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Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

Des élèves voudraient une heure de... 60 minutes

SASKATOON - C’est une délégation de jeunes élèves de l’École canadienne-française de Saskatoon, qui a donné le coup d’envoi de l’Assemblée annuelle des électeurs du Conseil scolaire fransaskois.
4 février 2015/Auteur: Michèle Fortin (EV)/Nombre de vues (29628)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

Assemblée annuelle du Conseil scolaire fransaskois : Une soirée bien tranquille

SASKATOON - Le vendredi 30 janvier, le Conseil scolaire fransaksois (CSF) a rencontré ses électeurs pour la première fois depuis le dépôt d’un rapport sévère de la vérificatrice provinciale et la fermeture annoncée de l’école Sans-frontières de Lloydminster.

4 février 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (35059)/Commentaires ()/
Balises: AGA CSF 2015
La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La cause de la Commission scolaire francophone du Yukon entendue à la Cour suprême du Canada

La Cour suprême du Canada a pris en délibéré, le 21 janvier 2015, la cause qui oppose depuis plusieurs années la Commission scolaire francophone du Yukon (CSFY) au gouvernement du Yukon. Le litige repose sur les droits de gestion scolaire en contexte minoritaire.

29 janvier 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33005)/Commentaires ()/
Balises: CSFY
Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise:  Comment se porte le français dans nos écoles?

Après 20 ans de gestion scolaire fransaskoise: Comment se porte le français dans nos écoles?

Rencontre avec un parent inquiet, mais optimiste

La Saskatchewan a bien changé depuis l’obtention de la gestion scolaire il y a 20 ans. Depuis deux décennies, l’épanouissement du Conseil des écoles fransakoises (CÉF) est évident. La gestion scolaire est-elle garante de la qualité de l'éducation française? Nous en avons discuté avec un parent de Regina qui a accepté de répondre à nos questions mais qui a préféré garder l'anonymat.

29 janvier 2015/Auteur: Mychèle Fortin (EV)/Nombre de vues (239481)/Commentaires ()/
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Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

Le Québec refuse d'appuyer les francophones minoritaires

La Commission scolaire francophone du Yukon devant la Cour suprême

J’ai appris avec stupéfaction la position du gouvernement du Québec devant la Cour suprême en ce qui concerne la gestion des écoles par les minorités francophones du reste du pays. En effet, par l’entremise de sa ministre de la justice, Stéphanie Vallée, Québec a signifié son refus d’appuyer des communautés francophones hors Québec. 

29 janvier 2015/Auteur: Jean-François Larose/Nombre de vues (32365)/Commentaires ()/
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Turbulences dans les conseils scolaires francophones

Turbulences dans les conseils scolaires francophones

La CSFTNO se tourne vers la Cour suprême

La Commission scolaire francophone des Territoires du Nord-Ouest (CSFTNO) et l'Association des parents ayant droit de Yellowknife (APADY) viennent de subir un cuisant revers devant la Cour d’appel des TNO.

20 janvier 2015/Auteur: Denis Lord (L’Aquilon) et Paul Mengoumou (Francopresse)/Nombre de vues (32992)/Commentaires ()/
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Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Deux enseignants québécois mieux outillés par un séjour en Saskatchewan

Bilan d'un stage de de l'ACELF de six semaines par deux étudiants de l'Université de Sherbrooke à l'école fransaskoise Mgr de Laval à Regina.
15 janvier 2015/Auteur: (ACELF)/Nombre de vues (22875)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Lancement du Grand Quiz

Lancement du Grand Quiz

La Grande Dictée fait peau neuve!

REGINA - C’est le 7 janvier 2015 que le Collège Mathieu et Radio-Canada ont tenu une conférence de presse dans le but de présenter leur nouveau concept tant attendu, Le Grand Quiz.
15 janvier 2015/Auteur: Marie-Pier Boilard (EV)/Nombre de vues (41224)/Commentaires ()/
Balises: Grand Quiz

Rapport de la vérificatrice sur la gestion scolaire : Un besoin de rigueur

On attendait de pied ferme le rapport de la vérificatrice provinciale sur la gestion du Conseil scolaire fransaskois (CSF) et l’administration du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Jetons un coup d’œil sur certains éléments clé de ce document qui démontrent que les déboires financiers n’étaient pas dus qu’à un manque de financement. 

11 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (29041)/Commentaires ()/
Symposium des parents 2014

Symposium des parents 2014

REGINA - Plus de 100 personnes se sont retrouvées au Symposium des parents ce samedi 29 novembre à Regina. Sous le thème Trouver son équilibre!, l’Association des parents fransaskois (APF) présentait son évènement annuel.

