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Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours international Ma minute francophone.

18 décembre 2020/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (14535)/Commentaires ()/
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Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Alors que Regina a obtenu l’aval du gouvernement pour le financement de nouveaux espaces scolaires, Saskatoon et Prince Albert attendent toujours. Le Comité vision des espaces scolaires francophones à Saskatoon, créé en juin 2020, a consulté la communauté pour identifier les besoins dans la ville des ponts.

11 décembre 2020/Auteur: Arthur Béague/Nombre de vues (16711)/Commentaires ()/
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Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire. Le défi : exposer de façon claire, concise et convaincante un projet d’envergure en trois minutes.

14 novembre 2020/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (13773)/Commentaires ()/
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Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est aussi président du Conseil scolaire fransaskois l’a emporté avec 70 % des voix face à son adversaire Siriki Diabagaté.

11 novembre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (13759)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Barry
Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)/Nombre de vues (14809)/Commentaires ()/
Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Selon un nouveau sondage Léger, près de la moitié des Canadiens sont au courant de la récente controverse à l’Université d’Ottawa, et plus de la moitié ont tendance à soutenir la professeure ayant prononcé le «mot en n» dans le cadre de son cours Art and Gender plutôt que les étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Francopresse)/Nombre de vues (12949)/Commentaires ()/
Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

La ministre Mélanie Joly invite le gouvernement de l’Alberta à annuler sa décision de couper le financement du campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, dans une lettre adressée au premier ministre de la province, Jason Kenney.

1 novembre 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (15500)/Commentaires ()/
Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

C'est un premier débat radiophonique parfois houleux qui a eu lieu le 20 octobre entre Alpha Barry et Siriki Diabagaté, les deux prétendants au poste de conseiller scolaire de Regina.

23 octobre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (11971)/Commentaires ()/
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Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

LE DROIT (Ontario) – Le débat autour de la suspension d’une professeure de l’Université d’Ottawa pour avoir utilisé le mot «n**ger» continue de faire rage.

21 octobre 2020/Auteur: Daniel LeBlanc e)t Julien Paquette (Le Droit)/Nombre de vues (14125)/Commentaires ()/
Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Les parents fransaskois de Regina et Saskatoon seront appelés aux urnes le 28 octobre pour choisir leur conseiller scolaire dans le cadre des élections générales du Conseil scolaire fransaskois.

15 octobre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (14831)/Commentaires ()/
Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Rentrée scolaire

La rentrée scolaire fransaskoise a eu lieu du 8 au 11 septembre partout dans la province. L’eau vive s’est entretenue avec quelques parents pour faire le bilan d’une semaine riche en émotions.

17 septembre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (14711)/Commentaires ()/
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Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.

28 août 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (14726)/Commentaires ()/
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Quand on l’attaque, la francophonie contre-attaque

Quand on l’attaque, la francophonie contre-attaque

Le Franco (Alberta) – L’Association canadienne-française de l’Alberta (ACFA) promet une phase II de la campagne «Sauvons Saint-Jean» dès la rentrée. L’appel à des manifestations et une action en justice sont sur la table. 

24 août 2020/Auteur: Geoffrey Gaye (Le Franco)/Nombre de vues (17334)/Commentaires ()/
Rentrée scolaire : des parents se confient

Rentrée scolaire : des parents se confient

Une rentrée sous le signe de la fébrilité et de la solidarité

À quelques semaines du jour J, beaucoup d’interrogations subsistent. Tantôt confiants, tantôt inquiets, plusieurs parents fransaskois se sont confiés à l’Eau vive.

20 août 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (14593)/Commentaires ()/
Catégories: 2020Éducation
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Dans ce temps-là !

Dans ce temps-là !

À l’époque où j’étais élève à la fin de l’élémentaire, quand arrivait le mois de juin, nous étions assez intenables dans les classes... La fête de la Saint-Jean-Baptiste marquait le début des vacances estivales. Les classes s’étaient terminées la veille et on avait vidé nos pupitres. Plus de devoirs. Plus de leçons. 

