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L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

L’apprentissage de la propreté : entre stress, joie et patience

Les premiers mois de l’arrivée de notre bébé nous transportent de joie. Puis, arrive le temps fatidique de cet apprentissage qui nous semble insurmontable : la propreté !

12 mars 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (42612)/Commentaires ()/
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Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Quel avenir pour le couvent Jésus-Marie?

Gravelbourg se mobilise pour sauver un joyau de notre patrimoine

GRAVELBOURG - L’avenir de l’édifice se joue en ce moment.  Est-ce que ce monument à un pan de l’histoire fransaskoise ne survivra qu’en photos?  

7 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (29772)/Commentaires ()/
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Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Hommage à Monique Rousseau 1960-2017

Décès de la première enseignante de l’École canadienne-française de Saskatoon

SASKATOON - Le 5 février dernier, des centaines de personnes se sont rendues au pavillon élémentaire de l’École canadienne-française de Saskatoon pour rendre hommage à Monique Rousseau, la première enseignante de l’école, décédée le 20 janvier 2017. 
1 mars 2017/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36391)/Commentaires ()/
« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

« Maman, quand est-ce qu’on arrive? »

Voyager avec un enfant

Voyager en voiture, en avion ou en train pour un long trajet représente toujours un défi pour les parents. 
2 février 2017/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43747)/Commentaires ()/
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Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

Programme de sciences infirmières en français à Regina dès 2018

La signature d’un protocole d’entente entre la Faculté de sciences infirmières de l’Université de Regina et La Cité universitaire francophone a eu lieu le 9 décembre 2016. Ce protocole vise à offrir un programme postsecondaire bilingue en sciences infirmières dès 2018. 

21 janvier 2017/Auteur: La Cité universitaire francophone/Nombre de vues (36628)/Commentaires ()/
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Des graphistes en herbe à l’École Valois

Des graphistes en herbe à l’École Valois

La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."

2 janvier 2017/Auteur: ENDV/Nombre de vues (43114)/Commentaires ()/
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Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

GRAVELBOURG - C’est le 9 novembre dernier que les jeunes des écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg, le personnel des deux institutions scolaires et des membres de la communauté fransaskoise se sont donné rendez-vous pour la célébration du Jour du Souvenir sous le thème « Nous nous souviendrons ».

2 décembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (35371)/Commentaires ()/
Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Il y a dix ans, la Table nationale en petite enfance devait faire des choix critiques. Ses membres ont décidé de continuer à se réseauter et à développer des modèles de lieux de service pour stimuler un mouvement national. Et ils ont écarté la stratégie juridique, qui aurait consisté à monter une cause solide quelque part au pays.

24 novembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (45675)/Commentaires ()/
Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

"Je veux aider la communauté à guérir"

 

Christiane Guérette a été élue pour représenter le district de Saskatoon au sein du Conseil scolaire fransaskois (CSF) lors des élections scolaires du 26 octobre 2016. Elle a été choisie par une majorité de conseillers pour occuper la présidence du CSF succédant ainsi à Alpha Barry. L’Eau vive l’a rencontrée.


 

24 novembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (35049)/Commentaires ()/
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Créer une relation complice avec son enfant

Créer une relation complice avec son enfant

Comment bâtir un lien durable

« Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers.

23 novembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (48943)/Commentaires ()/
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Le devoir des écoles sans ressources

Le devoir des écoles sans ressources

Il faut enseigner la langue et la culture en même temps

« Il faut enseigner la langue et la culture en même temps. Si on ne le fait pas, on est voué à disparaître. »

21 novembre 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (35715)/Commentaires ()/
Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
4 novembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34756)/Commentaires ()/
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L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34205)/Commentaires ()/
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Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (33623)/Commentaires ()/
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Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28774)/Commentaires ()/
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La Loche, lieu jadis connu internationalement

Auteur: Carol Léonard/7 avril 2016/Catégories: 2016, Les noms d'ici

La Loche, l’ignominieux crime qui y a été perpétré en janvier dernier a fait en sorte qu’un nom a ressurgi. La Loche, un nom, le sait-on, qui était internationalement connu dès la fin du XVIIIe siècle. Bourgeois et dirigeants des grandes entreprises et boutiques qui vêtaient et coiffaient de fines fourrures les titrés et la gentry de Londres, Paris, New York ou Montréal étaient bien au fait de l’existence de ce lieu.

