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Gerer un OSBL : ça s’apprend !

Gerer un OSBL : ça s’apprend !

Parfois, un cours 101 sur la gestion d’un OSBL est de mise.

15 mars 2017/Auteur: André Magny (Francopresse)/Nombre de vues (31095)/Commentaires ()/
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L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

Les premiers mois de l’arrivée de notre bébé nous transportent de joie. Puis, arrive le temps fatidique de cet apprentissage qui nous semble insurmontable : la propreté !

12 mars 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (42939)/Commentaires ()/
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Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Gravelbourg se mobilise pour sauver un joyau de notre patrimoine

GRAVELBOURG - L’avenir de l’édifice se joue en ce moment.  Est-ce que ce monument à un pan de l’histoire fransaskoise ne survivra qu’en photos?  

7 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (29893)/Commentaires ()/
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Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Décès de la première enseignante de l’École canadienne-française de Saskatoon

SASKATOON - Le 5 février dernier, des centaines de personnes se sont rendues au pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon pour rendre hommage à Monique Rousseau, la première enseignante de l’école, décédée le 20 janvier 2017. 
1 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36518)/Commentaires ()/
« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

Voyager avec un enfant

Voyager en voiture, en avion ou en train pour un long trajet représente toujours un défi pour les parents. 
2 février 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43941)/Commentaires ()/
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Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

La signature d’un protocole d’entente entre la Faculté de sciences infirmières de l’Université de Regina et La Cité universitaire francophone a eu lieu le 9 décembre 2016. Ce protocole vise à offrir un programme postsecondaire bilingue en sciences infirmières dès 2018. 

21 janvier 2017/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (36860)/Commentaires ()/
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Des graphistes en herbe à l’École Valois

Des graphistes en herbe à l’École Valois

La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."

2 janvier 2017/Auteur: ENDV/Nombre de vues (43764)/Commentaires ()/
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Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

GRAVELBOURG - C’est le 9 novembre dernier que les jeunes des écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg, le personnel des deux institutions scolaires et des membres de la communauté fransaskoise se sont donné rendez-vous pour la célébration du Jour du Souvenir sous le thème « Nous nous souviendrons ».

2 décembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (35666)/Commentaires ()/
Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Il y a dix ans, la Table nationale en petite enfance devait faire des choix critiques. Ses membres ont décidé de continuer à se réseauter et à développer des modèles de lieux de service pour stimuler un mouvement national. Et ils ont écarté la stratégie juridique, qui aurait consisté à monter une cause solide quelque part au pays.

24 novembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (46575)/Commentaires ()/
Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

"Je veux aider la communauté à guérir"

 

Christiane Guérette a été élue pour représenter le district de Saskatoon au sein du Conseil scolaire fransaskois (CSF) lors des élections scolaires du 26 octobre 2016. Elle a été choisie par une majorité de conseillers pour occuper la présidence du CSF succédant ainsi à Alpha Barry. L’Eau vive l’a rencontrée.


 

24 novembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (35371)/Commentaires ()/
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Créer une relation complice avec son enfant

Créer une relation complice avec son enfant

Comment bâtir un lien durable

« Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers.

23 novembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (49121)/Commentaires ()/
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Le devoir des écoles sans ressources

Le devoir des écoles sans ressources

Il faut enseigner la langue et la culture en même temps

« Il faut enseigner la langue et la culture en même temps. Si on ne le fait pas, on est voué à disparaître. »

21 novembre 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (35850)/Commentaires ()/
Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
4 novembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (35475)/Commentaires ()/
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L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34316)/Commentaires ()/
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Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (33717)/Commentaires ()/
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Un atelier pour démystifier la culture autochtone

Auteur: Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse/13 décembre 2021/Catégories: RIF-SK Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan, SAIF-SK - Service d'accueil et d'inclusion francophone, Société, Autochtones / Métis, Immigration

Un partenariat entre le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF), le Service d’accueil et d’inclusion francophone (SAIF-SK) et la compagnie Colouring It Forward a permis de faire découvrir, ce mois de novembre, la culture et l’histoire autochtone à des immigrants. Un enseignement riche qui s’inscrit dans le cadre de leur parcours d’adaptation à leur nouvelle terre d’accueil.

Une dizaine d’immigrants francophones ont pu suivre un premier atelier en ligne le 13 novembre consacré aux enseignements et aux traditions autochtones à travers l’art et la culture. 

Animé par Diana Frost, d’origine algonquine et métisse, fondatrice de l’entreprise à vocation sociale Colouring It Forward, ce premier volet d’une série de deux visait à dépeindre de façon originale l’apport de la communauté autochtone en s’appuyant notamment sur l’art.

Se familiariser avec de nouvelles réalités

Diane Frost
Diane Frost, fondatrice de l’entreprise à but social Colouring It Forward
Crédits : Courtoisie de Diane Frost

Lors de ce premier atelier, l’animatrice, basée à Calgary, a présenté des informations sur l’histoire, les problématiques et les valeurs des peuples autochtones, « afin d’aider les immigrants avec leur adaptation à une nouvelle culture. Nous avons aussi parlé de la roue médicinale et de la façon de l’utiliser pour améliorer leur propre bien-être », dit-elle.

