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 Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Ateliers d'écriture dans des écoles d'immersion

Un projet novateur à Debden et Prince Albert

PRINCE ALBERT - La commission scolaire Saskatchewan Rivers Public School Division, située à Prince Albert, accueille un tout premier projet GénieArts sur son territoire. Les écoles Vickers Public School et Debden School sont les hôtes de cette initiative rassembleuse.

11 mars 2015/Auteur: René Beauparlant (EV)/Nombre de vues (33823)/Commentaires ()/
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Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Une fin de semaine à l'enseigne de la petite enfance

Les parents et leurs enfants du Centre d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) La Passerelle de Saskatoon se sont réunis le vendredi 6 mars dernier afin de participer à un atelier sur l’éveil à la lecture chez les jeunes enfants. Le lendemain une formation était offerte aux intervenants en petite enfance.

11 mars 2015/Auteur: Danielle Raymond (EV)/Nombre de vues (27510)/Commentaires ()/
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Une étape importante pour le postsecondaire francophone en Saskatchewan

SASKATOON - C’est surtout le dossier du postsecondaire qui a retenu l’attention de l’Assemblée des députés communautaires (ADC) de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) lors de sa rencontre à Saskatoon les 6, 7 et 8 mars 2015.

10 mars 2015/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30714)/Commentaires ()/
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5 mars 2015/Auteur: Frédéric Dupré (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (26860)/Commentaires ()/
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Visite au Carrefour Horizons

Visite au Carrefour Horizons

Le 26 février dernier, les étudiants du Certificat en français langue seconde du Département de français de l’Université de Regina sont venus faire la tournée des organismes fransaskois, logés au Carrefour Horizons de Regina

5 mars 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (28223)/Commentaires ()/
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Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

Célébration du Mois de l'histoire des Noirs à Mgr de Laval

REGINA - Le 27 février 2015, Dans le cadre du Mois de l’histoire des Noirs, une soixantaine d’élèves de l’École Mgr de Laval, à Regina, ont participé à l’organisation d’une journée d’activités sous la gouverne de Mbaye Biteye, enseignant d’origine sénégalaise. 

5 mars 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (36031)/Commentaires ()/
Non à l’intimidation

Non à l’intimidation

Journée du Chandail rose à Gravebourg

Le 25 février, les élèves de l’École Beau Soleil et École secondaire Collège Mathieu, à Gravelbourg ont souligné la journée du Chandail rose, visant à lancer un message contre l’intimidation

5 mars 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (33515)/Commentaires ()/
Balises: intimidation

Le Conseil des écoles fransaskoises pleure le décès soudain d’un de ses élèves

St-Isidore-de-Bellevue, le 4 mars 2015 - Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) - en particulier la communauté scolaire de l'École St-Isidore à Bellevue - est en deuil suite au décès de l'un de ses étudiants plus tôt aujourd'hui, comme il a été rapporté dans les médias. 

4 mars 2015/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (27814)/Commentaires ()/
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L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’Institut français devient le premier centre officiel de passation des TEF en Saskatchewan

L’institut français est devenu le premier établissement en Saskatchewan reconnu par le Centre de langue française de la CCI Paris Ile-de-France, pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF). 

4 mars 2015/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (30786)/Commentaires ()/
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L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

L’école française au Nunavut : des parents exigent le départ des commissaires et de la direction générale

IQALUIT - On entend rarement parler de l’École des Trois-soleils, à Iqaluit, la plus nordique des écoles françaises de la planète. Même quand ça va mal.

20 février 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (24487)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

Un carnaval métis et canadien-français à l'école George Lee School

REGINA - Pour la 3e année consécutive, le carnaval célébrant les cultures métis et canadienne-française a battu son plein à l’école George Lee de Regina le 12 février dernier. Pour l’organisatrice de l’événement, Jessica Irvine, enseignante de français de base à cette école, tous attendaient la journée du carnaval avec impatience et l'événement a été un franc succès. 

