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Festival fransaskois 2024
Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les faibles taux de rétention, revers de la médaille en immersion

Les programmes d’immersion ont augmenté dans les vingt dernières années, mais moins de la moitié des élèves restent jusqu’à l’obtention de leur diplôme.

10 février 2022/Auteur: Ericka Muzzo – Francopresse /Nombre de vues (6114)/Commentaires ()/
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Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Postsecondaire dans l'Ouest: la demande dépasse l’offre

Dans l’Ouest canadien, la demande pour des programmes en français est plus élevée que l’offre des établissements postsecondaires. C'est ce qui ressort des États généraux sur le postsecondaire en contexte francophone minoritaire.

8 février 2022/Auteur: Marianne Dépelteau – Francopresse/Nombre de vues (7001)/Commentaires ()/
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La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

La francophonie, parent pauvre du postsecondaire

L’égalité est loin d’être atteinte entre les établissements postsecondaires francophones et ceux de la majorité anglophone. 

25 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (6452)/Commentaires ()/
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Revue de l'année 2021 - Éducation

Revue de l'année 2021 - Éducation

Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2021 dans le domaine de l'éducation.

14 janvier 2022/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (6926)/Commentaires ()/
Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Reconnaissance nationale pour Ronald Ajavon du CÉF

Ronald Ajavon du Conseil des écoles fransaskoises est reconnu parmi les 10 personnalités influentes de la francophonie canadienne de 2021.

3 janvier 2022/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (7152)/Commentaires ()/
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Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

Garderies à 10 $ : pas de clause linguistique pour les francophones

La Fédération des communautés francophones et acadiennes craint désengagement du fédéral de sa responsabilité de protéger l'éducation de la petite enfance en français. 

 

17 décembre 2021/Auteur: Inès Lombardo – Francopresse /Nombre de vues (8582)/Commentaires ()/
Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

Étudier en français sans le parler : le défi des élèves allophones

L’intégration des élèves allophones, de plus en plus nombreux, représente un défi pour les écoles francophones en milieu minoritaire. 

16 décembre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (6834)/Commentaires ()/
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Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

Qu'est-ce que la communauté fransaskqueer?

La Cité universitaire francophone de Regina organisait une table ronde sur la communauté fransaskqueer, du nom d’un projet d’études sur l’identité et les expériences queer et trans des Fransaskois.

28 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse /Nombre de vues (10613)/Commentaires ()/
Balises: lgbtq
Éducation francophone : Me  Roger Lepage décortique l’article 23

Éducation francophone : Me Roger Lepage décortique l’article 23

Me Roger Lepage nous explique que la francophonie canadienne en situation minoritaire revient de loin en matière d’éducation en français.

21 novembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (11027)/Commentaires ()/
Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Quel continuum en éducation pour les Fransaskois ?

Le Rendez-vous fransaskois qui avait lieu du 1er au 7 novembre touchait un sujet sensible et urgent : l’éducation. Dans cet article, vous trouverez un résumé des discussions qui ont eu lieu à ce sujet.

13 novembre 2021/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (10177)/Commentaires ()/
Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Jean Féron : à la découverte d’un trésor bien caché

Le Conseil culturel fransaskois a publié un troisième guide pédagogique consacre à Joseph-Marc Lebel, alias Jean Féron, l’un des joyaux les plus méconnus de la littérature francophone de l’Ouest.

 

1 novembre 2021/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (10303)/Commentaires ()/
Des balados en français pour les écoles

Des balados en français pour les écoles

Le Conseil culturel fransaskois a dévoilé son projet déCLIC, une série de balados éducatifs qui explore la construction langagière, identitaire et culturelle en Saskatchewan.

25 octobre 2021/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (7812)/Commentaires ()/
Balises: DéCLIC
Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

Garderies à 10 $ : ententes opaques sur d’éventuelles clauses linguistiques

La création d’un système public pancanadien de garderies à 10 $ améliorera le sort des parents canadiens, mais les francophones en situation minoritaire s’inquiètent du manque de places de garderie pour eux malgré tout.

8 octobre 2021/Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/Nombre de vues (8526)/Commentaires ()/
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Garderies francophones : une cinquantaine de nouvelles places à Saskatoon

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Apprenez-en plus sur les deux nouveaux établissements de la petite enfance francophones qui ont ouvert leurs portes récemment à Saskatoon.

