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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35950)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27025)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (40006)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22762)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21981)/Commentaires ()/
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Dire adieu à l’été

Dire adieu à l’été

Auteur: Dominique Liboiron/30 septembre 2023/Catégories: Société, Voyages, Chroniques, Aventure et plein air

L’été arrive trop tard et se termine trop tôt. Hélas, telle est la vie au Canada. Pour bien conclure l’été, j’ai entrepris un dernier voyage en canot et, déjà, l’automne s’annonce par des voies plus ou moins subtiles.

Mon voyage a commencé le 30 août. Le but était de me rendre à la Grande Fourche et de l’explorer.

La Grande Fourche, située à une heure en auto à l’ouest de Medicine Hat, porte ce nom en raison des deux rivières qui se retrouvent à cet endroit. Quand elles s’unissent, la rivière Bow et la rivière Oldman forment la rivière Saskatchewan Sud qui traverse ensuite la province.

Mon voisin Daniel m’a aidé à transporter mon canot le long de la rivière Oldman à Lethbridge. Les arbres qui longent le cours d’eau étaient verts, mais ici et là quelques feuilles jaunes paraissaient et chuchotaient l’arrivée du spectacle des couleurs.

En quittant Lethbridge, la rivière Oldman traverse des badlands. Au-delà de la berge, où les peupliers poussent en abondance, j’ai contemplé les falaises, les hoodoos et le paysage rude typique de Drumheller et du sud de l’Alberta.

Le troisième jour de mon voyage, soit le 1er septembre, j’ai vu en soirée une lune géante à l’horizon. Elle était d’un orange tout à fait vif et cinq coyotes très près de mon camp chantaient pour accompagner sa levée dans le ciel. C’était la lune de la récolte et un symbole des moissons d’automne.

Les oiseaux ont annoncé à leur tour le changement des saisons. Par exemple, j’ai vu 20 bernaches voler en forme de V. Quant à l’hirondelle à front blanc, j’ai vu littéralement des milliers de ses nids le long des falaises, mais tous vides. Les hirondelles étaient déjà parties vers le sud.

Par contre, la tourterelle triste y était toujours. J’en ai vu beaucoup. Ses oiseaux au cri plaintif ont horreur du froid. Elles partent la nuit du premier gel, alors leur présence indiquait que du côté de la température l’été régnait encore. D’ailleurs, le soleil était plombant et j’ai mis de l’écran solaire à deux reprises.

Je suis arrivé à la Grande Fourche le 3 septembre. Je suis resté un jour de plus pour mieux découvrir le site et pour prolonger mon été autant que possible.

Le lendemain, c’est-à-dire le lundi de la longue fin de semaine, et le jour qui marque la fin non officielle de l’été, j’ai chargé mon camion que j’avais laissé à la fourche auparavant et je suis retourné chez moi.

 

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Dominique Liboiron

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