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Une miniécole de médecine pour y voir clair

Une miniécole de médecine pour y voir clair

Le premier volet de la 24e édition de la Miniécole de médecine de l’Université d’Ottawa s’est consacré entièrement au sens de la vue, présentant l’anatomie de l’œil et jetant les bases de la prévention des troubles de la vision.

19 mai 2020/Auteur: Sébastien Durand/Nombre de vues (30925)/Commentaires ()/
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Des élèves fransaskois se livrent face à la pandémie

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Déjà un peu plus d’un mois que les jeunes Fransaskois sont passés de la salle de classe à la table du salon et ont échangé leurs stylos pour un clavier. Comment vivent-ils cette transition et quel regard portent-ils sur la situation?

16 mai 2020/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (37917)/Commentaires ()/
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La francophonie de l’Ouest menacée : «Sauvons Saint-Jean!»

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L’Association canadienne-française de l’Alberta, soutenue par plusieurs associations, est partie en croisade pour défendre le Campus Saint-Jean dont l'avenir est menacé par d’importantes coupes budgétaires.

16 mai 2020/Auteur: Geoffrey Gaye – (Le Franco)/Nombre de vues (21473)/Commentaires ()/
Le téléenseignement, une forme de théâtre expérientiel pour Colette George

Le téléenseignement, une forme de théâtre expérientiel pour Colette George

Je me sens un peu plus animée durant mes leçons virtuelles. C'est comme si j'étais une comédienne dans une pièce de théâtre.

14 mai 2020/Auteur: Webmestre/Nombre de vues (22121)/Commentaires ()/
Le téléenseignement, une expérience formatrice

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J'ai eu le bonheur de vivre l'expérience de l'enseignement à distance il y a une douzaine d'années dans un autre contexte et cette expérience continue d'influencer l'utilisation que je fais de la technologie dans l'enseignement des mathématiques en salle de classe depuis ce temps.

1 mai 2020/Auteur: Webmestre/Nombre de vues (23239)/Commentaires ()/
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Les jeunes de l’école Père Mercure au fait de l’actualité sanitaire

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J’ai proposé à mes élèves un défi, non obligatoire : faire une capsule vidéo pour la salle de classe au sujet de la COVID-19. J’ai reçu 10 vidéos sur 13 élèves !

30 avril 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (26710)/Commentaires ()/
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Pénurie de juristes bilingues : la solution du côté de l’immersion ?

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Le manque de juges, avocats, procureurs et greffiers bilingues en milieu minoritaire est une réalité de longue date. Mais l’immersion, de plus en plus populaire au pays, pourrait constituer une piste de solution.

14 avril 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (29331)/Commentaires ()/
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Les nouvelles écoles fransaskoises absentes du budget provincial

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La construction de nouvelles écoles fransaskoises devra attendre

Dans son plan de dépenses de plus de 14 milliards de dollars, rien n’est prévu pour la construction des nouvelles écoles tant attendues par les Fransaskois.

9 avril 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (25475)/Commentaires ()/
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Le CÉF adopte le télétravail et le télé-enseignement

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Depuis le 20 mars, les écoles fransaskoises sont fermées en raison de la pandémie de la COVID-19. Le personnel du CÉF opte désormais pour le télétravail et le télé-enseignement.

3 avril 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25463)/Commentaires ()/
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École à distance : Les élèves du CÉF ont hâte de se brancher

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Les élèves du Conseil des écoles fransaskoises pourront suivre leurs cours en ligne dès le 6 avril.

3 avril 2020/Auteur: Sébastien Durand – Initiative de journalisme local – APF /Nombre de vues (27585)/Commentaires ()/
Le CÉF lance une application pour téléphone intelligent

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Le CÉF a dévoilé, le 12 mars 2020 une a,pplication pour téléphone intelligent qui permettra aux familles et aux élèves d'avoir accès en tout temps à l'information dont elles ont besoin.

19 mars 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (24384)/Commentaires ()/
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« Maman, je garde les enfants ! »

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L’Association des parents fransaskois (APF) a offert un atelier sur la garde d’enfants en proposant aux jeunes âgés de 11 à 15 ans la formation Gardiens avertis à Saskatoon le 15 février, à Regina le 22 et à Prince Albert le 29.

12 mars 2020/Auteur: Leslie Garrido Diaz – Initiative de journalisme local – APF/Nombre de vues (22536)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu formera la relève journalistique dès l’automne

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Les inscriptions pour le programme de journalisme en français du Collège Mathieu sont finalement ouvertes. 

29 février 2020/Auteur: Lucas Pilleri – Initiative de journalisme local - APF/Nombre de vues (30052)/Commentaires ()/
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Un nouvel examen de certification pour les infirmières

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Plusieurs intervenants francophones espèrent qu’un nouvel examen devienne une alternative à l’examen d’agrément national pour les infirmières qui est, depuis 2015, le seul examen obligatoire pour être certifié infirmière au Canada, exception faite du Québec et du Yukon, mais dont la traduction fait l’objet de critiques.

28 janvier 2020/Auteur: Marc Poirier (Francopresse)/Nombre de vues (24961)/Commentaires ()/
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La bienveillance à l’honneur à l’école Ducharme

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Les 80 élèves de l’école Ducharme de Moose Jaw ont fait preuve de bienveillance au cours des mois de novembre et décembre 2019.