16 juillet 2020/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (20664)/Commentaires ()/
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24 heures dans une maison de soins prolongés

Plongée dans le quotidien du personnel soignant

Auteur: Alexandra Drame (EV)/27 novembre 2014/Catégories: 2014, Société, Aînés

Gloriose Gahizi est infirmière auxiliaire depuis 9 ans. Elle nous raconte son quotidien en maison de soins infirmiers à Saskatoon. Un mélange aigre-doux de travail en sous-effectif, de petits moments de complicité avec les patients, mais aussi le portrait de la solitude des aînés.

Le matin 

L’équipe de jour : 5 infirmières et 14 préposés pour 140 patients

L’équipe de nuit passe le relais à l’équipe de jour. Un point est fait sur la condition médicale des résidents. On regarde l’emploi du temps pour voir si certains patients ont des rendez-vous médicaux à l’extérieur et lesquels on doit préparer en premier. En effet, chaque patient est lavé une fois par semaine seulement, les autres jours ils sont débarbouillés au lavabo ou dans leur lit. Sur une unité de 50 résidents avec 6 préposés, on ne peut pas faire plus, car cela implique de déplacer les patients, les laver, les habiller... Ces opérations prennent du temps et nous sommes en sous-effectif.

Tous les résidents sont ensuite amenés à la salle de petit-déjeuner, sauf ceux qui sont trop malades, contagieux, ou ne souhaitent pas y aller. On leur sert de la nourriture santé, on veille aussi à ce qu’ils soient bien hydratés. Les médicaments sont administrés, selon les doses préparées par les infirmières.

Un employé s’occupe de l’organisation d’activités pour les résidents : concerts de bénévoles, ateliers de cuisine, jeux de motricité avec un ballon. Il peut aussi y avoir des activités de physiothérapie suivies d’évaluations sur l’évolution de la santé. Pendant l’été, de jeunes bénévoles sortent les patients pour des promenades dans le quartier.

Le midi

Nous avons des défis pour nourrir les patients en perte d’autonomie. Il y en a de plus en plus chaque jour, et cela demande du personnel. On s’assoit entre deux personnes pour les nourrir en même temps par exemple. Les personnes qui font le service, et dont ce n’est pas la tâche, viennent aider au moment des repas. Des familles et des bénévoles viennent spécialement pour nous aider à nourrir les patients. C’est vraiment un travail d’équipe.

L’après-midi

Une collation est servie. Certains patients retournent dans leur chambre pour se reposer, d’autres ont des rendez-vous médicaux ou des visites de leur famille. C’est aussi le moment de faire les réunions avec nos supérieurs pour préparer le shift de nuit. Et c’est le temps de changer les positions des personnes en soins palliatifs pour éviter les plaies de lits.

La nuit

L’équipe de nuit : 2 infirmières et 5 préposés pour 140 patients

De nouveau, il y a passage de relais entre les équipes de jour et de nuit.

On change les culottes d’incontinence des patients et on les prépare pour le souper. On les ramène ensuite dans leur chambre. Certains préfèrent s’assoir dans les corridors pour discuter avec le personnel et ne pas rester seuls dans leurs chambres.

La nuit, il y a souvent des urgences : des gens qui tombent en voulant aller aux toilettes, des personnes qui tombent malades ou inconscientes. Il faut être aussi vigilant qu’en journée.

Les difficultés rencontrées au quotidien

La difficulté principale c’est le manque de personnel. Nous ne pouvons pas donner l’attention que nous voudrions à chaque patient alors que c’est important pour le maintien de leur santé. Nous pourrions éviter des frustrations de la part des patients, du personnel et des familles. Certaines familles sont difficiles et se plaignent du service, mais beaucoup comprennent notre situation et nous aident bénévolement.

Les bons côtés du métier

Le travail en équipe et l’entraide sont très importants. Le soutien moral des superviseurs nous motive à continuer chaque jour. Maintenir un environnement sain et propre pour nos patients est une fierté.

J’ai eu le cas d’une patiente qui, avec l’âge, avait oublié l’anglais. Les autres membres du personnel pensaient qu’elle ne pouvait pas parler. Mais lorsque je lui ai parlé en français, elle m’a répondu. Elle est contente de pouvoir parler avec moi et elle a retrouvé le sourire. On est content de voir que l’on sauve des vies. Et on est content quand un patient nous dit merci.

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Alexandra Drame (EV)

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 - mercredi 15 mai 2024