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Le Ministre Rob Norris visite Collège Mathieu

Le Ministre Rob Norris visite Collège Mathieu

Le ministre de l’Enseignement supérieur de la Saskatchewan, Rob Norris, a visité le Collège Mathieu à Gravelbourg le 10 avril 2014. 

21 avril 2014/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (31839)/Commentaires ()/
Remise de bourses au 5 à 7 de l’Institut français

Remise de bourses au 5 à 7 de l’Institut français

C’est au cours du dernier 5 à 7 de l’année de l’Institut français qu’a eu lieu la remise de bourses d’études annuelle.

17 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25337)/Commentaires ()/
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Un nouveau groupe de parents, de nouvelles exigences auprès du CSF

Un nouveau groupe de parents, de nouvelles exigences auprès du CSF

Il y a maintenant un nouveau groupe de parents qui fait pressions sur le Conseil scolaire fransaskois.

17 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23507)/Commentaires ()/
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Un poisson d’avril épicé

Un poisson d’avril épicé

Le 1er avril, certains élèves de 7e année de l’école Mgr Laval ont cuisiné un poisson d’avril des plus pimentés à leur directeur. 

10 avril 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (30133)/Commentaires ()/
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Célébration de la semaine des adultes apprenants

Depuis 2000, l’UNESCO a initié la célébration de la semaine des adultes apprenants qui vise la promotion de la culture de l’apprentissage tout au long de la vie; une occasion donnée aux adultes d’exprimer leurs points de vue, expliquer leurs défis et de faire part de leurs réussites. 

3 avril 2014/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (33184)/Commentaires ()/
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Zoé Kendel de Prince Albert se mérite un prix national en écriture

Zoé Kendel de Prince Albert se mérite un prix national en écriture

Zoé Kendel, élève de la 11e année à l’école Valois, s’est méritée la première place dans la catégorie sénior d’écriture du concours « J’écris et je crée! – guerre de 1812 » de Historica Canada.

2 avril 2014/Auteur: Jennie Baudais/Nombre de vues (34678)/Commentaires ()/
Balises: École Valois
Ouverture officielle du PSQV et du Carrefour Horizons

Ouverture officielle du PSQV et du Carrefour Horizons

C’est le jeudi 20 mars dernier qu’a eu lieu l’ouverture officielle de l’édifice qui abrite le pavillon secondaire de l'École Mgr de Laval.Même si le Pavillon secondaire des Quatre-Vents (PSQV) de l’école Mgr de Laval est en pleine action depuis le début de l’année scolaire et que le Carrefour Horizons abrite une dizaine d’organismes fransaskois depuis près d’un an, c’est le jeudi 20 mars dernier qu’a eu lieu l’ouverture officielle de l’édifice. 

27 mars 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (37514)/Commentaires ()/
Journée de la francophonie

Journée de la francophonie

Je me souviens...

Portrait croisé de deux pionniers, à qui l’éducation en français tient à cœur depuis longtemp: Roger Gauthier et Wilfrid DenisTous les élèves du secondaire se sont retrouvés dans l’amphithéâtre du Pavillon Gustave Dubois pour écouter deux personnes qui connaissent le chemin parcouru depuis la petite École canadienne-française, qui comptait quelques élèves il y a une trentaine d’années, jusqu’aux pavillons élémentaire et secondaire, qui accueillent désormais plusieurs centaines d’élèves.

27 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (25639)/Commentaires ()/
Braver les routes enneigées pour honorer l’orthographe et la grammaire

Braver les routes enneigées pour honorer l’orthographe et la grammaire

Mercredi matin 12 mars. L’ambiance est pesante au bistro du Carrefour des Plaines à Regina. Les responsables de l’école Mgr de Laval scrutent nerveusement la rue Hillsdale dans l’espoir de voir arriver les participants de la finale provinciale de la dictée Paul Gérin-Lajoie (PGL). 

20 mars 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (25744)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Conférence de Nancy Doyon, Coach familial

Nancy Doyon aide les enfants dans leur famille, mais aussi à l’école. 

6 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (28341)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation

Le CÉFOU « en pause » pour le printemps 2014

La nouvelle a fait le tour de la fransaskoisie : cette année le CÉFOU n’aura pas lieu en 2014.

6 mars 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (27379)/Commentaires ()/
Balises: CÉFOUCÉF
Le nouveau cabinet Juristes Power

Le nouveau cabinet Juristes Power

Un appui aux conseils scolaires francophones en période turbulente

Mark Power dirige un nouveau cabinet bilingue à mandat national et réunissant dix passionnés de droit. Les conseils scolaires francophones comptent sur lui pour traverser des années sombres pour la jurisprudence.

6 mars 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22602)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Mgr de Laval à l’école du recyclage

Les élèves de Mgr de Laval à l’école du recyclage

Visite des élèves de Mgr de Laval aux installations de recyclage de Regina.

6 mars 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (29350)/Commentaires ()/
Symposium des 2014 de l’Association des parents fransaskois

Symposium des 2014 de l’Association des parents fransaskois

Toutes les familles étaient invitées au Pavillon Gustave Dubois, ce samedi 1er mars, pour échanger sur des thématiques liées au bien-être et à la sécurité des petits comme des grands. 

