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La nouvelle école de Regina ouvrira en janvier

La nouvelle école de Regina ouvrira en janvier

La construction de la nouvelle école élémentaire francophone de Regina avance à grands pas. Les travaux ont commencé en juin 2023 mais l’établissement n’ouvrira ses portes qu’en janvier 2025.

28 août 2024/Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (4910)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le Collège Mathieu abaisse ses frais de scolarité pour les élèves internationaux

Le 27 mai, le Collège Mathieu de Gravelbourg a annoncé une forte baisse des frais de scolarité à l’intention des étudiants internationaux.

29 juin 2024/Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5556)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu adoube une centaine de finissants

Le Collège Mathieu adoube une centaine de finissants

Le 18 mai à Regina, le Collège Mathieu de Gravelbourg a organisé la plus grande cérémonie de remise des diplômes de son histoire.

28 mai 2024/Auteur: Verno Katshite Nyembo- IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (5760)/Commentaires ()/
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Un prix d’excellence décerné à une éducatrice fransaskoise

Un prix d’excellence décerné à une éducatrice fransaskoise

Le 4 mai 2024 Charlène Isabelle, éducatrice à la garderie Pomme d'API de Mosse Jaw, a reçu un prix d’excellence lors du gala annuel de l’Association de la petite enfance de la Saskatchewan.

26 mai 2024/Auteur: Leanne Tremblay/Nombre de vues (5647)/Commentaires ()/
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Les enseignants soudés dans l’adversité

Les enseignants soudés dans l’adversité

Les enseignants du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) se sont réunis à Regina les 25 et 26 avril pour le congrès annuel.

17 mai 2024/Auteur: Leanne Tremblay/Nombre de vues (4990)/Commentaires ()/
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Gala Méritas : la Cité francophone fête ses étudiants

Gala Méritas : la Cité francophone fête ses étudiants

Le 8 avril, la Cité universitaire francophone a célébré la quatrième édition du Gala annuel Méritas.

19 avril 2024/Auteur: Ghita Hanane/Nombre de vues (3475)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Le budget provincial 2024-2025 déçoit les Fransaskois

Le budget provincial 2024-2025 déçoit les Fransaskois

L’annonce du budget provincial 2024-2025 en Saskatchewan déplaît à plus d’un Fransaskois

12 avril 2024/Auteur: Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (6349)/Commentaires ()/
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Les élèves fransaskois excellent malgré les défis d’infrastructures

Les élèves fransaskois excellent malgré les défis d’infrastructures

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a publié son rapport annuel 2022-2023. L’occasion pour L’Eau vive de revenir sur les points saillants de cette période.

5 mars 2024/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (6280)/Commentaires ()/
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Projet de loi C-35 : une demi-victoire pour les garderies francophones

Projet de loi C-35 : une demi-victoire pour les garderies francophones

Organismes et citoyens francophones se sont mobilisés pour appuyer un amendement important du Sénat au projet de loi C-35 sur les services de garde.

25 février 2024/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (5260)/Commentaires ()/
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L’heure des contes désormais multilingue à la bibliothèque publique de Saskatoon

L’heure des contes désormais multilingue à la bibliothèque publique de Saskatoon

Une nouveauté débarque à la Bibliothèque publique de Saskatoon cette année : l’heure des contes est désormais bilingue.

4 février 2024/Auteur: Leanne Tremblay/Nombre de vues (6797)/Commentaires ()/
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De nouvelles places de garderie à Moose Jaw

De nouvelles places de garderie à Moose Jaw

Le Centre éducatif Pomme d’Api à Moose Jaw vient de recevoir du financement gouvernemental afin d’ouvrir de nouvelles places en français. Une bonne nouvelle pour les parents, mais qui est loin de répondre à la demande. Car sur les 2 349 places en cours de création dans la province, 28 seulement sont dédiées aux Fransaskois.

12 janvier 2024/Auteur: Mehdi Jaouhari/Nombre de vues (5476)/Commentaires ()/
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Vente de l’école du Parc à Regina : un manque à gagner pour les Fransaskois

Vente de l’école du Parc à Regina : un manque à gagner pour les Fransaskois

Fin septembre, les parents fransaskois ont eu la mauvaise surprise d’apprendre que l’école du Parc, solution temporaire en attendant l’ouverture d’un nouvel établissement pour leurs enfants, sera finalement vendue plutôt que conservée. Une déception pour nombre d’entre eux.

31 octobre 2023/Auteur: Ghita Hanane – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (6330)/Commentaires ()/
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Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF

Message du directeur général du CÉF .

11 septembre 2023/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (8300)/Commentaires ()/
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ALLOFrench : la gratuité au service des Canadiens de l'Ouest

ALLOFrench : la gratuité au service des Canadiens de l'Ouest

Projet pilote d'un an, ALLOFrench offre des cours gratuits de français en Saskatchewan et en Alberta du 1er avril 2023 au 31 mars 2024. Réservé aux citoyens canadiens, le programme vise à étendre l'influence du français dans les Prairies.

1 septembre 2023/Auteur: Hélène Lequitte – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (6433)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationFormation
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Une première pierre pour la nouvelle école francophone de Regina

Une première pierre pour la nouvelle école francophone de Regina

Une cérémonie haute en émotion a eu lieu au 5382, 2e Avenue Nord à Regina, le lieu retenu pour la nouvelle école francophone où les travaux ont officiellement débuté le 29 juin. Une centaine de personnes se sont réunies pour assister à la pose symbolique de la première pierre.