Diane Frost croit que ce genre d’initiatives peut aussi aider les gens à mieux comprendre les nouvelles dans les médias et la colère entre la population autochtone et non autochtone.

En outre, cette information est utile à tous, souligne-t-elle, pas seulement aux nouveaux arrivants. « On peut tous bénéficier de ces enseignements, au même titre que ceux de Gandhi ou de mère Teresa. Ils nous aident à mieux vivre en harmonie avec notre environnement, notre communauté, notre famille, les uns avec les autres. On a tous besoin de ça ! »

En raison d’un contretemps, le deuxième atelier qui aurait dû avoir lieu le 27 novembre, a dû être reporté à une date ultérieure. La fondatrice de Colouring It Forward précise que ce sera l’occasion d’explorer l’univers des cérémonies autochtones et de pratiquer une cérémonie de purification avec de la sauge.

Des rapprochements intéressants

L’animatrice, ayant elle-même vécu en Afrique, a trouvé très bénéfiques les échanges avec certains participants africains et les parallèles entre la culture de colonisation subie par les peuples africains et autochtones. « Les gens ont souffert de complexes d’infériorité à cause de la colonisation, ils se sentaient comme des sauvages, aussi bien en Afrique qu’ici », commente-t-elle.

Issue de la communauté métisse et algonquine au Québec, ce n’est qu’à l’âge de 20 ans que Diane Frost découvre ses racines. « Ma mère m’a annoncé que nous avions du sang autochtone, mais elle ne savait rien de sa culture parce qu’elle a été élevée dans une école résidentielle pendant presque toute son enfance. Elle n’a donc pas eu la chance d’apprendre sa langue, sa culture ou sa spiritualité. »

Enthousiasmée par cette découverte, celle qui est alors jeune étudiante en ingénierie veut en savoir plus. Mais l’entreprise s’avère plus difficile que prévu et elle doit abandonner ses recherches, faute de soutien. 

« C’était difficile car on n’avait pas de connexion avec la famille. J’ai commencé à essayer de trouver des gens de qui je pourrais apprendre les enseignements, mais dans ma petite ville, il n’y avait pas beaucoup de personnes autochtones », regrette Diane Frost.

La jeune femme décide alors de se consacrer à sa carrière d’ingénieure. Spécialisée dans le secteur des eaux, elle a l’occasion de travailler dans certains pays en voie de développement, dont l’Afrique et l’Amérique latine. « À chaque fois que j’allais là-bas, je me disais : ‘Mais pourquoi aller si loin alors que ma communauté des Premières Nations a elle-même des problèmes avec l’eau ?’ »

Un rêve prémonitoire

L’idée de pouvoir changer les choses pour son propre peuple a fait son chemin et, en 2016, Diane Frost fait un rêve qui changera sa vie et celle de sa communauté. « J’ai rêvé que j’allais faire une série de livres de coloriage avec des Aînés, et qu’on y inclurait des enseignements et la culture à travers l’art ! »

Après plusieurs questionnements sur la façon d’entreprendre ce projet, elle finit par trouver des collaborateurs prêts à contribuer à ce livre. Puis, coup de théâtre, quelques mois plus tard, elle perd son emploi d’ingénieure. Elle sait désormais quelle voie suivre et s’engage complètement dans « sa nouvelle trajectoire ».

Le premier livre de coloriage connaît un succès fou et la nouvelle entrepreneure n’en vend pas moins de 2 500 exemplaires en l’espace de six semaines. « C’était le premier livre de coloriage autochtone, alors je suis passée partout dans les médias ! », se réjouit-elle. Elle-même artiste, elle collabore depuis avec des dizaines d’autres artistes, artisans et Aînés autochtones pour mettre en valeur leurs savoirs et leurs sagesses.

L’art guérisseur

Outre son entreprise florissante, Diane Frost crée en 2017 une ONG en l’honneur de sa mère et de son père dont l’objectif est d’organiser des marches de chandails orange. L’entrepreneure explique que, cette année, la troisième marche à Calgary a connu un franc succès. « Nous avons eu une bonne collaboration avec la Ville de Calgary. C’est une belle façon d’aider à la réconciliation. »

Celle qui se définit comme une « facilitatrice du rapprochement avec la culture autochtone » conserve aussi une forte appartenance à la culture et à la langue francophones en faisant profiter plusieurs écoles et institutions francophones de ses initiatives.

Le travail de Diane Frost permet de faire découvrir les artistes autochtones, leur vision du monde et leur contribution essentielle à la société. Une entreprise qui, elle l’espère, mettra fin aux stéréotypes dont sont souvent victimes les membres des Premières Nations.

Un nouvel atelier sera annoncé prochainement.

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Estelle Bonetto

Estelle Bonetto – IJL-Réseau.Presse

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 - mercredi 27 novembre 2024