Fait bon de vous voir monter le ton en éditorial et en courrier du lecteur, le seul média à le faire à ma connaissance dans toute la francophonie canadienne.

Pauline Marois doit sûrement se demander quel train lui est passé dessus. Connaissant la tradition péquiste de persécuter ses chefs défaits en élection, sa décision de quitter la direction du parti est la plus sage qu’elle ait prise depuis quelque temps.

Après le Conseil des écoles fransaskoises, c’est maintenant au tour de l’Assemblée communautaire fransaskoise de jouer à l’équilibriste avec son budget. Une fois de plus, des employés vont écoper. Dépenses imprévues, financement qui n’est pas au rendez-vous, l’histoire se répète et, on peut le craindre, ça ne fait que commencer.