Tourisme Saskatchewan travaille à mieux accueillir les francophones qui... Tourisme Saskatchewan travaille à mieux accueillir les francophones qui... Le Collège Mathieu offrira de la formation en hotellerie et restauration Thursday, June 5, 2014 28325 Notre belle province grandit, et si nous ne sommes pas encore assaillis par des hordes de touristes comme aux chutes du Niagara ou dans les rues du Vieux Montréal, de plus en plus de visiteurs viennent découvrir les trésors cachés de la Saskatchewan.
Immigration économique Immigration économique Édition spéciale du Bulletin du RDÉE Canada Monday, June 2, 2014 28683 Le dernier bulletin L’action économique du Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) offre une éditions spéciale sur l’Immigration économique, Ce numéro dresse, entre autres, le portrait des secteurs émergents des...
Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la... Évolution des coopératives de crédit de la Saskatchewan : faisons la... Les coopératives de crédit, qui jouent depuis longtemps un rôle de premier plan dans le système financier de la... Wednesday, May 28, 2014 21979
Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! Le gîte du passant Chez Nous Tea & Guest House est ouvert à Zenon Park! C’est avec beaucoup d’anxiété, de frénésie et de joie que Mme Yvonne Smelt procédait le 2 mai... Thursday, May 8, 2014 28438
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014 Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour... Wednesday, May 7, 2014 26511
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS! C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les... Thursday, May 1, 2014 33008
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15 À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement... Wednesday, April 23, 2014 28113
Grand rassemblement de l’éducation en français Grand rassemblement de l’éducation en français Faire de la francophonie un levier puissant dans l’économie canadienne a été le grand sujet de discussion du 3e Grand... Wednesday, April 23, 2014 21205
Prix BRAVO bénévoles Thursday, April 10, 2014 Prix BRAVO bénévoles Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures peuvent être soumises jusqu’au 30 avril.
3/22/2014 1:30 PM - 4:30 PM Atelier sur la littératie financière Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé Littératie financière, animé par Madame Rita Denis et offert par le Collège Mathieu.
Emeline Riffenach – Radio-Canada / Tuesday, November 2, 2021 / Categories: Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises Les bons coups de L’Eau vive Durant 50 ans, L’Eau vive a dû surmonter de nombreuses difficultés, mais le journal fransaskois a aussi connu plusieurs succès. Entre l’obtention de divers prix d’excellence et sa transformation à l’ère du numérique, le journal a pu écrire de belles pages de son histoire. Dès ses débuts, L’Eau vive a pu compter sur la motivation sans faille de ses pionniers, mais aussi de ses employés et de ses conseils d’administration qui se sont succédé. Jean-Pierre Picard fait partie de ces témoins qui ont vu le journal évoluer au fil des époques. Il y est entré comme graphiste en 1986 avant d'en prendre la direction deux ans plus tard. Il succédera alors à Albert-O. Dubé qui avait pris la direction par intérim entre 1986 et 1988. « Tout se faisait à la main, nous utilisions ce qu’on appelait des photocomposeuses. C’était de l’équipement moderne pour l’époque. Il fallait découper les colonnes de texte, les coller sur des pages, tout équilibrer. Si, à un moment donné, on voulait rajouter trois lignes dans le texte, il fallait découper la colonne, la déplacer de trois lignes, tout réajuster à la main », explique Jean-Pierre Picard. En 1986-1987, plus de la moitié des numéros de L’Eau vive étaient constitués de 16 pages, sans compter six numéros d’une vingtaine de pages. Une quantité plutôt ambitieuse pour un petit journal. Puis, au cours des années 1990, l’ancien graphiste a fait entrer les premiers ordinateurs au journal. Une révolution technologique qui allait donner une autre dimension à la publication. « On a informatisé toutes les opérations et ça a permis de faire des économies assez considérables parce que la technologie de la photocomposeuse était très dispendieuse, raconte Jean-Pierre Picard. Elle nécessitait du papier photographique où l’on imprimait les textes et chaque police de caractère coûtait une fortune. Pour ajouter une police de caractère en italique, ça coûtait 400 dollars juste pour le coût de la petite roulette qui permettait de le faire », se souvient-il. À l’heure du Réseau Mercure... Jean-Pierre Picard, ancien directeur de L’Eau vive Crédit : Radio-Canada Saskatchewan Avec l’arrivée des ordinateurs et d’internet, le journal et ses partenaires deviennent