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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ)

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Conseiller/Conseillère en développement économique (CDÉ).   DÉTAILS The post Offre d’emploi : Conseiller.ère en développement économique (CDÉ) appeared first on CÉCS.

Appel d’offres – Consultant.e

Appel d’offres – consultant.e!   Les soumissions doivent être reçues au plus tard le 15 mars 2021 à 17h (Heure SK) à l’adresse suivante :  1440, 9e Avenue Nord, bur. 205, Regina (SK) S4R 8B1 Courriel : jeandedieu.ndayahundwa@cecs-sk.ca. DÉTAILS The post Appel d’offres – Consultant.e appeared first on CÉCS.
Friday, February 19, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Offre d’emploi : Chargé.e de projets

OFFRE D’EMPLOI Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’une personne pour combler le poste de : Chargé de projets (à temps plein).  DÉTAILS The post Offre d’emploi : Chargé.e de projets appeared first on CÉCS.
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Actualité économique

Charles-Antoine Gagnon (Le Droit)

Contrer le suicide grâce à Twitter

Twitter sur cellulaire
OTTAWA - Un procédé mathématique servant à détecter les pensées suicidaires d’un individu, d’après ses messages sur Twitter, a fait l’objet de discussions le 10 septembre dernier, au Centre de santé mentale Le Royal d’Ottawa. L’activité visait notamment à déterminer jusqu’où les chercheurs peuvent pousser l’intelligence artificielle afin de prévenir l’irréparable.

L’algorithme a été développé par le Dr Zachary Kaminsky de la Chaire de recherche DIFD et Mach-Gaensslen sur la prévention du suicide au Royal. Le taux de réussite des calculs pour détecter des micromessages laissant planer un risque atteint 89 %, a précisé le chercheur. Le Dr Kaminsky indique qu’une période de deux semaines est suffisante pour l’analyse des tweets afin d’avoir un portrait des idéations d’une personne et ce, même si elle est inconsciente que ses messages peuvent sonner une alarme. « On n’a pas toujours une indication des risques avec un message spécifique, a-t-il précisé. Mais en rassemblant toutes les informations, le niveau de risque peut être établi grâce à des interrelations passées inaperçues ».

Ce n’est pas seulement le contenu, mais aussi les heures et les circonstances entourant la publication des microblogues qui sont étudiées. L’algorithme recherche des signes pouvant avoir une relation avec les tendances suicidaires comme le désespoir, la solitude, le stress, l’insomnie, le fardeau, l’anxiété, la dépression. « Nous n’utilisons que des tweets qui ne parlent pas de suicide pour tenter de trouver les messages cachés, les comportements dissimulés, a aussi mentionné le chercheur. Nous tentons de voir l’avenir ».

Un outil pour une meilleure prise de décision

Le 10 septembre était la Journée mondiale de la prévention du suicide. À cette occasion, le Centre de santé mentale Le Royal d’Ottawa accueillait plusieurs intervenants afin de déterminer où la technologie doit se diriger et pour qui les renseignements seraient les plus utiles.

Le Dr Kaminsky prend bien soin de dire que son projet n’a pas l’ambition de devenir un outil de diagnostic, mais qu’il pourra servir à aider un médecin ou un intervenant dans sa prise de décision pour avoir, notamment, une conversation avec une personne sur le suicide. « Nous construisons un outil, a-t-il indiqué. Mais nous ne voulons pas qu’il soit inutile. Nous voulons prévenir le suicide ». Le chercheur a choisi la plateforme Twitter parce que les messages sont publics et faciles à trouver.

Dix personnes s’enlèvent la vie chaque jour au Canada, selon l’Agence de santé publique du Canada. Le suicide est la deuxième principale cause de décès chez les 10 à 29 ans.

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Charles-Antoine Gagnon (Le Droit)Francopresse

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