4 décembre 2014/Auteur: Stéphanie Alain/Nombre de vues (28619)/Commentaires ()/

Une ouverture qui pourrait devenir une brèche

Je vois la dominance de l’anglais à une rencontre aussi importante que celle de Lloydminster comme un signal d’alarme. Qu’on se rappelle l’exemple de la Coopérative d’habitation Villa Bonheur à Saskatoon. Par souci de rentabilité, elle avait accepté d’accueillir des anglophones. Aujourd’hui, les rencontres de son conseil d’administration se déroulent en anglais uniquement.

3 décembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26091)/Commentaires ()/
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Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

Le CSF accepte les conclusions de la vérificatrice provinciale

 Il y a plus d’un an, le Conseil scolaire fransaskois a entamé un long processus de redressement, nécessitant la mise en place de pratiques de gestion financière et de gouvernance améliorées. Selon le CSF, ces pratiques vont dans le sens des recommandations exprimées dans le rapport qui a été rendu public aujourd’hui.

3 décembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31565)/Commentaires ()/
Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

Rencontre sur l’avenir de l’école fransaskoise de Lloydminster : Des discussions presqu’uniquement en anglais

L'attrait des anglophones pour l'école fransaskoise est-il uniquement culturel et linguistique?

Grâce à la nouvelle stratégie numérique de la Société Radio-Canada, le grand public a pu assister par Webdiffusion à la rencontre qu’a organisée le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les parents dont les enfants fréquentent l’école fransaskoise Sans-Frontières de Lloydminster. La direction du CÉF et le président du Conseil scolaire fransaskois ont voulu faire le point avec la vingtaine de participants sur la situation du financement de cette école dont la fermeture est sur l’écran radar avec son déficit annuel de 650 000$. 

27 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (26868)/Commentaires ()/
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Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise?

Conseils scolaires francophones: La démocratie scolaire en crise?

La participation électorale a chuté et des conseils scolaires en milieu minoritaire gouvernent sans l’intérêt du public. Un défi de légitimité s’annonce.

27 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22509)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Rencontre entre le Collège Mathieu et le ministre Doherty

Le 6 novembre dernier, des représentants du Collège Mathieu se sont rendus à Regina où ils ont rencontré le Ministre de l’Enseignement supérieur, Kevin Doherty, à son bureau du Palais législatif. La délégation était composée du président Réal Forest, du vice président René Archambault ainsi que du directeur général Francis Kasongo.

27 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28737)/Commentaires ()/
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Confinement: Témoignage de quatre familles d'un océan à l'autre

Auteur: Jean-Philippe Deneault — Initiative de journalisme local – APF Ouest/2 mai 2020/Catégories: Initiavive de journalisme local - APF, 2020, Société, Santé

En plein confinement, comment les parents vivent-ils au quotidien les défis du télétravail et de l’école à la maison ? Des parents de Vancouver, Saskatoon, Ottawa et Halifax partagent leurs inquiétudes face à l’anxiété et le questionnement de leurs enfants.

« Comme beaucoup en Colombie-Britannique, nous habitons dans un petit appartement. Depuis le confinement, nous essayons de bien nous occuper à la maison. Nous avons essayé de nouvelles recettes, fait le grand ménage, joué à des jeux de société, regardé des films et passé beaucoup de temps en famille », souligne la designer d’intérieur franco-syrienne Nour Enayeh, maman d’Iman, 14 ans, et de Youssof, 9 ans.

La réalité d’une ville et d’une province à l’autre diffère considérablement. Pour sa part, la famille Guéret à Halifax s’estime chanceuse d’avoir une maison avec un jardin. « Les enfants ont accès à un endroit extérieur sécurisé et je dois dire que le temps nous a été plutôt favorable ces dernières semaines », partage Lauriane Guéret, maman de Lily-Rose, 5 ans, et de Charlie, 3 ans.

Prendre une pause loin des écrans semble important à la mère de famille : « Une fois notre journée de travail terminée, nous allons tous dehors. Nous essayons de garder contact avec les amis par échange de dessins et de livres que nous déposons dans nos entrées. Nous essayons de minimiser les écrans. Quand nous mettons la télé, c’est pour faire du yoga ou de la zumba. »

Pour les Grandmaître à Ottawa, la gestion du temps entre télétravail et apprentissage scolaire de leurs deux enfants s’est perfectionnée. « Ce qui a commencé comme une vacance est devenu intense après trois semaines, dans un climat généralisé bizarre. Heureusement qu’on prend le temps de cuisiner en famille. Aussi, c’est peu de dire que le chien de la famille est gâté ! ».