des précurseurs au sein de la communauté fransaskoise. L’Eau vive participe avec l’ACFC, la Commission culturelle fransaskoise et le Service fransaskois d’éducation aux adultes à la mise en place du Réseau Mercure en 1990, un réseau informatique qui permettait de faire circuler l’information entre les centres communautaires francophones. « Le rôle de L’Eau vive, c’était de recevoir l’information et la diffuser dans la communauté, se remémore Jean-Pierre Picard. La première étape a été de doter toutes les communautés francophones de la province de télécopieurs. Nous avons programmé les télécopieurs et les gens avaient juste à toucher un bouton pour que leur télécopie atterrisse dans les autres centres communautaires de la province. » C'était également de cette manière que L'Eau vive parvenait à communiquer les activités qui se déroulaient dans la province. …et d’un réseau de messagerie Toujours avide d’efficacité, L’Eau vive avait également mis sur pied, dans le cadre du Réseau Mercure, un BBS, ou bulletin board service. Il s’agissait d’un service d’échange de messages sur un réseau informatique, du type tableau d'affichage que l'on trouve sur le mur de nombreuses cuisines et lieux de travail. « Il ne faut pas oublier que c’est avant l’arrivée d’internet, précise Jean-Pierre Picard. Nous avions acheté des ordinateurs et des modems aux communautés et on avait un serveur à L’Eau vive qui permettait aux gens d’échanger des messages. Mais c’était compliqué parce que les logiciels de l’époque étaient un peu rébarbatifs. » Cette partie du Réseau Mercure n’a toutefois jamais eu le succès espéré, admet ce dernier. Les outils étaient difficiles d’utilisation pour le commun des mortels. Mais l’idée, jugée avant-gardiste par Jean-Pierre Picard, a quand même suscité un intérêt au niveau national. « L’Association de la presse francophone hors Québec, quand elle a su ce qu’on avait mis sur pied, nous a demandé si elle pouvait s’en servir pour distribuer les textes des journalistes à l’échelle du pays, raconte Jean-Pierre Picard. Avant cela, elle envoyait les textes par télécopies et les journaux les retapaient, tandis que là, quand on utilisait le Réseau Mercure, les gens pouvaient prendre la version numérique du texte. » Selon les mots de l’ancien directeur de L’Eau vive, cet épisode fut une avancée de taille pour l’époque. Une avancée qui a permis au journal d’être ce qu’il est aujourd’hui, explique le directeur actuel, Erik Tremblay. « Jean-Pierre Picard a été un avant-gardiste sur le plan numérique. Il était très présent à une époque où les gens n’étaient pas encore très conscients de l’importance de tout ça », insiste l’actuel directeur général de L’Eau vive. Une reconnaissance dans le milieu du journalisme Le travail mené par le journal a été salué au niveau national à plusieurs reprises dans le réseau de la presse francophone, notamment par le biais de l’Association de la presse francophone hors Québec de l’époque. Déjà en 1992, la compétition était lancée vis-à-vis du journal voisin du Manitoba, La Liberté. « C’était toujours La Liberté qui raflait les prix du journal de l’année. Et on se disait : “Un jour, on va l’avoir !” », se souvient, sourire aux lèvres, Jean-Pierre Picard. En 1995, le journal fransaskois remporte cinq prix, dont celui d’Excellence générale. Des succès et une reconnaissance qui ne se sont pas taris avec le temps puisque L’Eau vive a remporté un prix en 2019 dans la catégorie Meilleur Cahier spécial pour son dossier sur les 100 ans du Collège Mathieu. Surtout, L’Eau vive reçoit le prix du Journal de l’année en 2020, en plus des prix pour la Une de l’année et l’Article en arts et culture de l’année, remis par Réseau.Presse (anciennement Association de la presse francophone). Plus récemment, le journal a été distingué par Réseau.Presse pour l’article Grippe espagnole et COVID-19, quand l'histoire se répète, signé par Sébastien Durand, vainqueur du Prix d’excellence 2021 pour l’article d’actualité de l’année. Des succès qui font la fierté de l’équipe en place et de la communauté fransaskoise. « Il y a de la compétition, de la concurrence à travers le pays, alors on est d’autant plus fiers de gagner ces prix-là, commente Erik Tremblay. Ce qu’on veut, c’est donner de la qualité, même si on est un petit journal avec peu de moyens », conclut Erik Tremblay. Print 8396 Tags: 50 ans de l'Eau vive Emeline Riffenach – Radio-CanadaEmmanuel Masson Other posts by Emeline Riffenach – Radio-Canada Contact author Related articles Album de l'histoire de l'Eau vive L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise L’Eau vive à l’ère du numérique L’Eau vive, un reflet de la communauté Cinquante ans de défis et de combats Les premières pages d’histoire de L’Eau vive Comments are only visible to subscribers.