projet pour répondre à l’atténuation de l’impact de la COVID-19 chez ses membres fragilisés. C’est un projet organisé en collaboration avec la Croix-Rouge qui commence en mai où on va donner des formations à nos membres en rapport avec la santé mentale et la nutrition afin de leur donner des moyens de s’adapter aux nouvelles conditions de vie. Nous avons aussi des projets de camps d’été. 

Le 27 avril dernier, le Partenariat provincial interculturel dont fait partie la CAFS a dévoilé les résultats de son sondage concernant la discrimination et l’intimidation au sein de la fransaskoisie. Quel regard portez-vous sur cette initiative et ces résultats ?

C’est une belle initiative. La communauté africaine subit des discriminations. On espère avec ce projet comprendre pourquoi elles persistent et trouver des solutions pour les réduire, voire les supprimer. C’est une réalité dont nos membres se plaignent beaucoup. Le partenariat est une bonne façon de faire. La CAFS ne peut pas atteindre ces objectifs en travaillant isolément. Pour y arriver, on doit collaborer avec les autres organismes.

Quel climat constatez-vous au sein de la CAFS et auprès de ses membres ?

C’est un climat de bonne entente de manière générale. Les membres ont un état d’esprit confiant en l’avenir parce que des activités et des projets sont mis en œuvre pour répondre à leurs défis.

De façon générale, comment percevez-vous la place qu’occupent les Africains francophones en Saskatchewan ? 

Ils ont une place importante. Les immigrants francophones sont en grande partie une population jeune et compétente dont peut bénéficier le Canada. Il suffit de donner à cette population les moyens et les outils nécessaires pour qu’elle puisse contribuer au développement des communautés d’accueil. Les défis perdurent : leurs compétences ne sont pas assez reconnues au Canada, ce qui leur rend difficile de trouver du travail, et certains doivent faire l’apprentissage de l’anglais. Il y a encore des choses à faire, mais ça s’améliore d’année en année, de jour en jour.

 Le parcours de Mireille Bizimana

Native du Burundi, Mireille Bizimana a immigré au Canada en 2016. Après avoir vécu cinq ans à Ottawa, elle s’est installée à Regina au début de l’année 2021. Elle possède une maîtrise en gestion de la politique économique obtenue à l’Université d’Auvergne en France ainsi qu’une longue expérience en développement communautaire.

Mireille Bizimana a été responsable des communications et événements de janvier à mars 2021 pour le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK). Auparavant, elle a œuvré en tant que bénévole au sein d’organismes francophones à Ottawa et Gatineau responsables de l’accueil et de l’intégration des nouveaux arrivants francophones. Au Burundi, elle a travaillé pour un organisme paraétatique dans la lutte contre la pauvreté.

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Lucas Pilleri

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 - vendredi 27 septembre 2024