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Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie Le FDÉFP, une bouffée d’air pour la fransaskoisie

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Grâce aux financements du Fonds de développement économique francophone des Prairies (FDÉFP), trois organismes fransaskois peuvent concrétiser leur projet. De quoi bonifier l’offre de services en français dans la province.

La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan La Belgique tisse des liens avec la Saskatchewan

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L'ambassadeur de Belgique au Canada, Patrick Van Gheel, a effectué une visite officielle en Saskatchewan du 24 au 27 octobre afin de « renforcer les liens croissants entre la Belgique et la province ». Des liens qui se veulent surtout économiques.
Le CÉCS dresse le portrait des régions Le CÉCS dresse le portrait des régions

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Disponibles sur le site du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) depuis la mi-juin, six rapports statistiques offrent un...
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Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire Gaspillage alimentaire : la Saskatchewan veut mieux faire

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Depuis le 3 août, une nouvelle application, Too good to go, permet aux habitants de Regina et de Saskatoon de réduire leur gaspillage alimentaire....
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FRANCOPRESSE – Malgré un maintien des prix élevés au Canada, l’Indice des prix à la consommation (IPC) est passé de 6,8 % à...
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Les immigrants, une richesse économique plus que jamais éduquée

FRANCOPRESSE – Le Canada peut se targuer d’avoir la main-d’œuvre la plus scolarisée des sept plus grandes puissances du monde. C’est en grande partie les immigrants qui ont hissé le pays en tête du classement. Ottawa mise plus que jamais sur l’immigration économique de travailleurs hautement qualifiés. Pourtant, les compétences des nouveaux arrivants ne sont...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Poste comblé : Chargé de projets

Regina, le 2 mars 2020 – C’est avec plaisir que le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) annonce la nomination de Mme Sanjana Amaroo à titre de Chargé de projets au sein de l’organisme. Sanjana est entrée en fonction le lundi 2 mars 2020. Le CÉCS souhaite donc à Mme Sanjana Amaroo la plus cordiale des bienvenues au sein de l’équipe! Communiqué de presse officiel The post Poste comblé : Chargé de projets appeared first on...

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Poste à combler : Gestionnaire, Employabilité et Immigration

Nous sommes à la recherche d’une personne dynamique et motivée pour combler un poste à temps plein au Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS). Le poste en question : Gestionnaire – Employabilité/Immigration * Date limite pour soumettre votre candidature : 21 février 2020 Pour plus de détails, svp appuyer sur le lien qui suit : DÉTAILS : OFFRE D’EMPLOI The post Poste à combler : Gestionnaire, Employabilité et Immigration...
Wednesday, January 22, 2020/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
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Actualité économique

Charles-Antoine Gagnon (Le Droit)

Contrer le suicide grâce à Twitter

Twitter sur cellulaire
OTTAWA - Un procédé mathématique servant à détecter les pensées suicidaires d’un individu, d’après ses messages sur Twitter, a fait l’objet de discussions le 10 septembre dernier, au Centre de santé mentale Le Royal d’Ottawa. L’activité visait notamment à déterminer jusqu’où les chercheurs peuvent pousser l’intelligence artificielle afin de prévenir l’irréparable.

L’algorithme a été développé par le Dr Zachary Kaminsky de la Chaire de recherche DIFD et Mach-Gaensslen sur la prévention du suicide au Royal. Le taux de réussite des calculs pour détecter des micromessages laissant planer un risque atteint 89 %, a précisé le chercheur. Le Dr Kaminsky indique qu’une période de deux semaines est suffisante pour l’analyse des tweets afin d’avoir un portrait des idéations d’une personne et ce, même si elle est inconsciente que ses messages peuvent sonner une alarme. « On n’a pas toujours une indication des risques avec un message spécifique, a-t-il précisé. Mais en rassemblant toutes les informations, le niveau de risque peut être établi grâce à des interrelations passées inaperçues ».

Ce n’est pas seulement le contenu, mais aussi les heures et les circonstances entourant la publication des microblogues qui sont étudiées. L’algorithme recherche des signes pouvant avoir une relation avec les tendances suicidaires comme le désespoir, la solitude, le stress, l’insomnie, le fardeau, l’anxiété, la dépression. « Nous n’utilisons que des tweets qui ne parlent pas de suicide pour tenter de trouver les messages cachés, les comportements dissimulés, a aussi mentionné le chercheur. Nous tentons de voir l’avenir ».

Un outil pour une meilleure prise de décision

Le 10 septembre était la Journée mondiale de la prévention du suicide. À cette occasion, le Centre de santé mentale Le Royal d’Ottawa accueillait plusieurs intervenants afin de déterminer où la technologie doit se diriger et pour qui les renseignements seraient les plus utiles.

Le Dr Kaminsky prend bien soin de dire que son projet n’a pas l’ambition de devenir un outil de diagnostic, mais qu’il pourra servir à aider un médecin ou un intervenant dans sa prise de décision pour avoir, notamment, une conversation avec une personne sur le suicide. « Nous construisons un outil, a-t-il indiqué. Mais nous ne voulons pas qu’il soit inutile. Nous voulons prévenir le suicide ». Le chercheur a choisi la plateforme Twitter parce que les messages sont publics et faciles à trouver.

Dix personnes s’enlèvent la vie chaque jour au Canada, selon l’Agence de santé publique du Canada. Le suicide est la deuxième principale cause de décès chez les 10 à 29 ans.

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Charles-Antoine Gagnon (Le Droit)Francopresse

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