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Lettre des parents mobilisés

Position des parents mobilisés à la lumière des enjeux récents concernant la gestion des écoles fransaskoises: Les Parents mobilisés appuient le Conseil scolaire fransaskois (CSF), mais reconnaissent que le Conseil des écoles fransaskoises s(CÉF) a fait des erreurs stratégiques au cours des dernières années.

26 juin 2014/Auteur: Les parents mobilisés pour une saine gestion scolaire/Nombre de vues (25332)/Commentaires ()/
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Si on se donne des règles, c’est pour les suivre

Je doute que les premiers feux de signalisation ou panneaux d’arrêt aient été installés dans les villes l’année même où les voitures ont fait leur apparition dans nos rues. Il aura fallu sans doute quelques collisions avant de prendre conscience de la nécessité d’offrir un certain encadrement à la circulation. 

26 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (22834)/Commentaires ()/
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Les élèves de Laval à l’école du cirque

Les élèves de Laval à l’école du cirque

Quelle surprise! Personne ne s’y attendait. Le 18 juin, quatre-vingt-dix élèves de la 4e à la 6e année de Laval primaire ont écrit une nouvelle page de l’histoire de l’école, en réalisant le spectacle dénommé le Grand cabaret. Impressionnant.

26 juin 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (31665)/Commentaires ()/
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Concours « Lève-toi et bouge »

L’école Notre-Dame-des-Vertus de Zenon Park s’illustre plusieurs manières

Les élèves et la communauté scolaire de l’école Notre-Dame-des-Vertus (Zenon Park) ont été très actifs durant le concours national « Lève-toi et bouge! ».

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30614)/Commentaires ()/
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Clara Hughes fait un clin d’œil à Mgr de Laval

Clara Hughes fait un clin d’œil à Mgr de Laval

Traversée du Canada pour sensibiliser à la santé mentale

Mardi 10 juin, 9 heures du matin. Le directeur de l’école, M. Sébastien Ouellet, fait le tour des salles de classe et distribue en vitesse des bâtons gonflables bleus, après avoir montré aux élèves comment les utiliser. Aujourd’hui, tous les enfants sont habillés en bleu. La consigne a été donnée la veille. « Il faut encourager Clara Hughes ».

19 juin 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (30749)/Commentaires ()/
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Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

En mars 2013, Ressources humaines et Développement des compétences Canada (RHDCC) annonce aux organismes œuvrant au développement de l’alphabétisme et des compétences que le financement de base provenant de ce ministère prendrait fin en juin 2014.

19 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (27817)/Commentaires ()/
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Portes ouvertes aux nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle

Portes ouvertes aux nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle

Vendredi 13 juin, de 11 h à 16 h, les familles de Regina ont pu visiter les nouveaux locaux du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE), La Ritournelle, situés au Carrefour des Plaines à Regina, suite à l’invitation de l’Association des parents fransaskois (APF) lors de leur journée portes ouvertes.

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30630)/Commentaires ()/
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Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Une nouvelle garderie francophone en milieu familial à Regina

Les Bout'Choux DayCare

Les places en garderie sont rares, on le sait, et le nombre de garderies elles-mêmes est limité. C’est donc une inauguration bienvenue pour la communauté que celle de la garderie familiale francophone Bout’Choux Day Care de madame Saida Chehaima, qui a eu lieu, samedi 14 juin, au 22 Hyland Crescent à Regina. 

19 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (37788)/Commentaires ()/
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Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Le public visite le Pavillon secondaire des Quatre Vents

Les élèves en vedette

C’est sous le thème « Arts et spectacle » que s’est déroulée le vendredi 13 juin dernier cette soirée ouverte au public, organisée conjointement avec l’Association canadienne-française de Regina (ACFR). Avec une formule « cocktail », les visiteurs étaient invités à grignoter tout en contemplant différentes réalisations des élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de l’école Monseigneur de Laval à Regina. Les élèves de 10e année du cours de gestion financière étaient également sur place pour vendre des rafraîchissements.

19 juin 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (36202)/Commentaires ()/
Balises: PSQV
Urgence français

Urgence français

au Pavillon secondaire des Quatre Vents

C’est appuyé des rires du public de la salle que les membres de la troupe de théâtre du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), de l’école Monseigneur de Laval à Regina, ont présenté cette pièce originale. 

19 juin 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (29524)/Commentaires ()/
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Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Le CÉF fait le point sur vérification provinciale de sa situation financière

Lettre du président du Conseil scolaire fransaskois

Dans une lettre adressée aux parents, employés et partenaires communautaires, le président du Conseil scolaire fransaskois fait le point sur les récents développements dans le dossier scolaire: la cérification provinciale de la situation financière et certains énoncés diffusés dans les médias

13 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (24003)/Commentaires ()/
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Ça prend tout un village, vous dites?