27 janvier 2020/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (22631)/Commentaires ()/
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Le Sablier d’Ian Nelson : entre absurdité, oppositions et rires

Le Sablier d’Ian Nelson : entre absurdité, oppositions et rires

Auteur: Sarah Vennes-Ouellet/26 novembre 2022/Catégories: Vitalité 55+ SK, Arts et culture, Théâtre

Le 17 novembre, Vitalité 55+ Saskatchewan a offert aux aînés fransaskois une lecture de la pièce Le Sablier du dramaturge Ian Nelson. Une vingtaine de spectateurs ont participé à la soirée de théâtre en ligne.

Deborah Cottreau a mis en scène la lecture publique avec Laurier Gareau dans le rôle de Béranger, Michel Vézina dans le rôle de l’Architecte, Lucille Sertin dans le rôle de Winnie et une lecture des didascalies par Madeleine Blais-Dahlem.

La pièce Le Sablier, de l’auteur Ian Nelson, appartient au théâtre de l’absurde. Un genre qui a débuté en réaction à la Deuxième Guerre mondiale et qui prend ici sa place dans la fransaskoisie du 21e siècle.

Guidés par les connaissances de Deborah Cottreau, les acteurs ont approfondi leur compréhension des personnages et du genre pour livrer une lecture mémorable aux aînés participants.

Du théâtre accessible

La lecture du 17 novembre est le résultat d’une initiative de la Fédération des aînées et aînés francophones du Canada qui vise à offrir des événements culturels accessibles aux aînés pendant la pandémie.

Le dramaturge et historien Laurier Gareau établit un rapprochement entre les lectures publiques de théâtre sur la plateforme Zoom et les débuts de la radio dans la Saskatchewan des années 1950.

« Quand on a créé les postes de radio dans les années 1950, ici en Saskatchewan, l’une des premières choses qu’on a faites ce sont des mises en lecture de pièces de théâtre pour diffuser à travers la province pour des gens qui n’auraient probablement jamais la chance d’en voir sur scène. On a la chance de le faire maintenant sur Zoom », explique Laurier Gareau.

Michel Vézina y voit non seulement un intérêt pour les spectateurs qui n’ont pas la possibilité de se déplacer dans les grands centres, mais aussi pour ceux qui désirent participer en tant qu’acteur.

« Les aînés se déplacent peu et ils sont éparpillés à travers la province. Sur Zoom, il y a des limites sur ce qu’on peut faire, mais sans cette technologie je n’aurais pas pu jouer le rôle de l’Architecte. Je ne peux pas me déplacer à Saskatoon pour 12 répétitions et une performance. »

Le sens des personnages

C’est Deborah Cottreau qui a fait la mise en scène de la lecture publique. Michel Vézina note que cette dernière a joué un grand rôle dans sa compréhension du personnage : « Elle nous donnait beaucoup de liberté dans l’interprétation, mais elle nous questionnait sur notre personnage. Elle m’a aidé à comprendre l’Architecte. Elle a participé à la création de la pièce, donc elle avait une compréhension profonde du personnage. »

Pour le comédien, l’Architecte est « quelqu’un qui bâtit des structures et des édifices, mais aussi une sorte de poète. Il a une fantaisie dans la façon de voir les choses. C’est un rêveur qui voit la mer. Béranger est éphémère, mais l’architecte fait des projets à long terme. Les deux personnages luttent pour savoir qui va dominer. »

Laurier Gareau indique quant à lui que Deborah Cottreau a appuyé l’équipe d’acteurs pour donner vie aux personnages et accélérer le rythme de la lecture : « Ces deux personnages sont bien différents. Chaque acteur devait savoir quand passer à l’attaque et quand être sur la défensive. Elle nous a aussi guidés pour accélérer le rythme de livraison, entre autres en sautant par-dessus quelques didascalies. »

Pour Laurier Gareau, Béranger est « un comédien manqué qui depuis vingt ans fait du théâtre de répertoire, mais qui oublie facilement son texte. Il est frustré si les choses ne sont pas à son goût. La question de sculpter, c’est quelque chose qui lui vient à l’idée pour prendre l’architecte au piège. Dans beaucoup de ses descriptions de sculptures, il est en train de sculpter un personnage qu’il veut créer sur une scène. C’est toujours, pour lui, le personnage qui doit émerger de ce vide qui est autour de lui. »

Le théâtre de l’absurde

Lucille Sertin, coordinatrice de projets à Vitalité 55+, décrit le théâtre de l’absurde comme tel : « Chaque personnage dit ce qui lui vient à l'esprit sans réfléchir au sens ni à la logique de sa phrase. Les jeux de mots et les jeux de réflexion à partir des synonymes viennent appuyer le décalage sémantique qui se crée dans la conversation entre les personnages et qui engendre des tensions, voire un conflit... Le but du théâtre de l'absurde est de vous déconcerter, de vous surprendre et en même temps de vous faire rire. »

Bien qu’il s’agisse d’un genre théâtral datant de l’après-guerre, Laurier Gareau trouve encore la pertinence d’écrire et jouer de l’absurde de nos jours : « On vit encore dans un monde qui est un petit peu absurde. Les gens se parlent sans se comprendre. Les électeurs votent sans comprendre pour qui et pour quoi ils votent. Je pense qu’il y a encore de la place pour l’absurde en 2022. »

Enfin, Michel Vézina voit lui aussi la pertinence de l’absurde dans la communauté fransaskoise d’aujourd’hui : « L’absurde, c’est justement des mondes en opposition. La fransaskoisie n’échappe pas à cela. On est une communauté d’humains avec des oppositions, des questionnements et différentes opinions. Nous sommes une communauté de plus en plus diversifiée. Le genre absurde est justement un genre de contradiction entre les personnages. »

 

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Sarah Vennes-Ouellet

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