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Le 7 juin, l’hydromellerie artisanale Prairie Bee, la première en son genre dans la province, a été désignée économusée.

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Le CÉCS investit pour l’avenir

En se dotant d’un fonds d’investissement depuis la première fois de son existence, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) compte bien donner un nouveau souffle pour l’entrepreneuriat fransaskois. Kouamé N’Goandi, directeur général de l’organisme, explique le but de l’initiative.

Lutter contre le déclin démographique par la relance économique

L’augmentation des cibles en immigration et l’injection substantielle de fonds gouvernementaux se trouvent au cœur du deuxième Livre blanc sur la francophonie économique. Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE Canada), qui signe le document, propose un plan de cinq ans qui mise notamment sur la création de programmes spécifiques en immigration et en...
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Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

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Nouvelles du CÉCS

Banque de candidatures – postes en employabilité et immigration

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan désire consolider une banque de candidatures pour divers postes dans le domaine de l’employabilité et de l’immigration qui seront situés à Regina et/ou Saskatoon. Nous avons donc mis à disposition cette page pour vous permettre d’envoyer votre curriculum vitæ à un des postes ci-dessous, et de faire partie de notre banque de candidats. Les banques sont utilisées par notre équipe de...
Sunday, February 12, 2017/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler: Conseiller/ère en développement économique

Le Conseil Économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un/e Conseiller/ère en développement économique (CDE) pour la région de Moose Jaw et les environs. Exigences : Avoir un diplôme en administration des affaires (ou l’équivalent) et/ou avoir acquis une expérience en développement économique communautaire et /ou en développement d’entreprise; Expérience et/ou connaissance du processus de développement économique...

Proposez des lieux de géocaches!

Récemment a eu lieu l’annonce officielle des projets communautaires financés pour le Canada 150, durant laquelle le projet « Découvrons nos communautés avec le 150e du Canada » a été annoncé. En effet, le CÉCS s’est donné comme objectif de créer 150 géocaches bilingues à travers la province. Cependant, nous ne pouvons réaliser cet objectif sans l’aide des communautés francophones de la province. Pour ce faire, nous avons développé un...
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Actualité économique

Table ronde sur la musique au CMA

« Arrêtons d’en parler et allons danser »

L artiste Natasha Saint-Pier au CMA

L artiste Natasha Saint-Pier au CMA

Photo : Centre de la Francophonie des Amériques

La musique, qui fait partie de ces expressions identitaires, se bat toujours entre le passage du temps et les change ments culturels, pour continuer à refléter la réalité et les traditions des peuples.

 

La musique acadienne n’échappe pas aux contraintes entre la modernité et la tradition, la langue étant aussi au sein de la discussion, Natasha Saint-Pier et Tommy Michot, nous ont donné leur avis sur ce sujet, le 12 août. 

 

L’une des voix de la chanson officielle du CMA, la chanteuse nous explique  que la musique d’aujourd’hui est fortement influencée par la musique d’hier et elle trouve que « c’est important de mélanger les deux, parce que la première explique  la deuxième »

 

Questionnée au sujet du choix du français au moment de chanter, elle avoue que cela n’a pas été son choix, mais celui de son professeur de musique. De toute façon, elle n’a pas arrêté de chanter en français et trouve « important d’avoir des gens qui fassent rayonner notre langue ailleurs et ne voient pas ça comme quelque chose de petit... »

 

Fière de sa carrière francophone, elle ne regrette pas de ne pas chanter aux États-Unis et assure que le français est une langue qui lui a permis de chanter partout dans le monde.

 

D’autre part, le musicien louisianais Tommy Michot insiste sur l’importance, malgré les difficultés, de se battre et de continuer à chanter en français en Louisiane. Fier que ses fils, musiciens aussi, s’expriment en français, aussi bien que ses petits-enfants, il nous a raconté ce que la musique traditionnelle cadienne était pour lui. 

 

Musicalement parlant, elle se base sur l’instrumentation, plutôt acoustique (violon, accordéon, guitare, contrebasse) et le chant. La danse aussi fait partie importante de la tradition musicale. Sur cet aspect là, il raconte que, comparant les différentes musiques « acadiennes » avec d’autres musiciens, on trouve que « la Louisiane n’est pas aussi sérieuse que la musique acadienne », les auditeurs ne pouvant pas échapper à l’envie de danser... 

 

Si la musique traditionnelle doit rester dans la « tradition » ou doit s’adapter aux nouveaux sons, ce n’est pas un débat qui touche à sa fin, et, heureusement, il aura autant d’avis que de mélomanes. 

 

Alors, si c’est comme ils nous racontent et qu’on ne peut pas rester assis quand  la musique cadienne commence, à  quoi bon insister. Arrêtons d’en parler et allons danser!

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Teresa Tomatti et Valérie Broussard Boston (Radio jeunesse des Amériques)Teresa Tomatti et Valérie Broussard Boston (Radio jeunesse des Amériques)

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