Dommage que Kafka ne soit plus de ce monde. Il aurait trouvé la situation de la gestion scolaire fransaskoise plutôt inspirante. La semaine dernière, le LeaderPost de Regina a rapporté que le ministre de l’Éducation se dit profondément préoccupé du retard de la paie du personnel enseignant du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

12 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27151)/Commentaires ()/
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Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Ça sautait, ça courait et ça lançait lors des derniers jeux du CÉF...

Jeudi 5 et vendredi 6 juin derniers, à Prince Albert, ça grouillait d’activité sportive lors des derniers jeux d’athlétisme pour les élèves de la 7e à la 12e année faisant partie du Conseil des écoles fransaskois (CÉF).

12 juin 2014/Auteur: Claude Martel/Nombre de vues (30042)/Commentaires ()/
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Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de l'école Boréale relèvent le Grand défi Pierre Lavoie

Les élèves de dix écoles élémentaires fransaskoises participent au programme « Lève-toi et bouge ».  Le but de ce programme est de faire des activités physiques propres à stimuler leur rythme cardiaque et à promouvoir une saine alimentation. L’effort de chacun se mesure en « cubes-énergie », une unité de mesure inventée spécialement pour cette compétition. Dans sa plus simple expression, le cube-énergie égale 15 minutes d’activité.

12 juin 2014/Auteur: Laurent Desrosiers/Nombre de vues (27896)/Commentaires ()/
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Radisson... Allez! Tasse-toi...

Radisson... Allez! Tasse-toi...

Mardi 3 et mercredi 4 juin derniers, avait lieu la foire provinciale du patrimoine à la maison du lieutenant-gouverneur de la Saskatchewan. Cet endroit est le pied-à-terre de sa majesté, la reine Élizabeth II de l’Angleterre, lorsqu’elle et son mari viennent faire un tour dans notre coin de pays.

12 juin 2014/Auteur: Claude Martel/Nombre de vues (26260)/Commentaires ()/
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Confinement: Témoignage de quatre familles d'un océan à l'autre

Auteur: Jean-Philippe Deneault — Initiative de journalisme local – APF Ouest/2 mai 2020/Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, 2020, Société, Santé

En plein confinement, comment les parents vivent-ils au quotidien les défis du télétravail et de l’école à la maison ? Des parents de Vancouver, Saskatoon, Ottawa et Halifax partagent leurs inquiétudes face à l’anxiété et le questionnement de leurs enfants.

« Comme beaucoup en Colombie-Britannique, nous habitons dans un petit appartement. Depuis le confinement, nous essayons de bien nous occuper à la maison. Nous avons essayé de nouvelles recettes, fait le grand ménage, joué à des jeux de société, regardé des films et passé beaucoup de temps en famille », souligne la designer d’intérieur franco-syrienne Nour Enayeh, maman d’Iman, 14 ans, et de Youssof, 9 ans.

La réalité d’une ville et d’une province à l’autre diffère considérablement. Pour sa part, la famille Guéret à Halifax s’estime chanceuse d’avoir une maison avec un jardin. « Les enfants ont accès à un endroit extérieur sécurisé et je dois dire que le temps nous a été plutôt favorable ces dernières semaines », partage Lauriane Guéret, maman de Lily-Rose, 5 ans, et de Charlie, 3 ans.

Prendre une pause loin des écrans semble important à la mère de famille : « Une fois notre journée de travail terminée, nous allons tous dehors. Nous essayons de garder contact avec les amis par échange de dessins et de livres que nous déposons dans nos entrées. Nous essayons de minimiser les écrans. Quand nous mettons la télé, c’est pour faire du yoga ou de la zumba. »

Pour les Grandmaître à Ottawa, la gestion du temps entre télétravail et apprentissage scolaire de leurs deux enfants s’est perfectionnée. « Ce qui a commencé comme une vacance est devenu intense après trois semaines, dans un climat généralisé bizarre. Heureusement qu’on prend le temps de cuisiner en famille. Aussi, c’est peu de dire que le chien de la famille est gâté ! ».

Une nouvelle discipline

À 10 ans, Cormac semble comprendre la situation. « C’est un enfant assez sensible donc on lui communique assez de renseignements pour qu’il comprenne, mais pas trop pour qu’il ait peur, indique l’artiste professionnelle Laura St-Pierre, à Saskatoon. Il a des grands-parents et plusieurs autres personnes dans son entourage qui sont vulnérables. Il nous pose beaucoup de questions parce que les enfants, à cet âge-là, se parlent entre eux, voient des choses sur Internet et entendent leurs parents parler… »

Pour Nour Enayeh, à Vancouver, il était important d’expliquer à ses enfants les consignes d’isolement et la pratique collective des mesures sanitaires. « Quand on sort pour marcher ou courir, nous gardons notre espace loin des gens, nous laissons nos chaussures à la porte, nous nous lavons les mains en rentrant, nous mettons tous nos habits directement à la machine à laver », détaille-t-elle.

