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Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Sciences infirmières : un examen national décrié par les francophones

Le NCLEX (National Council Licensing Examination) fait trembler bien des candidats francophones au programme de sciences infirmières. Si dans sa version anglaise plus de 80 % d’entre eux réussissent au niveau national, le taux de réussite tombe à 30 % pour les candidats en français.

31 octobre 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (28469)/Commentaires ()/
Une communauté dévouée pour son école

Une communauté dévouée pour son école

Un nouveau terrain de jeu pour l'École Providence de Vonda

Grâce à la mobilisation des parents, du personnel et de la ville, l’École Providence de Vonda s’est paré d’un terrain de jeu flambant neuf pour le plus grand plaisir des enfants.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31262)/Commentaires ()/
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Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

Coup d'oeil sur l'École Mgr de Laval de Regina

L’école Monseigneur de Laval, Pavillon secondaire des Quatre Vents à Regina, n’a rien à envier aux établissements de la majorité.

23 septembre 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (24832)/Commentaires ()/
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La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

La langue michif au programme d'une école de Saskatoon

Un programme offert de la maternelle à la 3e année

SASKATOON - Les étudiants de la maternelle à la 3e année de l’école St. Michael Community School à Saskatoon auront l’occasion de suivre le premier programme d’apprentissage de la langue michif offert dans la ville et l’un des deux seuls programmes à l’échelle de la province.

15 septembre 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (27298)/Commentaires ()/
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Retrouvailles au Collège Mathieu

Retrouvailles au Collège Mathieu

45 ans après avoir terminé leurs études au Collège Mathieu d'anciens élèves se sont rencontrés à Gravelbourg.

 

29 août 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (27734)/Commentaires ()/
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Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

Portraits de professeurs francophones de l’Université de la Saskatchewan

SASKATOON - Sur près de 1 200 professeurs à l’Université de la Saskatchewan, on compte une vingtaine de francophones. L'Eau vive en a rencontré six.

21 juillet 2019/Auteur: Jean-Philippe Deneault/Nombre de vues (28742)/Commentaires ()/
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Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Amélie Boutin, diplômée de l'École canadienne-française de Saskatoon

Née à Saskatoon, Amélie a effectué tout son parcours scolaire à l’École canadienne-française, depuis la garderie jusqu’à la 12e année. Elle part maintenant étudier les sciences en français à l’Université d’Ottawa.

19 juillet 2019/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (25524)/Commentaires ()/
Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Quand les jeunes s’investissent pour la science !

Remise des prix Expo-science 2019

REGINA - Le 20 juin dernier, à l’école Monseigneur de Laval de Regina, on a pu assister à un spectacle de chansons, de danses concocté par les classes de 3e année,ainsi qu'à la remise des prix aux gagnants de l’Expo-sciences qui s‘était déroulée au début du mois.

16 juillet 2019/Auteur: Linda Morales/Nombre de vues (26550)/Commentaires ()/
Balises: Expo-science
Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Deux enseignants reconnus pour leur engagement sportif

Terry Gaudet et Michel Forest honorés par la Saskatchewan High Schools Athletic Association

Terry Gaudet et Michel Forest, enseignants respectivement à l’École St-Isidore à Bellevue et à l’École Mathieu de Gravelbourg, ont chacun reçu le Prix du service de la Saskatchewan High Schools Athletic Association (SHSAA). Ces récompenses viennent souligner l’implication remarquable des deux instituteurs pour le sport à l’école.

13 juillet 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (28838)/Commentaires ()/
Une foire des sciences totalement en français

Une foire des sciences totalement en français

Expo-sciences à Mgr de Laval

REGINA - Le jeudi 6 juin 2019 avait lieu la foire des sciences de l’école Monseigneur de Laval. Les élèves de la 3e et de la 5e année étaient présents pour exposer leurs projets de recherche. 

22 juin 2019/Auteur: Linda A. Morales/Nombre de vues (27305)/Commentaires ()/
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Une première cohorte de juristes obtient des certifications en français

Une première cohorte de juristes obtient des certifications en français

SASKATOON - Pour la première fois, cinq étudiantes de l’Université de la Saskatchewan ont reçu ce 5 juin à Saskatoon une certification de common law en français de l’Université d’Ottawa. 

21 juin 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (31791)/Commentaires ()/
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62,6 millions de dollars pour lutter contre la pénurie d’enseignants

62,6 millions de dollars pour lutter contre la pénurie d’enseignants

VANCOUVER - Le lundi 13 mai 2019, la ministre des Langues officielles Mélanie Joly a annoncé une stratégie nationale de recrutement et de rétention des enseignants francophones.

4 juin 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (34440)/Commentaires ()/
Lettre du président de la SCFPA: Déménagement à l’Académie Rivier

Lettre du président de la SCFPA: Déménagement à l’Académie Rivier

Malgré le fait que l’édifice des Sœurs de la Présentation de Marie ait été construit dans les années 1960, sauf la piscine (années 1980), il s’agit d’une occasion de créer, au-delà du concept de centre scolaire communautaire, un pôle d’attraction et de développement unique en Saskatchewan et dans l’Ouest canadien.