20 février 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette /Nombre de vues (29169)/Commentaires ()/
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L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden célèbre la semaine du français langue seconde

L’école de Debden a célébré la semaine de français/deuxième langue du 2 au 6 février. Le thème cette année était Comment fais-tu vivre le français dans ton école? 

20 février 2015/Auteur: Anne Blais (EV)/Nombre de vues (35695)/Commentaires ()/
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Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Journée de l’alphabétisation familiale 2015

Le Collège Mathieu désire remercier toutes les personnes qui ont consacré du temps aux activités d’apprentissage avec les enfants du 27 janvier au 1er février dernier, dans le cadre de notre programme de littératie familiale. Les activités réalisées, très diversifiées et enrichissantes, visaient à susciter le goût de la lecture pour le développement intellectuel et le bien-être des enfants.

12 février 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (24557)/Commentaires ()/
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À l’heure de la littératie à Prince Albert

À l'initiative de sa directrice, Sandra Hassan Farah, le Centre éducatif Trésors du Monde de Prince Albert a participé à l'événement 15 minutes de littératie familiale organisé par le Collège Mathieu.

12 février 2015/Auteur: Ahmed Hassan (EV)/Nombre de vues (30518)/Commentaires ()/
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La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

La place de l’anglais dans les écoles fransaskoises

« Une discussion qui doit avoir lieu » – Donald Michaud

SASKATOON - Pour Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), la place de l’anglais dans les écoles fransaskoises « est une discussion qui doit avoir lieu ». La diversité des niveaux de français représente tout un défi pour le personnel enseignant, certes, mais surtout pour la création d’un environnement social francophone dans l’école.

5 février 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (37319)/Commentaires ()/
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Le combat d'André Poulin-Denis pour la survivance du français hors Québec

Le combat d'André Poulin-Denis pour la survivance du français hors Québec

Auteur: Lucas Pilleri/13 septembre 2021/Catégories: AJEFS - Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan, Société, Juridique

Des bancs de l’École canadienne-française de Saskatoon à ceux de la Cour suprême du Canada, l’avocat André Poulin-Denis a toujours gardé la fransaskoisie à cœur et dans la tête. Aujourd’hui conseiller juridique au Bureau du commissaire aux langues officielles à Ottawa, le Fransaskois fait de la défense des droits linguistiques sa mission.

Né à Saskatoon, André Poulin-Denis a démarré sa carrière en 2006 à Radio-Canada où il a occupé les postes de vidéaste et réalisateur de l’émission jeunesse Oniva ! jusqu’en 2009. « C’était vraiment une expérience incroyable, se souvient-il. Même si j’ai grandi en Saskatchewan, ça m’a permis de visiter toute la province et de mieux connaître la réalité des jeunes Fransaskois. »

Puis, André Poulin-Denis entreprend un doctorat en droit à l’Université d’Ottawa, diplôme qu’il obtiendra en 2012. « J’avais le goût de nouveaux défis. Je cherchais comment contribuer différemment à la société et je voyais le droit comme une façon de changer les choses », indique l’avocat âgé aujourd’hui de 39 ans. 

C’est le programme de common law en français qui attire à l’époque le Saskatoonais tout juste trentenaire. « Des membres de la faculté ont un intérêt important pour les droits linguistiques, donc la justice sociale », souligne-t-il.

La poursuite d’un fil rouge

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André Poulin-Denis a été membre du conseil d’administration de l’Association des juristes d'expression française de la Saskatchewan (AJEFS) entre 2014 et 2016.
Crédits : Courtoisie

Les droits linguistiques sont dans la tête du Fransaskois dès les débuts. « Je l’ai vécu dans mon enfance, dit-il. Je me souviens des luttes pour la gestion scolaire dans lesquelles mes parents étaient impliqués, les conseils scolaires qui réclamaient du financement adéquat et des installations qui permettent d’obtenir le même niveau d’éducation qu’à la majorité anglophone. »

Ainsi le fruit n’est pas tombé loin de l’arbre, le père d’André Poulin-Denis n’étant autre que Wilfrid Denis, sociologue et professeur à l'Université de la Saskatchewan qui œuvre dans la fransaskoisie depuis plus de quarante ans. 

