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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (34403)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31622)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (43578)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31026)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (28677)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28133)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31939)/Commentaires ()/
Balises: André Denis
André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

André Messier nommé directeur général adjoint à l’éducation

Une nomination au CÉF qui soulève des vagues

La nomination d’André Messier à la direction générale adjointe à l’éducation du Conseil des écoles fransaskoises a suscité quelques questionnements compte tenu des antécédents houleux de monsieur Messier alors qu’il était directeur de la Commission scolaire du Val-des-Cerfs à Granby.

21 août 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (32234)/Commentaires ()/
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Sacré Charlemagne!

Pour nous inviter aux vacances, il y a eu la chanson « C’est le temps des vacances ».  Mais pour nous ramener à la réalité de la fin de celles-ci et de la rentrée scolaire, il y a eu une chanson très populaire en son temps par la chanteuse française France Gall. Évidemment, il s’agit de « Sacré Charlemagne ».

18 août 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (25799)/Commentaires ()/
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Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Rentrée scolaire stress et excitation pour enfants et parents

Le mois de septembre résonne comme le mois de toutes les découvertes. La plus grande découverte, et néanmoins la plus stressante pour un grand nombre de familles, reste l’entrée à l’école.

18 août 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (38464)/Commentaires ()/
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Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Robert Lessard et la rentrée scolaire de l’École Boréale à Fort McMurray

Deux jours après son entrée en fonction, le feu atteignait la ville

Malgré les défis causés par le feu de forêt, la rentrée scolaire aura lieu pour les élèves de l’École Boréale de Fort McMurray. 

22 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25046)/Commentaires ()/
Catégories: 2016Éducation
Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Un collectif de parents fransaskois lance un appel à l'unité

Le Collectif des parents inquiets et préoccupé a émis un communiqué qui fait appel à l'unité pour lutter contre le sous-financement des écoles fransaskoises.

 

18 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (25016)/Commentaires ()/
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Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Les écoles fransaskois ont deux codirecteurs

Bernard Roy sera le prochain directeur des études

Malgré une certaine grogne au sein d’un groupe de parents fransaskois face à sa réembauche par le Conseil des écoles fransaskoise (CÉF), Bernard Roy a finalement été nommé codirecteur du CEF en compagnie de Ronald Ajavon. Monsieur Roy sera ainsi en charge du volet éducationnel de l’organisme en supervisant ses orientations et actions alors que monsieur Ajavon s’occupera du côté administratif et opérationnel.
13 juillet 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Pascal Lévesque/Nombre de vues (32946)/Commentaires ()/
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Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Lettre des parents: Bernard Roy doit démissioner

Le CSF parle de transparence et de rétablir la confiance des parents

Nous demandons la démission de M Roy. C’est la chose morale et honorable à faire. Les parents doivent participer aux élections et demander du changement.
12 juillet 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (30723)/Commentaires ()/
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L’école francophone et les Néo-Canadiens

L’école francophone et les Néo-Canadiens

De plus en plus, on voit l'immigration francophone comme le moyen de changer le cours de l’histoire qui voudrait que la langue française vogue imperceptiblement vers des eaux troubles et des ciels obscurs.

7 juillet 2016/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (30103)/Commentaires ()/
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L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

L’Écosse dit non à l’indépendance : le choix de la peur ou de la raison?

Auteur: Luc Bengono/25 septembre 2014/Catégories: 2014, Politique

On en parlait peu, mais de nombreux Canadiens regardaient du coin de l’œil ce qui se passait en Écosse. Le 18 septembre dernier, le peuple écossais, consulté par référendum, a dit non à l’indépendance et oui au Royaume-Uni.  Quand on dit référendum, le 30 octobre 1995 surgit dans la mémoire collective canadienne et le spectre de l’indépendance du Québec plane. La Presse canadienne du 14 septembre 2014 titrait, dans sa version anglaise : « Les souverainistes Québécois tirent les leçons de l’Écosse ».