6 mars 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (24774)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: parents

Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35632)/Commentaires ()/
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La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau

La fin de Keystone XL pourrait faire l’affaire de Trudeau

Auteur: Bruno Cournoyer Paquin – Francopresse/22 janvier 2021/Catégories: Économie, Politique

FRANCOPRESSE – Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline Keystone XL, dans l’un des premiers décrets présidentiels signés le jour de son assermentation, le 20 janvier. La compagnie promotrice du projet, TC Énergie, a annoncé qu’elle suspendait les activités de construction de Keystone XL quelques heures avant la signature du décret. Un prélude à une joute politique houleuse au Canada, croient certains experts.

Ce décret renverse l’autorisation accordée au projet par l’administration Trump en 2017, elle-même un renversement de l’annulation du projet par l’administration Obama en 2015. 

Daniel Béland
Le politologue Daniel Béland est depuis 2019 le directeur de l'Institut d'études canadiennes de l’Université McGill.
Photo : David Stobbe
Le professeur Daniel Béland, du Département de sciences politiques de l’Université McGill, clarifie que ce qui s’est produit, ce n’est pas l’annulation du pipeline comme tel, mais bien l’annulation du permis de construction accordé par le gouvernement fédéral américain.

«On pourrait imaginer que dans quatre ans, s’il y avait un président républicain, on pourrait remettre le projet sur la table», pourvu que le promoteur soit toujours intéressé, croit Daniel Béland.

Le pipeline Keystone XL aurait permis d’exporter 830 000 barils de pétrole par jour, destinés aux raffineries du golfe du Mexique, à partir du terminal d’Hardisty en Alberta.

«Nous sommes déçus par [la décision de Joe Biden] à l’égard du projet Keystone XL. Nous reconnaissons toutefois la décision du président de tenir la promesse qu’il avait faite en campagne électorale», a déclaré le premier ministre Justin Trudeau par voie de communiqué, tout en affirmant son soutien aux travailleurs de l’Alberta et de la Saskatchewan.

Ottawa face au fait accompli

Pourtant, lorsque des informations sur l’annulation du projet ont commencé à circuler dans les médias, quelques jours avant l’entrée en poste de Joe Biden, le gouvernement canadien s’était dit prêt à continuer de défendre le projet auprès de la nouvelle administration américaine.

Une réaction initiale qui s’explique en partie par la situation difficile du Parti libéral dans l’Ouest, soit «qu’ils n’ont pas de députés en Alberta et en Saskatchewan, et c’est là que Keystone est considéré comme un projet important», selon Daniel Béland.

«Ottawa veut combattre l’idée qu’il se fout de l’Ouest, de l’Alberta et de la Saskatchewan», ajoute le politologue.

Cette tentative de combattre «l’aliénation de l’Ouest» crée cependant des tensions avec le programme fédéral sur l’environnement : «On fait partie de l’Accord de Paris, on combat les changements climatiques, mais en même temps, on fait la promotion d’un pipeline qui va transporter du pétrole extrait de sables bitumineux, donc qui va contribuer à l’augmentation des gaz à effet de serre», observe Daniel Béland.

André Lecours
André Lecours, professeur à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa, croit que l’annulation de Keystone XL augmentera la pression sur Ottawa pour construire d’autres pipelines au Canada. Crédit: courtoisie
 En fait, croit le professeur André Lecours de l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa, «le gouvernement Trudeau n’est probablement pas fâché que le projet soit annulé, et surtout qu’il soit annulé par un gouvernement étranger, donc le Canada n’a pas à en porter l’odieux». 

«Ça m’apparait un jeu politique assez évident : le positionnement à prendre, c’est de dire “c’est dommage, on aimerait ça que ça fonctionne et on va continuer à parler à l’administration Biden au sujet des mérites de ce projet”, mais tout en sachant qu’évidemment ça ne portera pas fruit», ajoute-t-il.  

Et les chances que le gouvernement Trudeau infirme la décision de l’administration Biden sont quasi inexistantes, selon Daniel Béland : «Si Stephen Harper, qui avait un gouvernement majoritaire, n’a pas réussi à convaincre Obama [de donner le feu vert à Keystone XL], comment Trudeau pourrait-il convaincre Biden?»

Joe Biden, rappelle André Lecours, s’était déjà engagé à annuler le projet d’oléoduc Keystone XL lors de la campagne électorale. Il est donc peu probable qu’Ottawa puisse infirmer cette décision.

Daniel Béland ajoute que l’annulation de Keystone XL constitue aussi un geste symbolique — et peu couteux politiquement — de la part de Joe Biden envers l’aile gauche du Parti démocrate, qui exige des mesures plus musclées sur l’environnement.

«Les jeux sont déjà faits», résume André Lecours.

Vers la politique du blâme

Pour André Lecours, on peut s’attendre à un jeu de «transfert de blâme» de la part du gouvernement albertain de Jason Kenney dans la foulée de la décision de l’administration Biden.