« C’est comme imbriqué dans mon vécu, dans mon enfance. Faire partie d’une communauté linguistique en milieu minoritaire, c’est quelque chose de merveilleux, même si ça peut parfois être frustrant. Ça crée un sentiment d’appartenance à quelque chose de plus large que soi », commente le juriste.

André Poulin-Denis fait ses premiers pas dans le monde de la justice auprès d’un autre Fransaskois de renom : Roger Lepage. Ce dernier, aujourd’hui président de la Fondation fransaskoise, prend sous son aile le jeune diplômé de Saskatoon et le forme au rôle d’avocat sociétaire dans son cabinet Miller Thomson LLP. 

Une formation qui durera trois ans, entre 2013 et 2016 : « C’était mon mentor, se remémore l’ancien apprenti. Il [Roger Lepage] a tellement d’expérience et d’expertise, non seulement en droits linguistiques, mais aussi en litiges. Il était très généreux avec son temps pour m’aider à développer mes compétences. »

C’est à la même période qu’André Poulin-Denis s’engage bénévolement au sein de la fransaskoisie. De 2012 à 2016, il occupe notamment les postes de vice-président puis président de la Coopérative des publications fransaskoises (CPF), détentrice du journal L’Eau vive

« Après Radio-Canada, je comprenais l’importance d’avoir un média francophone à saveur plus locale et communautaire. L’Eau vive est une institution qu’il faut conserver et qui apporte beaucoup à la communauté. Plusieurs bénévoles et employés se sont beaucoup impliqués pour assurer sa pérennité », note l’ancien président.

Une carrière dans la capitale

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André Poulin-Denis à la Cour suprême du Canada avec Roger Lepage (au centre) et Francis Poulin (à gauche)
Crédits : Courtoisie

Fort de son expérience fransaskoise, André Poulin-Denis part en 2016 s’installer à Ottawa. Il y devient conseiller juridique pour la Société protectrice des infirmières et infirmiers du Canada, puis avocat en droit du travail, de l’emploi et de la personne chez Gowling WLG, l’un des plus gros cabinets juridiques au pays. 

Depuis juillet 2021, le Saskatchewanais occupe le poste de conseiller juridique au Bureau du commissaire aux langues officielles. Un travail complexe qui touche souvent à la Constitution, « mais qui parle aussi de services concrets offerts aux Canadiens : quand on va au bureau de poste, quand on inscrit ses enfants à l’école, quand on essaie de trouver une place en garderie en français », illustre ce dernier.

« Le commissariat, c’est le chien de garde des droits linguistiques au Canada, résume André Poulin-Denis. Pour moi, c’est un privilège et une belle opportunité de pouvoir appuyer les initiatives du Commissariat pour faire valoir et respecter les droits linguistiques. »

Pour preuve, André Poulin-Denis a aussi été membre du panel d’experts du Programme de contestation judiciaire du Canada de 2018 à 2021, un dispositif qui vise à faire avancer les droits linguistiques au Canada. 

L’homme de loi parle ainsi de « continuum » pour qualifier sa carrière. « J’étais actif auprès de l’AJEFS, je suis membre des juristes d’expression française en Ontario, je suis les conférences et la formation continue professionnelle qui touche les droits linguistiques ou les services en français. Fournir des services juridiques linguistiques en français a toujours été important pour moi », explique-t-il.

Depuis Ottawa, malgré tous ses engagements, André Poulin-Denis garde toujours un œil sur la fransaskoisie : « Je suis les nouvelles de L’Eau vive ou de Radio-Canada, et j’ai encore beaucoup d’amis qui sont en Saskatchewan et dans l’Ouest canadien. Je maintiens ces liens-là. La fransaskoisie fera toujours partie de mon identité », exprime-t-il, fier de se présenter comme Fransaskois auprès des Ottaviens.

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Lucas Pilleri

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 - samedi 28 décembre 2024