Cependant, entre le Québec, le Canada et l’Écosse, il y a l’océan Atlantique et un gouffre historique, géographique et économique qu’il ne faut pas franchir précipitamment. Prudence. Sur le plan historique, au dixième siècle, l’Angleterre a essayé d’assujettir l’Écosse. Au final, après une guerre longue, en 1314, les Écossais ont infligé une défaite cuisante aux Anglais, au cours de la bataille de Bannockburn, au cœur du pays écossais. L’Angleterre fut obligée de reconnaître l’indépendance de l’Écosse.

Néanmoins, au fil du temps, Écossais et Anglais se découvrent et s’apprécient. D’ailleurs, ils parlent la même langue. Ils finissent par s’aimer. Grâce au jeu des mariages entre familles royales, au XVIIe siècle, les royaumes d’Angleterre et d’Écosse se réunissent. En 1603, Jacques VI Stuart d’Écosse devient roi d’Angleterre sous le nom de Jacques 1er. Il existe donc des liens affectifs et historiques étroits entre Anglais et Écossais.

Sur le plan géographique, le territoire écossais, 77 080 km carrés,  représente 30% du Royaume-Uni et sa population, 5 millions d’habitants, constitue 8% de ce petit ensemble qui comprend l’Angleterre, l’Irlande du Nord, le pays de Galles et l’Écosse. Si l’Écosse était devenue indépendante, la géographie du Royaume-Uni aurait considérablement changé.

Cependant, l’enjeu majeur du référendum du 18 septembre était économique. L’Écosse est riche. Depuis les années 1970, des gisements considérables de pétrole ont été découverts dans les eaux écossaises en mer du Nord, soit 60% des réservent européennes en hydrocarbures. Depuis plusieurs années, ce territoire a bénéficié d’investissements massifs dans l’éducation et les nouvelles technologies.

Tout le monde connaît la Silicon Valley aux États-Unis, mais beaucoup ignorent la Silicon Glen, située entre Glasgow et Édimbourg. Plusieurs centaines de compagnies spécialisées dans les hautes technologies se sont installées dans cette niche et elles produisent plus de 70% des périphériques d’ordinateurs vendus en Europe. Par ailleurs, 70% du poisson consommé en Angleterre vient d’Écosse.

La richesse moyenne d’un Écossais est supérieure à celle d’un Anglais, d’un Français, d’un Italien et même d’un Japonais. Édimbourg, la capitale, est la première place financière en Europe pour la gestion des fonds de pension. Si le « oui » l’avait emporté le 18 septembre, l’Écosse aurait pu devenir en quelques années le 10e pays le plus riche au monde. Alors pourquoi les Écossais ont-ils dit non à l’indépendance?

Un écrivain Écossais célèbre, Walter Scott, disait que « les Écossais sont patriotes de cœur, mais unionistes de raison ». Du coup, de nombreux observateurs pensent que les Écossais ont fait le choix de la raison. Pas si sûr... Si l’Écosse est un pays riche, l’essentiel de sa richesse vient des échanges commerciaux avec le Royaume-Uni, près de 100 milliards de dollars, suivi de loin par l’Union européenne. Or, c’est un secret de polichinelle que le Royaume-Uni aurait fait payer cher aux Écossais leur divorce. Avant le vote, la reine Elizabeth a appelé les Écossais à réfléchir attentivement à leur avenir... À titre d’exemple, les indépendantistes souhaitaient conserver la livre sterling, la puissante monnaie anglaise. Ils avaient déjà essuyé le refus catégorique de Londres.

De même, l’Union européenne voit d’un mauvais œil ces micro-États qui aspirent à leur indépendance sur le continent. Les partisans du « oui » en Écosse avaient exprimé leur intention de rester dans l’Union européenne. Là aussi, des voix avaient averti qu’en cas de victoire du « oui », les Écossais devraient reprendre à zéro le long et fastidieux processus d’adhésion à l’Union.

Une Écosse indépendante aurait pu être riche, mais le chemin pour y arriver aurait été long et semé de sérieuses embûches. Il y avait de quoi avoir peur. Tant mieux. Un autre écrivain, français celui-là, François Mauriac, disait que « la peur est le commencement de la sagesse 

 

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Balises: Écosse
Luc Bengono

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