Les enfants, y compris les plus jeunes, semblent comprendre l’importance du confinement. À 5 ans, Lily-Rose, la fille de Lauriane Guéret, à Halifax, semble bien saisir la situation. « Elle est alerte et quand nous avons de la visite, une voisine qui vient nous dire coucou en passant dans la rue, elle me dit toujours de ne pas m’approcher à cause du virus ! »

L’anxiété et la peur

« Je ne dirais pas que Lily-Rose soit inquiète, tempère Lauriane. Elle est juste très consciente de la situation. Nous n’essayons pas de lui faire peur, mais tout ce qu’on ne fait plus au jour le jour est “à cause du virus”. Les amis, l’école fermée, les plages, la balade… Tout ce que nous avons arrêté de faire est “à cause du virus”. »

Le fonctionnaire franco-ontarien Alexandre Grandmaître note une certaine anxiété au sein de sa famille. « Les enfants sont inquiets, c’est palpable. Pas moins que les adultes en tout cas. Ils imitent sûrement nos attitudes. Nous les avons rassurés dès le début, mais il n’y a aucun doute que nous serons tous traumatisés par ce que l’on vit actuellement. »

Laura St-Pierre observe elle aussi des signes d’anxiété chez son enfant. « Son sommeil est affecté, il ne dort pas bien. C’est aussi un enfant unique : être dans la maison avec deux adultes, ce n’est pas facile. »

Le défi de l’école à la maison

L’école à la maison est souvent tributaire de son degré d’aisance avec les nouvelles technologies. « Notre adolescente s’en sort sans problème, observe Alexandre Grandmaître, alors que notre fils de 10 ans est forcé de faire un bond de géant. » Un travail important en amont lui semble ainsi nécessaire pour développer « les bons comportements de l’autoapprentissage ». Le seul vrai répit survient lorsque les enseignants animent des classes virtuelles, note le parent d’élève.

À Halifax, Lauriane Guéret fait de son mieux pour assurer les cours. Celle qui travaille pour le ministère de l’Éducation de la Nouvelle-Écosse constate de rapides progrès chez sa fille Lily-Rose. « Elle apprend vite, c’est assez fou de voir l’évolution ! Ça nous fascine pas mal. Et c’est quelque part génial de voir ça, sous nos yeux, car ce n’est pas quelque chose auquel nous faisions très attention lorsqu’elle était à l’école. »

Dompter les ressources

De nombreux outils pédagogiques en ligne existent. Malgré tout, Laura St-Pierre, chargée de cours en ligne à l’Université de la Saskatchewan, a parfois de la difficulté à faire concorder son horaire de travail avec les ateliers interactifs virtuels. « Il nous arrive d’en manquer plusieurs comme nous travaillons à temps plein. Le Conseil culturel fransaskois offre d’excellents ateliers en art que nous avons hâte d’essayer. »

L’abondance de ressources est parfois étourdissante pour les parents. « Le conseil d’école, le ministère de l’Éducation de l’Ontario, les professeurs ont tous partagé des ressources. C’est difficile de s’y retrouver. On se rend compte qu’il serait avantageux que tout soit centralisé », suggère Alexandre Grandmaître du quartier francophone Vanier à Ottawa.

Les attentes du milieu scolaire peuvent ajouter à la difficulté. « C’est devenu un défi d’intégrer des outils de communication électroniques à tous les niveaux, pour toutes les activités, de tous les membres de la famille », explique le Franco-Ontarien. Trouver les ressources adéquates demeure chronophage : « Je passe plus de temps à chercher des idées qu’à en trouver, regrette Lauriane Guéret. Trop d’informations tue l’information ! »

Point positif, le confinement et l’école à la maison permettent aux enfants d’explorer par eux-mêmes des sujets qui les intéressent. « Cette semaine, c’était le narval, rapporte Laura St-Pierre. Cormac doit ensuite appeler ses grands-parents maternels et paternels pour discuter de ses résultats de recherche. Ils adorent ça et c’est un excellent moyen pour eux de discuter ensemble. Ça change des jeux vidéo ! »

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Jean-Philippe Deneault

Jean-Philippe Deneault — Initiative de journalisme local – APF Ouest

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 - jeudi 26 décembre 2024