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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35949)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27022)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (40003)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22759)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21979)/Commentaires ()/
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L’Eau vive, dépositaire de la mémoire fransaskoise

Auteur: Emmanuel Masson/8 novembre 2021/Catégories: Organisme, CPF - Coopérative des publications fransaskoises

À travers ses milliers de numéros publiés depuis 1971, L’Eau vive se fait le témoin privilégié de l’histoire de la fransaskoisie. La Société historique de la Saskatchewan (SHS) s’est donné pour mission d’archiver cette mémoire.

« L’Eau vive témoigne de la vitalité de la communauté fransaskoise, de ses événements, de la présence de  ses membres, de ses succès et défis », avance Alexandre Chartier, directeur général de la Société historique de la Saskatchewan (SHS).

« Perdurer pour l’éternité »

Par le biais de son Centre des archives fransaskoises, la SHS compte numériser tous les numéros de L’Eau vive publiés entre 1971 et 1998, soit 1 095 éditions, ou pas moins de 16 000 pages. « La numérisation devrait se terminer à l’été prochain », indique Alexandre Chartier.

Le plus difficile sera, en fait, de tout indexer. « On a démarré un programme d’indexation unique au Canada. On va créer des mots-clés et descriptions associés aux articles. L’indexation va aider dans les recherches sur des thématiques larges en ciblant des périodes, des auteurs, des titres… »

Un travail d’autant plus essentiel que sans cette indexation, une recherche dans les archives serait comme chercher une aiguille dans une botte de foin. « Un objet mal référencé est un objet mort. Les chercheurs ne pourront pas le trouver », ponctue le responsable.

Une dizaine de bénévoles travaillent sur ce projet d’indexation qui, lui, devrait prendre une dizaine d’années à accomplir. « On parle de 40 000 à 50 000 articles au total », précise le directeur de la SHS qui travaille avec la Cité universitaire francophone de l’Université de Regina pour recruter des étudiants.

Un outil de recherche

Cette numérisation et cette indexation des pages du journal visent ainsi à constituer un patrimoine accessible aux générations futures, mais pas seulement. « On travaille avec un comité de chercheurs universitaires qui ont besoin de travailler avec les archives de l’Eau vive. Le projet de numérisation va consolider et répondre à ce besoin d’accès », explique Alexandre Chartier. 

« Le journal est un élément fondamental pour la recherche historique, que ce soit pour les chercheurs, les étudiants ou les journalistes. On a beaucoup de demandes de recherche privée ou publique, de France, Belgique, Norvège, Japon, Allemagne… Souvent en lien avec l’immigration, la colonisation de l’Ouest canadien et les mélanges culturels », témoigne le directeur de la SHS.

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Emmanuel Masson

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