7 octobre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (9362)/Commentaires ()/
Une Journée d’orientation scolaire réussie

Une Journée d’orientation scolaire réussie

La Journée d’orientation scolaire du SAIF-SK pour les nouveaux arrivants a attiré plus d’une quinzaine de familles francophones et non francophones.

6 septembre 2021/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (10249)/Commentaires ()/
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Les secrets simples du jardinage

Vidéoconférence dans le cadre de Résot'âges

Auteur: Simb Simb/19 mai 2020/Catégories: 2020, Agriculture et environnement, Vitalité 55+ SK

Lisette Marchildon a la main verte et n’est pas avare de conseils. Le 6 mai dernier, en collaboration avec la Fédération des aînés (FAF), la Fransaskoise a partagé via vidéoconférence quelques-uns de ses secrets dans le cadre du projet Résot’âges, un partenariat avec la Cité universitaire francophone de Regina.

Née à Zenon Park dans une famille de neuf enfants, Lisette Marchildon est une passionnée de jardinage. Du haut de ses 40 ans d’expérience, elle a voulu offrir aux participants l’occasion de renouer avec la nature avant la longue fin de semaine de la fête de la Reine.

Selon Lisette, « jardiner est synonyme d’espoir : on met quelques graines sous terre et on vérifie tous les jours pour voir le progrès. On s’émerveille de voir des fleurs et ensuite les fruits. » Une philosophie bienvenue en ces temps difficiles de confinement.

Le bonheur est dans le pré

La jardinière ajoute que le jardinage procure des bienfaits physiques, parce qu’on marche, creuse et se penche. Abordant l’aspect du bien-être psychologique, Lisette a attiré l’attention sur le calme qu’on trouve dans un jardin, lequel permet de faire le vide en soi et d’être serein. « On peut parler à ses plantes, insiste-t-elle, mais il faudra être attentionné à leur égard car elles communiqueront avec nous à travers des indices sur leurs besoins. »

Outre cette connexion avec la nature, le jardinage donne aussi à Lisette l’occasion de consommer ses propres cultures, des produits de qualité. C’est donc avec plaisir qu’elle passe en moyenne 12 heures par semaine dans son jardin en été et en automne.

Les conseils de Lisette

Un jardin peut tout aussi bien se limiter à des pots sur un balcon, dans des bacs, ou bien se trouver en terre dans une cour plus ou moins large.  Peu importe l’espace, on pourra se permettre un jardin de fleurs, de fruits ou encore de légumes.

Tout d’abord, il faudra définir la superficie de son espace cultivable, son accès au soleil et les semences à faire pousser. Le choix de la graine ou de la plante à cultiver dépend de l’espace et de la disponibilité du soleil. De plus, « il faut planter des choses qu’on aime afin d’avoir du plaisir à les consommer », conseille l’experte.

Si l’intérêt est porté vers la culture dans des pots ou bacs, il sera préférable de bien choisir son contenant et sa semence afin de s’assurer que cette dernière est adaptée à l’espace réservé. « Pour une plante de tomate, on pourra se munir d’un pot de 12 pouces à peu près », précise Lisette. Il faudra également vérifier l’accès au soleil et se munir d’une terre appropriée, car la qualité de la terre est très importante.

Quant au jardin en terre, il est important de préparer en premier lieu le sol. Ensuite, il faudra s’assurer d’avoir en sa possession les graines et les plantes à ensemencer. « Moi, je n’arrose pas mon jardin, c’est la nature qui l’arrose. C’est l’avantage de jardiner sur une grande surface », concède Lisette. « En ville, en revanche, parce qu’on jardinera sur de très petites surfaces, on pourra arroser, surtout quand on a affaire aux pots ou bacs, mais pas beaucoup », poursuit-elle.

La saison démarre

Lisette propose d’attendre la longue fin de semaine de la fête de la Reine pour pouvoir commencer à jardiner. Pour les plus pressés, on pourra démarrer avec des pois, de la laitue et des oignons. Les premières pousses pourront êtres visibles au bout d’une semaine, à l’instar des épinards.

Pour ceux qui hésitent encore à se salir les mains, Lisette Marchildon recommande les cours ouverts au grand public et offerts à moindre coût de l’Université de la Saskatchewan. « Si tu n’essayes pas, tu ne sauras pas », tel est le dernier conseil fourni par la jardinière aguerrie.

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 - jeudi 4 juillet 2024