Skip Navigation
Des graphistes en herbe à l’École Valois

Des graphistes en herbe à l’École Valois

La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."

2 janvier 2017/Auteur: ENDV/Nombre de vues (42487)/Commentaires ()/
Balises:
Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

Jour du Souvenir aux écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg

GRAVELBOURG - C’est le 9 novembre dernier que les jeunes des écoles Beau Soleil et Mathieu de Gravelbourg, le personnel des deux institutions scolaires et des membres de la communauté fransaskoise se sont donné rendez-vous pour la célébration du Jour du Souvenir sous le thème « Nous nous souviendrons ».

2 décembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34413)/Commentaires ()/
Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Article 23 : Un autre faux départ pour le préscolaire?

Il y a dix ans, la Table nationale en petite enfance devait faire des choix critiques. Ses membres ont décidé de continuer à se réseauter et à développer des modèles de lieux de service pour stimuler un mouvement national. Et ils ont écarté la stratégie juridique, qui aurait consisté à monter une cause solide quelque part au pays.

24 novembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (43514)/Commentaires ()/
Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

Rencontre avec la nouvelle présidente du CSF

"Je veux aider la communauté à guérir"

 

Christiane Guérette a été élue pour représenter le district de Saskatoon au sein du Conseil scolaire fransaskois (CSF) lors des élections scolaires du 26 octobre 2016. Elle a été choisie par une majorité de conseillers pour occuper la présidence du CSF succédant ainsi à Alpha Barry. L’Eau vive l’a rencontrée.


 

24 novembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (33999)/Commentaires ()/
Balises:
Créer une relation complice avec son enfant

Créer une relation complice avec son enfant

Comment bâtir un lien durable

« Allez mon chéri, range vite tes affaires, prends ton goûter, relaxe-toi 5 minutes et fais tes devoirs. Puis prépare-toi, nous partons à ton entraînement de soccer. » Cette routine quasi quotidienne durant la semaine est commune dans bien des foyers.

23 novembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (48284)/Commentaires ()/
Balises:
Le devoir des écoles sans ressources

Le devoir des écoles sans ressources

Il faut enseigner la langue et la culture en même temps

« Il faut enseigner la langue et la culture en même temps. Si on ne le fait pas, on est voué à disparaître. »

21 novembre 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (35012)/Commentaires ()/
Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Inauguration de la nouvelle École Gravelbourg School

Mardi le 18 octobre 2016 avait lieu l’inauguration de l’École Gravelbourg School à Gravelbourg.
4 novembre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (32378)/Commentaires ()/
Balises:
L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (31583)/Commentaires ()/
Balises:
Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (33133)/Commentaires ()/
Balises:
Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28265)/Commentaires ()/
Balises: Jason Wandy
De l’huile sur un feu presque éteint?

De l’huile sur un feu presque éteint?

Un cadre du CÉF devient président de l'APF

L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté. 

27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (36157)/Commentaires ()/
Balises:
Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (21353)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises:
Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (31449)/Commentaires ()/
Balises:
Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (31398)/Commentaires ()/
Balises: CLO
L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (30806)/Commentaires ()/
Balises:
RSS
Première1011121315171819Dernière
L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

Auteur: Luc Bengono/25 septembre 2014/Catégories: 2014, Politique

On en parlait peu, mais de nombreux Canadiens regardaient du coin de l’œil ce qui se passait en Écosse. Le 18 septembre dernier, le peuple écossais, consulté par référendum, a dit non à l’indépendance et oui au Royaume-Uni.  Quand on dit référendum, le 30 octobre 1995 surgit dans la mémoire collective canadienne et le spectre de l’indépendance du Québec plane. La Presse canadienne du 14 septembre 2014 titrait, dans sa version anglaise : « Les souverainistes Québécois tirent les leçons de l’Écosse ».

Cependant, entre le Québec, le Canada et l’Écosse, il y a l’océan Atlantique et un gouffre historique, géographique et économique qu’il ne faut pas franchir précipitamment. Prudence. Sur le plan historique, au dixième siècle, l’Angleterre a essayé d’assujettir l’Écosse. Au final, après une guerre longue, en 1314, les Écossais ont infligé une défaite cuisante aux Anglais, au cours de la bataille de Bannockburn, au cœur du pays écossais. L’Angleterre fut obligée de reconnaître l’indépendance de l’Écosse.

