Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Thursday, November 26, 2015 35474 SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a organisé un atelier de préparation à la rédaction de CV et aux entretiens d’embauche le vendredi 20 novembre à Saskatoon.
Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? Un marché virtuel pour les producteurs fransaskois ? Thursday, November 26, 2015 31630 SASKATOON - Le 20 novembre dernier des producteurs agricoles fransaskois ont participé à une journée de travail à Saskatoon. Objectif : explorer l’implantation d’un marché virtuel pour la distribution de leurs produits.
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ? REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration... Wednesday, November 11, 2015 21045
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit... Wednesday, November 11, 2015 28188
Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre OTTAWA - Le déficit commercial du Canada a rétréci à 1,7 milliard $ en septembre, a indiqué mercredi... Wednesday, November 4, 2015 19391
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et... Wednesday, October 21, 2015 27879
7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le... Wednesday, October 21, 2015 29134
Subway débarque à Gravelbourg Subway débarque à Gravelbourg GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de... Thursday, October 8, 2015 27815
Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf Thursday, October 1, 2015 Face à face entre candidats à l’embauche et Maple Leaf SASKATOON - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan a organisé une mini-foire de l’emploi à Saskatoon, le 24 septembre dernier. En recherche d’employés, l’entreprise Maple Leaf Consumer Foods a rencontré des candidats à l’embauche.
Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Thursday, September 17, 2015 Le CCS enrichit son aide aux chercheurs d’emploi Outre les foires, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) a lancé des ateliers pour mieux appréhender le marché du travail et optimiser la recherche d’emploi.
Sébastien Németh (EV) / Thursday, September 24, 2015 / Categories: 2015, ACF - Assemblée communautaire fransaskoise, Société, Immigration Le gouvernement préfère l’immigration économique aux réfugiés Alors que la crise des réfugiés ne cesse de prendre de l’ampleur en Europe et que, sur fond de campagne électorale, le gouvernement Harper est sous pression pour accueillir davantage de réfugiés sur le sol canadien, l’Association communautaire fransaskoise (ACF) fait le point sur la problématique vue du côté francophone. Le gouvernement préfère l’immigration économique aux réfugiés. C’est en tout cas ce qu’affirme l’ACF, l’organisme porte-parole de la communauté francophone en charge de la question. Cette année, l’Assemblée communautaire a effectué deux demandes de financement officielles, une pour la prise en charge de réfugiés, l’autre pour les immigrants économiques. « Les autorités nous ont dit que nous allions sûrement perdre notre temps concernant les réfugiés. Cela nous a découragé alors nous avons retiré notre dossier. Pour le gouvernement, tout est une question d’argent. L’appui aux réfugiés coûte plus cher, car ils ont des besoins plus urgents et spécifiques. C’est un argument qui nous choque. L’accueil humanitaire fait partie de notre mandat », explique Ronald Labrecque, directeur général adjoint de l’ACF. En Saskatchewan, la problématique n’est d’ailleurs pas nouvelle. « Une planification stratégique avait été adoptée en 2010. Elle prévoyait que le volet humanitaire était important pour la communauté. Le chiffre de 60 à 125 réfugiés accueillis par an au sein des francophones avait même été avancé à l’époque », explique Ronald Labrecque. Une stratégie avait même été mise en place pour atteindre ce chiffre. Problème : l’ACF n’a jamais été reconnue officiellement comme un organisme intermédiaire à l’accueil des réfugiés. « Nous avons fait plusieurs tentatives. Sans succès. Citoyenneté et Immigration Canada nous ont d’abord dit qu’il fallait accueillir les immigrants économiques avant les réfugiés. Puis l’organisme nous a indiqué qu’il y avait trop peu de demandeurs francophones et qu’installer un système d’accueil serait trop onéreux. » Dans la province, quatre structures sont habilitées. Open door society à Regina et Saskatoon, le YWCA à Prince Albert et enfin le Moose Jaw Multicultural Council (MJMC). Ils se partagent environ 550 réfugiés par an. Un quota établi au niveau fédéral selon la taille de la population provinciale. « Nous ne sommes pas d’accord avec ce système. Au Manitoba, la stratégie de la province est bien meilleure. Elle a sélectionné des familles parlant français et demandé que dans son quota de réfugiés, il y ait des francophones », affirme Ronald Labrecque. Pour autant, l’ACF lutte toujours pour apporter sa contribution à la prise en charge. Des ententes ont été mises en place avec Open door society pour que, lorsqu’un réfugié francophone se présente, l’ACF puisse lui apporter des services dans sa langue et lui présenter toute la structure francophone de la province. « D’habitude, les quatre structures habilitées n’ont pas le réflexe de dire qu’il y a du français. Peu importe leur langue, ils étaient orientés vers l’anglais. Avec ces accords, nous pouvons proposer un ancrage dans la communauté et nous souhaitons des ententes similaires avec YWCA et le MJMC », indique Ronald Labrecque. Selon lui, l’argument gouvernemental ne tient pas. Il existe un besoin francophone chez les réfugiés. « Ces derniers 4 ans, nous avons travaillé avec une trentaine de personnes. Elles étaient résidentes permanentes mais se déclaraient réfugiées. Donc même sans mandat nous avons travaillé à leur intégration. Citoyenneté et Immigration Canada doit mettre en place des mesures positives pour augmenter l’immigration francophone. Cela pourrait être par exemple augmenter le nombre de réfugiés francophones. Je ne pense pas simplement aux Syriens. Beaucoup de réfugiés sont notamment africains et donc souvent francophones. Il y a un potentiel », conclut Ronald Labrecque. Print 17382 Sébastien Németh (EV)Sébastien Németh Other posts by Sébastien Németh (EV) Contact author Comments are only visible to subscribers.