25 avril 2019/Auteur: Michel Dubé/Nombre de vues (28871)/Commentaires ()/
Le Collège Mathieu en pleine planification

Le Collège Mathieu en pleine planification

Avec un questionnaire en ligne distribué aux membres des organismes francophones, du gouvernement et de la communauté, le Collège Mathieu réalise une étude, première étape d’un vaste plan de développement. L’objectif : mieux répondre aux besoins de la communauté et du marché de l’emploi en Saskatchewan.

25 avril 2019/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (28235)/Commentaires ()/
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Transferts en éducation: Ah, si les provinces voulaient…

Transferts en éducation: Ah, si les provinces voulaient…

Le gouvernement fédéral a prévu de l’argent dans son récent budget pour les écoles françaises. Cela dit, le bât blesse quelque part. Les provinces hésitent à montrer ce qu’elles vont faire de cet argent.

22 avril 2019/Auteur: Réjean Paulin/Nombre de vues (26434)/Commentaires ()/
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Connaissez-vous les trains de la soie?

Connaissez-vous les trains de la soie?

Auteur: Laurent Desrosiers/22 octobre 2014/Catégories: 2014, Les timbrés

Les trains de la soie

Les trains de la soie


Avant d’entamer mon sujet d’aujourd’hui, j’ai un aveu à vous faire. Léon Marchildon de Zenon Park m’adressait, amicalement bien entendu, un reproche. Léon m’est bien connu. Je crois bien que vous le connaissez, vous aussi. Tous savent qu’il ne ferait jamais de mal à une mouche. Il m’a dit, « Certaines de tes chroniques n’ont rien à voir avec les timbres ». Vous savez sans doute qu’il a parfaitement raison et aujourd’hui, je me propose de récidiver. 

Selon la thèse de Jonathan Hanna, l’historien du Canadian Pacifique (CP), l’histoire que je vous présente aujourd’hui s’est déroulée entre 1887 et la fin de la Grande Dépression. C’est une histoire obscure des trains de la soie. À la fin du XIXe siècle, la soie était en grande demande à la National Silk Exchange à New York pour la fabrication d’articles de luxe tels que cravates, foulards, chemises et robes. Or, la soie brute, un produit hautement périssable, venait du lointain Orient. La vitesse dans le transport et le transbordement des navires aux trains était d’importance primordiale. 

Ce trafic était extrêmement lucratif. Le Canadien national (CN) aussi a voulu partager le « gâteau ». Or ces deux compagnies se sont construits des wagons spéciaux conçus pour la grande vitesse. Ils étaient plus courts ce qui leur permettaient de négocier à grande vitesse les nombreuses courbes dans les montagnes Rocheuses. Encore pour favoriser la vitesse, ces wagons étaient munis de la même suspension que ceux des voyageurs.

Afin de hâter le transbordement, des officiels montaient à bord des navires à Victoria pour s’occuper de la paperasse pendant la traversée du détroit Juan de Fuca. Dès que le navire accostait au port de Vancouver, les ballots de soie descendaient sur des courroies sans fin vers le train même avant qu’on pose la passerelle pour les voyageurs. La documentation prouve qu’on pouvait charger un train de 8 wagons en 1 h 39. Les chaudières étaient prêtes pour un départ dans un nuage de vapeur, de suie et de fumée. Les trains de la soie ne transportaient qu’un seul produit: la soie. 

Toutes les lois ferroviaires étaient sacrifiées en faveur des trains de la soie. Tous les frets stationnaient sur les voies d’évitement pour rencontrer ou se laisser dépasser par les trains de la soie. Même les trains de voyageurs tel que le Supercontinental leur cédaient la voie principale. Jonathan Hanna dit : « Il paraît » que les trains de la soie avaint même la priorité sur la royauté. Mais Hanna ne cite aucun cas précis lors du voyage transcontinental de la famille royale en 1939.

Ce transport épique a débuté à l’âge de la vapeur. Les engins à vapeur et les wagons de l’époque n’étaient pas équipés de coussinets à billes. Ils nécessitaient de l’entretien tous les 400 milles, c’est-à-dire un approvisionnement en charbon, en eau et un huilage. À la fin de chaque division, un engin chauffé à rouge et approvisionné en eau et charbon attendait pour continuer la course effrénée. 

Les engins à vapeur n’étaient pas équipés d’un vélocimètre. En utilisant un chronomètre pour minuter le parcours d’un mile, on a déterminé que ces monstres de leur temps pouvaient atteindre 80 miles à l’heure (130 km/h).

Postes Canada à commémoré les engins à vapeur du Grand Tronc (GT), du CN et du CP avec 12 timbres et une feuille souvenir de 4 timbres. Le CP classe P2a est un géant à 8 grandes roues motrices.

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Laurent Desrosiers

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 - mardi 24 septembre 2024