Skip Navigation
Fonds l'Eau vive banniere
Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Programmes d’échanges linguistiques : Let’s discover Canada!

Kelly Larkin Conway est la nouvelle agente de promotion des programmes de langues officielles proposés par le gouvernement de la Saskatchewan. Cette nouvelle recrue vient renforcer les rangs du personnel bilingue du gouvernement provincial. 

20 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27607)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:
Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Robert Craig, lauréat du prix Prix Alpha Sask

Grâce à la communauté fransaskoise j’ai pu garder mon français

Cette année, le prix Alpha Sask récompensait un texte répondant à la thématique Pourquoi avez-vous décidé d’apprendre le français? C’est totalement par hasard que Robert Craig est tombé sur l’affiche du concours, pendant sa pause café. C’était le dernier jour pour envoyer les textes. Il a décidé de tenter sa chance. En effet, il avait bien des choses à dire sur son histoire d’amour avec le français.

20 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27675)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Sask
Parents et petits à Prince Albert

Parents et petits à Prince Albert

Des activités ludiques... en français!

Si vous vous promenez du côté de la bibliothèque John M. Cuelenaere à Prince Albert, le samedi matin vers 10 h, vous assisterez à  la venue d’une joyeuse troupe mêlant parents et enfants et ayant pour but la découverte du français de façon amusante.

20 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan (EV)/Nombre de vues (32366)/Commentaires ()/
Balises:
École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

École St-Isidore : de bonnes raisons pour se réjouir

Terry Gaudet nommé l’entraîneur de performance masculine de l’année par l’Association de Volleyball de la Saskatchewan.

À l’École St-Isidore, il y a cette année bien des raisons de se réjouir. On vient de mettre la dernière touche au plancher tout neuf du gymnase, un sol de sport Pulastic. Cette nouvelle acquisition arrive à point nommé. En effet, l’école et la communauté de Bellevue, en collaboration avec la communauté de Wakaw, seront les hôtes du tournoi de volleyball de la ligue provinciale masculine 3A de la Saskatchewan High School Athletics Association (SHSAA) 

20 novembre 2014/Auteur: Jennie Baudais (CÉF)/Nombre de vues (34920)/Commentaires ()/
Balises:
Les jeunes s’emparent du Parlement

Les jeunes s’emparent du Parlement

REGINA - Le Parlement franco-canadien du Nord et de l'Ouest (PFCNO) se déroule chaque année et rassemble les jeunes francophones des provinces du Nord et de l'Ouest du Canada. Cet évènement national donne la chance aux jeunes qui ont entre 16 et 25 ans de donner leur propre avis à propos des politiques adoptées par le Parlement officiel et, bien sûr, de se faire plein d’amis.

13 novembre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (33993)/Commentaires ()/
Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

Pour une éducation fransaskoise de la pré-maternelle à l’université

L'éducation au coeur des discussions au Rendez-vous fransaskois 2014

SASKATOON - Cette année, l’édition 2014 du Rendez-vous fransaskois se déroulait à Saskatoon sous le thème de l’éducation. En ouverture, samedi le 8 novembre, la présidente nouvellement réélue de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), Françoise Sigur-Cloutier, a rappelé l’importance de cette thématique. Ainsi, selon elle, ‘’toute la valeur de notre communauté dépend de cette cause’’

12 novembre 2014/Auteur: Arnaud Decroix/Nombre de vues (33802)/Commentaires ()/
Balises: RVF 2014

Postsecondaire : petit voyage dans le temps

Au Rendez-vous fransaskois, le kiosque de l’Eau vive permettait de faire un petit voyage dans le temps en se promenant dans les albums de l’hebdomadaire des 30 dernières années. Les gens s’amusaient à regarder les photos des membres de la communauté à une époque où les cheveux étaient plus foncés ou plus fournis.

12 novembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26609)/Commentaires ()/
Balises:
Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Mais que font les professeurs quand ils ne sont pas en classe?

Congrès annuel de l’Association des professeurs de français de la Saskatchewan (APFS)

Quand vous regardez le calendrier scolaire de votre enfant, vous voyez toutes ces journées mystérieuses : perfectionnement professionnel, session de planification, conventions... Et je suis sûre que vous vous demandez ce que ce font les enseignants au lieu d’être en classe avec votre enfant. 

6 novembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (28910)/Commentaires ()/
Balises:
L’École Valois à l’heure de l’Halloween

L’École Valois à l’heure de l’Halloween

PRINCE ALBERT - Sous les yeux du Père Valois, le fondateur de la seule école francophone de Prince Albert, et avec l’accord de M. RIVARD, directeur des lieux, les chaises, les tables et les enfants studieux ont laissé place à des locataires d’un soir à savoir des fantômes, des animaux de la nuit, des toiles d’araignée et beaucoup d’autres personnages.