La réputation de La Loche s’était répandue dès que les traiteurs de fourrures atteignirent le célèbre portage situé à l’extrémité occidentale du lac qui baigne les rives de La Loche et auquel le portage et ce village nordique ont emprunté leurs noms.

Le portage La Loche fut l’un des plus fameux sinon le plus célèbre des portages dans toute l’histoire canadienne de la traite des fourrures. Il acquit cette réputation d’abord en raison de sa longueur. Longueur appréciable à n’en pas douter ; une vingtaine de kilomètres, véritable épreuve d’endurance pour les Voyageurs, ces engagés des compagnies de traite qui ne pouvaient emprunter ce portage sans appréhender les pénibles efforts auxquels ils devaient consentir pour parvenir à son extrémité. Aussi, tout le long de la piste, on avait aménagé des pauses de portage.

Une fois la pause atteinte, on y déposait le lot de marchandises que l’on était parvenu à transporter. Puis chacun revenait sur ses pas pour aller chercher d’autres marchandises. On répétait ainsi le va-et-vient de la manœuvre de pause en pause de manière à assurer le transport du cargo et des canots d’une extrémité à l’autre du portage.

Ces pauses avaient pour noms : Queue de la Loche, Petit vieux, Fontaine de sable, la Vieille, Fontaine de Roche, pause Bonhomme, pause Cyprès.

Avant d’atteindre la pause nomme Crête de la descente, puis la pause La Prairie, on s’arrêtait au bien nommé petit lac Rendez-vous (aujourd’hui Rendezvous Lake). C’est là que les brigades de Voyageurs du bassin de la Churchill échangeaient avec celles du Mackenzie les marchandises de traite contre les riches fourrures qu’elles rapportaient du Mackenzie.

C’est bien là le second facteur à l’origine de la réputation de La Loche. Son portage était la principale porte d’entrée donnant sur le bassin du grand fleuve et à ses régions boréales et arctiques où l’on pouvait se procurer les fourrures les plus fournies, les plus chaudes, les plus soyeuses avec lesquelles tant de beaux messieurs et de belles dames de la grande société allaient pouvoir se parer pour se pavaner à l’envi.

Le lac, tout comme la rivière qui y mène, le village et le portage tirent tous leur nom de la présence dans les eaux du lac d’une variété de poisson (Gadus Lota maculosus) désigné chez les Cris sous le nom Methye ou Mihyëy alors que les Denésolinés le nomment Ot'esh-otchôré. Le toponyme La Loche s’imposa d’abord aux Voyageurs eux-mêmes puis aux Amérindiens et aux Métis qui s’y regroupèrent. Plusieurs s’y établirent pour gérer et assurer la logistique indispensable aux traversées du grand portage. Ils formèrent le noyau de la population dont de nombreux descendants sont encore établis au village.

La présence de patronymes familiaux d’origine française au sein de la population résidente (Janvier, Le Maigre, Jolibois, Sylvestre, Herman, Fontaine, Montgrand, Tout Le Jour) y trouve son explication.

Terminons ici avec une anecdote qui révèle le caractère symbolique du portage. À la suite des Peter Pond et Alexander Mackenzie, George Simpson grande figure de la Compagnie de la Baie d’Hudson emprunta à son tour le fameux sentier. En un lieu qui fut sans doute celui de la pause dite « du Vieux », il se soumit à un rituel auquel aucun patron, aucun bourgeois traversant le portage ne pouvait échapper au risque de voir sa barbe rasée sur-le-champ. Il servit une généreuse rasade de rhum à tous les engagés qui l’accompagnaient. Les libations terminées, les Voyageurs baptisèrent l’endroit Campement de Monsieur Simpson. Ce rituel faisait écho à ceux en usage à bord des navires au moment où ils franchissaient l’équateur.

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Carol Léonard

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 - vendredi 15 novembre 2024