Une nouvelle discipline

À 10 ans, Cormac semble comprendre la situation. « C’est un enfant assez sensible donc on lui communique assez de renseignements pour qu’il comprenne, mais pas trop pour qu’il ait peur, indique l’artiste professionnelle Laura St-Pierre, à Saskatoon. Il a des grands-parents et plusieurs autres personnes dans son entourage qui sont vulnérables. Il nous pose beaucoup de questions parce que les enfants, à cet âge-là, se parlent entre eux, voient des choses sur Internet et entendent leurs parents parler… »

Pour Nour Enayeh, à Vancouver, il était important d’expliquer à ses enfants les consignes d’isolement et la pratique collective des mesures sanitaires. « Quand on sort pour marcher ou courir, nous gardons notre espace loin des gens, nous laissons nos chaussures à la porte, nous nous lavons les mains en rentrant, nous mettons tous nos habits directement à la machine à laver », détaille-t-elle.

Les enfants, y compris les plus jeunes, semblent comprendre l’importance du confinement. À 5 ans, Lily-Rose, la fille de Lauriane Guéret, à Halifax, semble bien saisir la situation. « Elle est alerte et quand nous avons de la visite, une voisine qui vient nous dire coucou en passant dans la rue, elle me dit toujours de ne pas m’approcher à cause du virus ! »

L’anxiété et la peur

« Je ne dirais pas que Lily-Rose soit inquiète, tempère Lauriane. Elle est juste très consciente de la situation. Nous n’essayons pas de lui faire peur, mais tout ce qu’on ne fait plus au jour le jour est “à cause du virus”. Les amis, l’école fermée, les plages, la balade… Tout ce que nous avons arrêté de faire est “à cause du virus”. »

Le fonctionnaire franco-ontarien Alexandre Grandmaître note une certaine anxiété au sein de sa famille. « Les enfants sont inquiets, c’est palpable. Pas moins que les adultes en tout cas. Ils imitent sûrement nos attitudes. Nous les avons rassurés dès le début, mais il n’y a aucun doute que nous serons tous traumatisés par ce que l’on vit actuellement. »

Laura St-Pierre observe elle aussi des signes d’anxiété chez son enfant. « Son sommeil est affecté, il ne dort pas bien. C’est aussi un enfant unique : être dans la maison avec deux adultes, ce n’est pas facile. »

Le défi de l’école à la maison

L’école à la maison est souvent tributaire de son degré d’aisance avec les nouvelles technologies. « Notre adolescente s’en sort sans problème, observe Alexandre Grandmaître, alors que notre fils de 10 ans est forcé de faire un bond de géant. » Un travail important en amont lui semble ainsi nécessaire pour développer « les bons comportements de l’autoapprentissage ». Le seul vrai répit survient lorsque les enseignants animent des classes virtuelles, note le parent d’élève.

À Halifax, Lauriane Guéret fait de son mieux pour assurer les cours. Celle qui travaille pour le ministère de l’Éducation de la Nouvelle-Écosse constate de rapides progrès chez sa fille Lily-Rose. « Elle apprend vite, c’est assez fou de voir l’évolution ! Ça nous fascine pas mal. Et c’est quelque part génial de voir ça, sous nos yeux, car ce n’est pas quelque chose auquel nous faisions très attention lorsqu’elle était à l’école. »

Dompter les ressources

De nombreux outils pédagogiques en ligne existent. Malgré tout, Laura St-Pierre, chargée de cours en ligne à l’Université de la Saskatchewan, a parfois de la difficulté à faire concorder son horaire de travail avec les ateliers interactifs virtuels. « Il nous arrive d’en manquer plusieurs comme nous travaillons à temps plein. Le Conseil culturel fransaskois offre d’excellents ateliers en art que nous avons hâte d’essayer. »

L’abondance de ressources est parfois étourdissante pour les parents. « Le conseil d’école, le ministère de l’Éducation de l’Ontario, les professeurs ont tous partagé des ressources. C’est difficile de s’y retrouver. On se rend compte qu’il serait avantageux que tout soit centralisé », suggère Alexandre Grandmaître du quartier francophone Vanier à Ottawa.

Les attentes du milieu scolaire peuvent ajouter à la difficulté. « C’est devenu un défi d’intégrer des outils de communication électroniques à tous les niveaux, pour toutes les activités, de tous les membres de la famille », explique le Franco-Ontarien. Trouver les ressources adéquates demeure chronophage : « Je passe plus de temps à chercher des idées qu’à en trouver, regrette Lauriane Guéret. Trop d’informations tue l’information ! »

Point positif, le confinement et l’école à la maison permettent aux enfants d’explorer par eux-mêmes des sujets qui les intéressent. « Cette semaine, c’était le narval, rapporte Laura St-Pierre. Cormac doit ensuite appeler ses grands-parents maternels et paternels pour discuter de ses résultats de recherche. Ils adorent ça et c’est un excellent moyen pour eux de discuter ensemble. Ça change des jeux vidéo ! »

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Jean-Philippe Deneault

Jean-Philippe Deneault — Initiative de journalisme local – APF Ouest

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 - dimanche 24 novembre 2024