6 novembre 2014/Auteur: Ahmed Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (30019)/Commentaires ()/
« Ne pas perdre ma langue! »

« Ne pas perdre ma langue! »

Jamie Gignac de Vonda au Campus St-Jean

Il y a deux ans, la Fransaskoise Jamie Gignac, alors élève de 12e année à l’école Providence de Vonda, s’est retrouvée devant un dilemme : quoi faire au terme de ses études secondaires? « J’ai changé d’idée au moins cinq fois en cours d’année », avoue candidement la jeune femme. 
29 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (32355)/Commentaires ()/
Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Mgr de Laval lutte contre la faim, avec enthousiasme

Certains auront du mal à y croire. « La faim existe au Canada »1, qui fait partie des 10 pays les plus riches de la planète. Les élèves de l'école Mgr de Laval de Regina ont décidé de faire quelque chose.

22 octobre 2014/Auteur: Luc Bengono/Nombre de vues (29430)/Commentaires ()/
Balises:
Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

Congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)

François Kasongo élu représentant de l'Ouest au conseil d'administration

Plus de 85 personnes, présidences des collèges, directions générales, directions des études et de la formation continue, ainsi que de nombreux partenaires, ont participé encore une fois au congrès annuel du Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) qui s’est tenu les 2 et 3 octobre derniers à Ottawa sous l’égide de La Cité. 

22 octobre 2014/Auteur: Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC)/Nombre de vues (30569)/Commentaires ()/
Balises:
Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones

La Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) représentant environ 150 000 élèves de langue française répartis dans plus de 640 écoles partout au pays tenait son congrès annuel sur le thème du démarchage, à Niagara Falls, du 16 au 18 octobre.

22 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (30683)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: FNCSF
Émile Fortier: Comme une grande famille!

Émile Fortier: Comme une grande famille!

Un fransaskois au Campus St-Jean d'Edmonton

EDMONTON - Avec ses 750 étudiants, le Campus Saint-Jean est considéré comme un petit établissement au sein de l’Université de l’Alberta qui accueille chaque année près de 30 000 étudiants.

22 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (31857)/Commentaires ()/
Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Capacité d’apprentissage: Six lieux, 3 groupes et un couffin

Des chercheurs ont suivi pendant quatre ans des jeunes enfants en milieu minoritaire pour mesurer l’impact d’un programme enrichi créé en Saskatchewan. Le résultat est « significatif » et pertinent.

22 octobre 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (26838)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
Première2223242527293031Dernière
Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

Auteur: Marine Ernoult – Francopresse/10 janvier 2023/Catégories: Société, Économie, Immigration

FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés. Pourtant, les compétences des nouveaux arrivants ne sont pas toujours pleinement mises à contribution. 

Un Canadien sur trois est titulaire d’un baccalauréat ou d’un grade supérieur. C’est ce qui ressort des données dévoilées par Statistique Canada le 30 novembre dernier. 

Les immigrants, récemment arrivés au pays, ont largement contribué à mettre le Canada en tête du classement. Ils sont «à l’origine de près de la moitié de la croissance de la proportion de Canadiens titulaires d’un baccalauréat ou grade supérieur», précise le rapport de l’organisme national.  

Le recensement de 2021 confirme cette tendance. D’après les données publiées, les immigrants et les résidents non permanents au Canada constituent plus de la moitié de la population en âge de travailler qui est titulaire d’un doctorat, d’une maitrise ou d’un diplôme en médecine; aussi, ils représentent près de 40 % des personnes qui détiennent un baccalauréat.

Le recensement a également révélé que les immigrants représentent près du quart de la population canadienne. C’est non seulement le plus haut niveau jamais enregistré dans l’histoire, mais c’est aussi la plus grande proportion des pays du G7. 

L’immigration une chance plus qu’un problème

Le niveau de scolarisation élevé des nouveaux arrivants s’explique par la politique d’immigration. «À la différence des autres pays du G7, le Canada choisit les travailleurs qualifiés en fonction de ses besoins pour combler les pénuries croissantes de main-d’œuvre», observe Gilles Grenier, professeur émérite au Département de science économique à l’Université d’Ottawa. 

Image
Gilles Grenier est professeur émérite au Département de science économique à l’Université d’Ottawa. Photo : Courtoisie

L’économiste n’hésite pas à parler d’«immigration économique choisie» : «Contrairement aux autres pays du G7, l’immigration n’est pas perçue comme un problème, mais comme une chance».

