Close
Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

Brad Wall rabroue les maires de la Communauté métropolitaine de Montréal

26926

Par l'intermédiaire des médias sociaux, M. Wall a déclaré: "je suis convaincu que les maires de la région de Montréal vont poliment rembourser leur part des 10 milliards $ de paiements de péréquation auxquels l'Ouest du pays a contribué". 

Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’ Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’

Les immigrants découvrent la recherche d’emploi ‘’à la canadienne’’

35686
SASKATOON - Afin de guider les nouveaux arrivants dans les dédales du processus de recrutement canadien, le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) a organisé un atelier de préparation à la rédaction de CV et aux entretiens d’embauche le vendredi 20 novembre...
Comment gérer la diversité culturelle au travail ? Comment gérer la diversité culturelle au travail ?

Comment gérer la diversité culturelle au travail ?

REGINA - Vendredi le 6 novembre, à Regina, dans le cadre de la Semaine nationale de l’immigration francophone, le Réseau en immigration...
21228
La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008 La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

La Fondation fransaskoise loin de la crise de 2008

Fortement touchée par la chute des marchés boursiers et la crise mondiale de 2008, la Fondation fransaskoise (FF) voit...
28431
Le CCS repense son identité et devient le CÉCS Le CCS repense son identité et devient le CÉCS

Le CCS repense son identité et devient le CÉCS

Depuis le samedi 17 octobre 2015, le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan est officiellement devenu Conseil économique et...
28076
7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015 7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015

7Shifts lauréate du prix BRAVO entreprises 2015

REGINA - Journée faste, le samedi 17 octobre 2015, pour le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan. Le CCS est officiellement devenu le...
29374

Subway débarque à Gravelbourg

GRAVELBOURG - Un restaurant Subway vient d’être inauguré à Gravelbourg. L’arrivée de la chaîne de restauration rapide américaine n’est pas passée inaperçue en ville et pourrait apporter du dynamisme à la localité.

RSS
First45679111213Last
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345679Last

Actualité économique

Alexandra Drame (EV)

Marie-Diane Clarke, professeure de français à l’Université de la Saskatchewan

Marie-Diane Clarke

Marie-Diane Clarke

Mme Clarke, enseignante à l'Université de la Saskatchewan, entourée par ses étudiants.
Photo: Alexandra Drame (2015)
Marie-Diane Clarke a deux domaines de prédilection : la langue française et le théâtre. Parce que la pratique de la langue ne doit pas se limiter à lire des règles de grammaire et des tables de conjugaison, elle aime allier ses deux passions au service de ses élèves afin de les intégrer dans la communauté fransaskoise. Rencontre avec une prof pas comme les autres pour qui université rime avec communauté!

Mme Clarke arrive en Saskatchewan en 1992. Loin de sa France natale, elle recherche alors un ancrage, de nouveaux repères. Et c’est dans la communauté fransaskoise qu’elle se trouvera une famille d’adoption. Son implication communautaire influera d’ailleurs sur son travail : ses cours de littérature, qui traitaient des grands classiques français, portent désormais sur la littérature fransaskoise. Comme elle le dit si bien : “Les petites littératures restent petites si elles ne sont pas institutionnalisées. Moi qui ai été accueillie ici, je dois rendre à ma culture d’accueil. C’est mon mandat !”

Le théâtre : un outil pédagogique

Membre de la troupe de théâtre universitaire Unithéâtre depuis 22 ans, elle a produit des dizaines de pièces et met souvent en scène ses étudiants, afin de les aider à pratiquer la langue de Molière et prendre confiance face au public. Recherche, production, mise en scène ou adaptation, elle est aussi à l’aise derrière le rideau que sur les planches. Mais sortir des cadres établis n’est pas toujours tâche aisée. “Nous sommes une petite équipe et contrairement à un établissement comme l’Institut Français par exemple, nous n’avons pas de services administratifs ou de secrétariat pour nous aider. Produire des pièces de théâtre, cela demande beaucoup de travail : réserver les salles, créer les costumes, adapter les textes et surtout il faut beaucoup répéter. Les étudiants ont besoin de coaching pour leur jeu d’acteur mais également pour leur prononciation et leur maîtrise de la langue française. Nous voulons vraiment qu’ils soient à l’aise sur scène. Nous répétons en classe mais aussi certaines fins de semaine, d’octobre à mars, puis nous présentons un spectacle de variétés chaque année. On apprend beaucoup quand on joue, lit, mémorise et chante dans une seconde langue.” 

Francophones et francophiles, même combat

Membre de nombreuses associations et de conseils d’administration, Marie-Diane Clarke a très à cœur l’inclusion des jeunes dans la communauté. “J’ai transmis à ma fille le français, la grammaire, le vocabulaire etc… mais je ne lui ai pas donné la fransaskoisie. On a un grand défi dans notre province: nous sommes peu nombreux, et il y a seulement deux universités. On perd nos enfants car on ne peut pas les forcer à rester. Je dois avouer que j’ai une perspective très inclusive de la communauté. Parmi les élèves, je ne sépare pas les Fransaskois et les francophiles. Nous avons des étudiants d’immersion qui parlent le français couramment et qui sont capables de belles recherches et de récolter des prix en français. Je remarque que parfois on fait une distinction et cela me surprend à chaque fois. Il y a des associations qui s’intéressent à savoir principalement combien on a de Fransaskois de souche, d’autres qui ne s’intéressent qu’aux étudiants de français de base. J’estime que dans un milieu francophone minoritaire, surtout à notre époque de globalisation, on devrait embrasser tous ceux qui veulent apprendre le français car parmi eux il y aura des anglophones qui joueront un rôle très important dans la francophonie. Pour moi, un Fransaskois, c’est toute personne qui désire s’intégrer et apporter quelque chose à la fransaskoisie. Je suis époustouflée par les gens qui ont une passion pour le français et qui contaminent les autres !

Quand je produis une pièce en français, j’essaye de rejoindre non seulement les étudiants et  les membres de l’université mais aussi un public plus large en invitant les écoles d’immersion, en faisant participer les élèves au Cabaret au Relais, ou en leur faisant faire des présentations lors des rencontres de l’Association francophone pour le savoir (ACFAS). Mon but c‘est toujours de faire découvrir à mes étudiants que la communauté francophone se vit au quotidien et j’essaye de les faire évoluer dans un milieu professionnel ou artistique en français. Plusieurs de nos anciens étudiants travaillent maintenant dans des organismes francophones, ou encore à Radio-Canada ou à la Troupe du Jour. L’implication des étudiants m’a donné l’idée de faire des activités autour du théâtre et c’est aussi ce qui me motive à continuer à le faire aujourd’hui.” 

 

Print
31834

Alexandra Drame (EV)Alexandra Drame (EV)

Other posts by Alexandra Drame (EV)
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy StatementCopyright 2014 par L'Eau vive
Back To Top