Prix BRAVO bénévoles Prix BRAVO bénévoles Le CCS met en valeur le bénévolat 10 avril 2014 29855 Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures peuvent être soumises jusqu’au 30 avril.
Atelier sur la littératie financière Atelier sur la littératie financière Une participation pauvre mais des participants plus riches de bons conseils 2014-03-22 13:30 - 16:30 22094 Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé Littératie financière, animé par Madame Rita Denis et offert par le Collège Mathieu.
Le francothon s'en vient Le francothon s'en vient C'est sous le thème « La Fondation fransaskoise, moi, j’y crois », qu'a débuté, la semaine du 10 mars 2014,... 2014-04-12 18:00 15728
Le dollar canadien inquiète les immigrants Le dollar canadien inquiète les immigrants Depuis plusieurs mois, notre dollar pique du nez. Quel est l'impact sur les immigrants? 6 mars 2014 27527
Le budget fédéral et la formation à l’emploi Le budget fédéral et la formation à l’emploi Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur. 27 février 2014 41812
AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg AGA de la Chambre de commerce de Gravelbourg Le Centre culturel Maillard a été l’hôte de l’assemblée générale annuelle (AGA) de la Chambre... 23 février 2014 31204
Êtes-vous business? Êtes-vous business? C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et... 20 février 2014 48226
Leslie Garrido-Diaz / 3 juillet 2022 / Catégories: Société, 2ELGBTQ Les aînés LGBT toujours stigmatisés Au Canada, les différentes orientations sexuelles et identités de genre sont reconnues et protégées par la loi. Un héritage qui permet aux jeunes concernés plus de liberté que leurs prédécesseurs. Mais qu’en est-il, justement, des aînés LGBT ? Comment se porte cette génération présente en 1969, moment où l’homosexualité était tout juste décriminalisée ? Pour ouvrir le dialogue sur cette question, la Fondation Émergence de lutte contre l’homophobie et la transphobie basée à Montréal a proposé une conférence en ligne le 15 juin dernier. L’occasion de présenter le programme Pour que vieillir soit gai qui a pour but de conscientiser la population aux enjeux sociaux vécus par les aînés LGBT. « La santé mentale reste un enjeu majeur pour les personnes issues de la communauté LGBT, et particulièrement pour les aînés », indique d’emblée Julien Rougerie, porte-parole et chef du programme. Julien Rougerie, porte-parole et chef du programme Pour que vieillir soit gai à la Fondation Émergence Crédits : Captures d’écran avec l’autorisation de la Fondation Émergence À l’occasion des 13 ans de la Fondation Émergence, une tournée virtuelle a été organisée à travers le Canada et s’est clôturée avec une édition spéciale Manitoba/Saskatchewan organisée en partenariat avec Vitalité 55+ Saskatchewan, l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF) et la Fédération des aînés de la francophonie manitobaine (FAFM). « Il est important de garder à l’esprit que 10 % de la population aînée fait partie de la communauté LGBT, souligne Julien Rougerie. Il faut que les organismes provinciaux et locaux ouvrent le dialogue pour lutter contre l’isolement sociétal et très souvent familial de ces personnes. » Connaître les réalités et enjeux Durant la conférence, les participants ont pu notamment découvrir les quatre types de stigmatisation subie par les aînés LGBT, à savoir les stigmatisations sociale, religieuse, médicale et juridique. Le porte-parole de la fondation ajoute que la pluralité des stigmatisations peut passer par « l’âge, la langue, mais également la couleur de peau, le sexe ou encore les origines ». Les composantes de l’identité selon la Fondation Émergence Crédits : Captures d’écran avec l’autorisation de la Fondation Émergence Ce dernier poursuit en indiquant qu’il faut faire attention aux expressions employées, toujours courantes et très discriminantes : « Il faut vraiment éviter les phrases du genre ‘Ce qui se passe dans les chambres, on ne s’en occupe pas’. Ça peut paraître égalitaire et neutre, mais en fait ça pousse toujours les personnes à se cacher et à se murer dans le silence. » Des efforts à poursuivre Abandon du statut de maladie en 1990, reconnaissance du mariage pour les personnes de même sexe en 2005 ou encore interdiction de discriminer les personnes trans en 2017. Avec ces avancées, d’aucuns pourraient penser que le combat est gagné. Mais, à ce jour, 67 États membres de l’Organisation des Nations unies (ONU) criminalisent toujours les actes sexuels entre personnes adultes consentantes du même sexe, et six d’entre eux imposent la peine de mort. « Il y a encore du chemin à faire mais, à notre échelle, il revient à chaque province canadienne de protéger ses droits et de proposer des ressources », conclut Julien Rougerie. Quelques bonnes pratiques pour respecter son prochain Démontrer son ouverture à la diversité sexuelle et de genre Réagir aux propos homophobes ou transphobes Éviter de supposer par défaut que tout le monde est hétérosexuel en utilisant un langage inclusif Respecter l’identité de genre et les pronoms choisis par son interlocuteur Respecter la confidentialité en ne révélant pas l’orientation sexuelle ou l’identité de genre d’une personne sans son consentement Reconnaître la place de la « famille choisie » chez les personnes concernées Imprimer 10824 Balises: 2SLGBTQIA+ Leslie Garrido-DiazLeslie Garrido-Diaz Autres textes par Leslie Garrido-Diaz Contacter l'auteur Les commentaires sont visibles aux abonnés..