Lors du recensement de 2021, les immigrants admis dans la catégorie économique représentaient ainsi 56,3 % des nouveaux arrivants, soit un pourcentage largement supérieur à celui des réfugiés ou des personnes venues au titre du regroupement familial.

Confronté au vieillissement de sa population, le Canada est obligé d’avoir recours à des cerveaux venus d’ailleurs. Le groupe des plus de 65 ans augmente six fois plus vite que celui des jeunes de moins de 14 ans. En septembre, Statistique Canada estimait à un million le nombre de postes vacants au second trimestre de 2022 à cause du manque de travailleurs. 

Ottawa s’est ainsi donné pour ambition d’accueillir 465 000 nouveaux arrivants d’ici 2023, pour atteindre 500 000 en 2025. En février dernier, lors du lancement d’un nouveau plan en matière d’immigration, le ministre de l’Immigration, Sean Fraser, déclarait : «De l’agriculture et la pêche à la fabrication, en passant par les soins de santé et le secteur des transports, le Canada compte sur les immigrants. Nous nous concentrons sur la relance économique, et l’immigration est la clé pour y parvenir.»

25 points pour un doctorat, 15 pour un baccalauréat 

Depuis 2015, la procédure d’immigration baptisée Entrée Express permet de sélectionner les travailleurs qualifiés dont le pays a besoin. Au premier trimestre de 2022, 156 000 étrangers en ont profité. Une personne qui soumet une demande de résidence permanente doit répondre à une série de questions en ligne qui servent à évaluer son profil. 

Sa connaissance de l’une des deux langues officielles, son expérience professionnelle et son niveau d’éducation sont passés au peigne fin. Elle doit aussi avoir une proposition d’emploi validée par une entreprise ou une acceptation préalable délivrée par une province ou un territoire. Chaque élément permet d’obtenir un certain nombre de points sur un total de 100.

«Cette sélection par points accorde de l’importance au niveau d’éducation et favorise les jeunes qui ont un cursus universitaire», explique Gilles Grenier. 

Un doctorat assure 25 points d’office alors que le baccalauréat n’en vaut que 15. Avoir moins de 35 ans rapporte 12 points, avoir fait ses études au Canada donne également un avantage au titre de l’«adaptabilité». 

En dessous de 67 points, le ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté ne prend pas la peine d’examiner le dossier. Au-dessus, le ministère peut envoyer une «invitation» à la personne candidate si elle entre dans l’une des 347 professions visées par le programme d’Entrée Express : ingénieurs, directeurs d’école, assureurs, architectes, vétérinaires, pompiers, etc.

Immigrants surqualifiés

Ce système d’immigration de main-d’œuvre qualifiée ne garantit pas forcément une insertion réussie dans la vie économique.

Dans son rapport, Statistique Canada montre que plus du quart des immigrants titulaires d’un baccalauréat ou d’un grade supérieur sont surqualifiés pour les emplois qu’ils occupent. Il s’agit selon l’organisme d’un problème de longue date, notamment dans le domaine de la santé, lié au défi de la reconnaissance des diplômes obtenus à l’étranger. 

«Les politiques fédérales ont justement évolué ces dernières années pour encourager plus de jeunes étrangers à étudier au Canada, mais aussi pour mieux reconnaitre l’expérience canadienne des immigrants diplômés à l’étranger», réagit Gilles Grenier.   

L’économiste fait référence à un volet spécifique de la fameuse procédure Entrée Express pour les personnes qui ont déjà une expérience canadienne. C’est le cas de nombreux étrangers admis auparavant comme travailleurs temporaires qualifiés ou étudiants internationaux, auxquels le Canada peut accorder le statut de résident permanent. Plus de 157 000 anciens étudiants sont ainsi devenus résidents permanents en 2021.

Encore faut-il que le ministère de l’Immigration, des Réfugiés et de la Citoyenneté délivre des permis à tous les étudiants étrangers sans discrimination. En septembre dernier, le ministère reconnaissait qu’il y avait «du racisme au Canada ainsi qu’au sein de sa propre organisation». 

Les taux de refus de permis d’études sont en effet plus élevés chez les étudiants venus de pays africains francophones, soupçonnés de vouloir s’installer au pays de la feuille d’érable, comparés aux demandes d’autres étudiants étrangers. N’entre pas au Canada qui veut.

Imprimer

Nombre de vues (7965)/Commentaires (0)

Francopresse

Marine Ernoult – Francopresse

Autres messages par Marine Ernoult – Francopresse
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - samedi 23 novembre 2024