18 juillet 2023/Auteur: Marie-Lou Bernatchez – IJL-Réseau.Presse/Nombre de vues (6903)/Commentaires ()/
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Courir, de la haine à l’amour

Courir, de la haine à l’amour

Auteur: Timothée Loubière/25 octobre 2023/Catégories: Société, Santé, Sport

Le 1er octobre, à Québec, j’ai couru mon premier marathon. Ma toute première course. Pour certains, courir 42,2 km paraît impossible. Pour d’autres, ce n’est qu’une simple formalité. De mon point de vue, plus je cours, plus je penche vers la deuxième option. Mais il y a encore trois ans, j’aurais plutôt été dans le camp des résignés.

J’ai longtemps perçu la course à pied comme le sport le plus ingrat qui soit. Je ne voyais pas l’intérêt de courir sans but. Je pensais qu’il me fallait un ballon, une raquette ou un vélo pour m’amuser. Et puis le confinement est arrivé.

La seule pratique sportive extérieure autorisée en France, où j’habitais à l’époque, était la course à pied. Alors, comme beaucoup de monde, j’ai pris mes baskets pour vagabonder dans les rues désertes.

Au début, je courais lentement, ce qui ne m’empêchait pas de souffrir. Courir 30 minutes sans m’arrêter était un calvaire.

Puis j’y ai pris goût. J’ai aimé courir par -20 °C cet hiver ! J’ai aimé faire des répétitions intenses, à devoir finir par marcher en fin de séance.

Un peu d’anthropologie

Plus que tout, j’ai aimé mes longues séances du samedi matin, où j’ai couru parfois plus de deux heures trente, un balado dans les oreilles. À tel point que, lors des belles journées d’été, j’avais envie de courir deux fois par jour (sans forcément le faire, car il faut savoir ménager sa monture).

Pendant mes longues heures à fouler le goudron, j’ai eu le temps de me poser cette question : comment suis-je passé de la détestation à l’amour fou en si peu de temps ?

Il y a des raisons personnelles évidemment (goût de la performance, pratique extérieure), mais pas seulement. Je me suis beaucoup informé sur les secrets de cette discipline.

Un bon point de départ est sans doute l’approche anthropologique du livre Born to Run de Christopher McDougall qui rappelle, avec l’exemple du peuple mexicain des Tarahumara, que l’Homme est fait pour courir.

Nous sommes des bipèdes, plus lents que beaucoup d’autres animaux, mais beaucoup plus endurants. Pour capturer nos proies, on se devait de les épuiser en les chassant longtemps.

Dans nos sociétés modernes, où la nourriture nous est livrée sur le pas de la porte, cette endurance remarquable tend à être profondément enfouie. Mais l’évolution est lente et nos capacités biomécaniques sont toujours bien présentes, et la pratique régulière permet de la faire ressurgir.

Les endorphines

D’un point de vue biologique, quand on court, le système nerveux central libère des endorphines, les hormones du plaisir. C’est pour cette raison que le coureur a envie de retourner courir.

Un sentiment de satisfaction qui est renforcé par sa progression. Avec un entraînement un minimum régulier et bien équilibré, quand on est débutant, on progresse vite. On court plus rapidement, plus longtemps, en se fatiguant moins.

Aujourd’hui, on peut partager ses exploits sur le réseau social Strava, où nos amis nous encouragent et où l’on peut se comparer aux autres.

Une meilleure espérance de vie

Et que dire des bienfaits sur notre santé, pas toujours visibles au premier abord, mais bien réels ? La liste est longue : renforcement du cœur, perte de poids, prévention des risques de diabète, de cholestérol ou encore d’hypertension…

C’est bien simple, une étude montre que courir, même de façon modérée, augmente de façon conséquente notre espérance de vie.

De plus, contrairement à la croyance, la pratique de la course serait plutôt bénéfique en cas d’arthrose du genou, comme l’explique Blaise Dubois, physiothérapeute et fondateur de la Clinique du coureur.

Il y a aussi des répercussions bénéfiques indirectes. Quand on se fixe un objectif ambitieux, que l’on passe de nombreuses heures hebdomadaires à s’entraîner, on ne veut pas voir tous ses efforts gâchés par une hygiène de vie douteuse.

Ainsi, en me préparant pour le marathon, j’ai appris à mieux manger et à dormir davantage, deux piliers indispensables pour progresser. Car pour que le corps se renforce, s’entraîner c’est bien, mais bien récupérer l’est tout autant.

C’est simple, depuis que je me suis mis sérieusement à courir, je me sens beaucoup mieux, et ce, je tiens à le préciser, sans avoir la sensation de me priver de quoi que ce soit.

Reste le cas des personnes qui, pour une raison ou une autre, souvent liée à une pathologie, ne peuvent pas courir. Eh bien, la bonne nouvelle, c’est que tous les bénéfices énoncés plus haut ne sont pas exclusifs à la course à pied. D’autres sports d’endurance, comme le vélo ou la natation par exemple, sont excellents pour la santé. Qu’attendez-vous pour vous y mettre ?

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Timothée Loubière

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 - mercredi 25 décembre 2024