«Je ne sais pas quels arguments [Jason Kenney] va déployer, mais il va finir par dire “regardez, le gouvernement du Canada ne nous a pas assez aidés là-dessus, donc c’est pour ça que ça n’a pas fonctionné”. C’est sûr qu’il ne voudra pas porter l’odieux de la manière dont ça va se terminer.»

Son collègue à l’École d’études politiques de l’Université d’Ottawa, Louis Simard, acquiesce que «ça va être un retour à ce qu’on a déjà vu, une pression du gouvernement albertain envers Ottawa pour rendre responsable le gouvernement fédéral de ne pas avoir su bien préparer le futur président américain à cet enjeu important».

Il s’agit de la même stratégie que le gouvernement Kenney avait employée avec le projet Transmountain, souligne Daniel Béland, mais elle sera sans doute moins persuasive cette fois : alors que ce projet était entièrement sur le territoire canadien, Keystone XL se déploie de façon substantielle sur le territoire américain.

«[Jason Kenney] peut dire “Trudeau n’a pas essayé assez fort avec Biden”, mais en fin de compte, c’est Biden qui prend la décision», croit le professeur de McGill.

Des pressions accrues pour construire des oléoducs au Canada

Pour André Lecours, l’annulation du projet Keystone XL augmentera sans doute les pressions sur Ottawa pour autoriser de nouveaux oléoducs ailleurs au pays, ce qui ravivera les tensions entre les provinces productrices de pétrole et le reste du pays.

Militants Keystone XL en 2011
Crédit: Chesapeakeclimate - Wikipedia Commons
Il y aura de la pression pour réaliser le projet de Transmountain le plus vite possible, croit Louis Simard, et même si le projet a été autorisé, cela pourrait encourager les opposants au projet à se remobiliser sur le terrain.

Des pressions accrues pour construire des pipelines au Canada, consent Daniel Béland, «vont augmenter les tensions avec les groupes autochtones, avec les environnementalistes, entre Ottawa et les provinces».

Kenney dans l’eau chaude?

L’annulation de Keystone XL pourrait faire mal aux finances du gouvernement de l’Alberta, soutient Daniel Béland, car il a investi 1,5 milliard $ dans le projet, en plus d’accorder 6 milliards $ en garanties de prêts, et ce dans un contexte économique plutôt difficile, alors que la province se dirigeait déjà vers un déficit record.

Une erreur «un peu étrange, croit André Lecours, parce qu’ils l’ont fait pendant la pandémie, et ils savaient évidemment qu’il y avait des chances que Joe Biden devienne président des États-Unis. Ils connaissaient les couleurs de Biden là-dessus. Ils ont investi dans un projet sur lequel ils n’avaient aucun contrôle».

Selon Daniel Béland, Jason Kenney est déjà affaibli politiquement à cause de sa gestion désastreuse de la COVID-19, et il s’est en plus personnellement associé au projet Keystone XL – il était notamment présent lors du lancement de la construction d’une section du pipeline.

L’échec de Keystone XL, dans un contexte de misérabilisme économique, pourrait donc lui en couter politiquement, et être favorable au NPD de Rachel Notley, croit le politologue.

André Lecours rappelle cependant que les menaces au pouvoir des conservateurs en Alberta viennent habituellement de la droite et qu’aucun parti ne se situe à la droite du Parti conservateur uni (PCU) depuis sa fusion avec le parti Wild Rose.

La victoire du NPD de Rachel Notley en 2015 constituerait une exception, et «ce serait inhabituel de voir un gouvernement de gauche remplacer un gouvernement conservateur, croit André Lecours. Donc j’ai tendance à penser que, oui, ça peut leur faire mal, mais pas au point de leur couter le pouvoir politique».

Oléoduc

Crédit: Robson Machado - Pixelbay

 Un projet toujours pertinent?

Pour Daniel Béland, le projet Keystone XL serait toujours pertinent au point de vue économique, mais il comporte une grande part d’incertitude : 

«C’est un projet à long terme, qui prend des années à construire, et en fait on ne sait pas [s’il sera rentable]. Il y a beaucoup de risques quand on parle de l’énergie, surtout de l’énergie non renouvelable comme le pétrole et le gaz naturel. Ça dépend de la demande mondiale, de comment elle va fluctuer. Il y a plein de facteurs en jeu.»

Louis Simard, de l’Université d’Ottawa, croit que le projet demeure pertinent pour l’Alberta parce que la province souhaite continuer à développer la production de pétrole de ses sables bitumineux ; «mais avec Transmountain qui a finalement été autorisé, ça donne aussi de nouvelles capacités à l’Alberta pour pouvoir exporter sa ressource».

Pour les États-Unis, cependant, le projet Keystone XL est loin d’avoir la même importance économique ou stratégique, selon André Lecours.

«Il faut comprendre que les États-Unis, dans les dernières années, sont devenus la première puissance productrice de pétrole au monde. […] Donc les États-Unis ont beaucoup moins besoin de pétrole étranger, incluant [le pétrole] canadien, que c’était le cas il y a 10 ou 15 ans.»

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Bruno Cournoyer Paquin – Francopresse

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 - vendredi 15 novembre 2024