Néanmoins, au fil du temps, Écossais et Anglais se découvrent et s’apprécient. D’ailleurs, ils parlent la même langue. Ils finissent par s’aimer. Grâce au jeu des mariages entre familles royales, au XVIIe siècle, les royaumes d’Angleterre et d’Écosse se réunissent. En 1603, Jacques VI Stuart d’Écosse devient roi d’Angleterre sous le nom de Jacques 1er. Il existe donc des liens affectifs et historiques étroits entre Anglais et Écossais.

Sur le plan géographique, le territoire écossais, 77 080 km carrés,  représente 30% du Royaume-Uni et sa population, 5 millions d’habitants, constitue 8% de ce petit ensemble qui comprend l’Angleterre, l’Irlande du Nord, le pays de Galles et l’Écosse. Si l’Écosse était devenue indépendante, la géographie du Royaume-Uni aurait considérablement changé.

Cependant, l’enjeu majeur du référendum du 18 septembre était économique. L’Écosse est riche. Depuis les années 1970, des gisements considérables de pétrole ont été découverts dans les eaux écossaises en mer du Nord, soit 60% des réservent européennes en hydrocarbures. Depuis plusieurs années, ce territoire a bénéficié d’investissements massifs dans l’éducation et les nouvelles technologies.

Tout le monde connaît la Silicon Valley aux États-Unis, mais beaucoup ignorent la Silicon Glen, située entre Glasgow et Édimbourg. Plusieurs centaines de compagnies spécialisées dans les hautes technologies se sont installées dans cette niche et elles produisent plus de 70% des périphériques d’ordinateurs vendus en Europe. Par ailleurs, 70% du poisson consommé en Angleterre vient d’Écosse.

La richesse moyenne d’un Écossais est supérieure à celle d’un Anglais, d’un Français, d’un Italien et même d’un Japonais. Édimbourg, la capitale, est la première place financière en Europe pour la gestion des fonds de pension. Si le « oui » l’avait emporté le 18 septembre, l’Écosse aurait pu devenir en quelques années le 10e pays le plus riche au monde. Alors pourquoi les Écossais ont-ils dit non à l’indépendance?

Un écrivain Écossais célèbre, Walter Scott, disait que « les Écossais sont patriotes de cœur, mais unionistes de raison ». Du coup, de nombreux observateurs pensent que les Écossais ont fait le choix de la raison. Pas si sûr... Si l’Écosse est un pays riche, l’essentiel de sa richesse vient des échanges commerciaux avec le Royaume-Uni, près de 100 milliards de dollars, suivi de loin par l’Union européenne. Or, c’est un secret de polichinelle que le Royaume-Uni aurait fait payer cher aux Écossais leur divorce. Avant le vote, la reine Elizabeth a appelé les Écossais à réfléchir attentivement à leur avenir... À titre d’exemple, les indépendantistes souhaitaient conserver la livre sterling, la puissante monnaie anglaise. Ils avaient déjà essuyé le refus catégorique de Londres.

De même, l’Union européenne voit d’un mauvais œil ces micro-États qui aspirent à leur indépendance sur le continent. Les partisans du « oui » en Écosse avaient exprimé leur intention de rester dans l’Union européenne. Là aussi, des voix avaient averti qu’en cas de victoire du « oui », les Écossais devraient reprendre à zéro le long et fastidieux processus d’adhésion à l’Union.

Une Écosse indépendante aurait pu être riche, mais le chemin pour y arriver aurait été long et semé de sérieuses embûches. Il y avait de quoi avoir peur. Tant mieux. Un autre écrivain, français celui-là, François Mauriac, disait que « la peur est le commencement de la sagesse 

 

Imprimer

Nombre de vues (17728)/Commentaires (0)

Balises: Écosse
Luc Bengono

Luc Bengono

Autres messages par Luc Bengono
Contacter l'auteur

Comments are only visible to subscribers.

Contacter l'auteur

x

 - samedi 21 septembre 2024