Nouveau système d'abonnement Fonds l'Eau vive banniere
Close
Tourisme Saskatchewan travaille à mieux accueillir les francophones qui... Tourisme Saskatchewan travaille à mieux accueillir les francophones qui...

Tourisme Saskatchewan travaille à mieux accueillir les francophones qui...

Le Collège Mathieu offrira de la formation en hotellerie et restauration

27831

Notre belle province grandit, et si nous ne sommes pas encore assaillis par des hordes de touristes comme aux chutes du Niagara ou dans les rues du Vieux Montréal, de plus en plus de visiteurs viennent découvrir les trésors cachés de la Saskatchewan.

Immigration économique Immigration économique

Immigration économique

Édition spéciale du Bulletin du RDÉE Canada

28230
Le dernier bulletin L’action économique du Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) offre une éditions spéciale sur l’Immigration économique, Ce numéro dresse, entre autres, le portrait des secteurs émergents des...
Lauriers de la PME 2014 Lauriers de la PME 2014

Lauriers de la PME 2014

Le Réseau de développement économique et d’employabilité Canada (RDÉE Canada) annonce le retour...
26025
Un nouveau site Web pour le CCS! Un nouveau site Web pour le CCS!

Un nouveau site Web pour le CCS!

C’est ce jeudi 1er mai 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) lance son nouveau site Web. En effet, les...
32482
Financement Patrimoine canadien 2014-15 Financement Patrimoine canadien 2014-15

Financement Patrimoine canadien 2014-15

À l’heure où s’écrivent ces lignes, seule La Troupe du Jour (LTDJ) a obtenu la confirmation de son financement...
27586
Grand rassemblement de l’éducation en français Grand rassemblement de l’éducation en français

Grand rassemblement de l’éducation en français

Faire de la francophonie un levier puissant dans l’économie canadienne a été le grand sujet de discussion du 3e Grand...
20785

Prix BRAVO bénévoles

Le Conseil de la coopération de la Saskatchewan (CCS) lance la 4e édition du prix BRAVO bénévoles. Les candidatures peuvent être soumises jusqu’au 30 avril.

Atelier sur la littératie financière

Samedi dernier, le 22 mars, s’est tenu au Carrefour Horizons, de 13 h 30 à 16 h 30, un atelier gratuit, intitulé Littératie financière, animé par Madame Rita Denis et offert par le Collège Mathieu.

RSS
First7891011121315
Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan

Le CCS sur Facebook

Nouvelles du CÉCS

2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche de deux Conseillers/Conseillères en développement économique (CDÉ). Date de clôture : 17 décembre 2021 Plus de détails The post 2 postes à combler : Conseillers.ères en développement économique appeared first on CÉCS.
Monday, November 15, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/

Poste à combler : Conseiller.ère en emploi

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un conseiller(ère) en emploi).  DÉTAILS The post Poste à combler : Conseiller.ère en emploi appeared first on CÉCS.

Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail

Le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS) est à la recherche d’un Coordonnateur/Coordonnatrice du programme Jeunesse Canada au Travail dans les deux langues officielles (JCTDLO). DÉTAILS The post Offre d’emploi : Coordonnateur.trice du programme Jeunesse Canada au Travail appeared first on CÉCS.
Thursday, September 30, 2021/Author: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/
RSS
12345678910Last

Actualité économique

Jeunesse et francophonie : une volonté d’avancer main dans la main
Marine Ernoult – Francopresse

Jeunesse et francophonie : une volonté d’avancer main dans la main

Les organisations porte-parole de la francophonie canadienne veulent inclure davantage les jeunes, y compris les élèves d’immersion, encore trop souvent exclus. Elles sont prêtes à adapter leur fonctionnement et à revoir leurs priorités pour faire une place à toute la diversité de la nouvelle génération.

« Les organismes communautaires nous veulent, mais ils ne savent pas comment favoriser notre implication, comment nous attirer et nous retenir », témoigne le Fransaskois Louis-Pascal Guérette DeVink, scolarisé en 12e année à Saskatoon.

Pour faire le pont entre les jeunes d’expression française et le réseau associatif, la Fédération des communautés francophones et acadienne du Canada (FCFA), en partenariat avec la Fédération de la jeunesse canadienne-française (FJCF), a organisé les 28 et 29 novembre un Forum des leaders consacré à l’engagement jeunesse.

Près de 40 organisations et 28 jeunes d’expression française de tout le pays y ont participé, dont le président de l’Association jeunesse fransaskoise (AJF), Nathanael Charbonneau.

« On doit développer de nouvelles stratégies pour que les jeunes se reconnaissent et s’engagent dans nos réseaux », insiste le coordonnateur de l’événement et directeur des communications de la FCFA, Serge Quinty.

À ses yeux, la définition des « enjeux francophones » doit évoluer : « Il ne s’agit pas juste de parler de la défense du français, mais aussi de justice sociale, de changement climatique en français. »

« On doit travailler à mieux cibler nos activités pour répondre plus adéquatement aux besoins des jeunes », abonde dans le même sens la directrice générale de Canadian Parents for French, Nicole Thibault.

Le président de la FJCF, Simon Thériault, appelle les organismes communautaires à adapter leur fonctionnement afin de faciliter la participation de la nouvelle génération. Les organisations souffrent par ailleurs d’un manque de visibilité au sein de la jeunesse.

« Quand ils quittent leur regroupement jeunesse, beaucoup de jeunes se sentent perdus et ne savent pas où aller ni comment s’impliquer, car ils connaissent mal les autres structures de la francophonie », confirme le président de Jeunesse acadienne et francophone de l’Île-du-Prince-Édouard (JAFLIPE), Hayden Cotton.

Pour éviter de les perdre et assurer une meilleure transition, la FCFA et la FJCF travaillent sur un projet commun, dont l’objectif est de créer des passerelles plus structurées entre le réseau jeunesse et le reste des organismes porte-parole de la francophonie. Des possibilités de jumelage et de tutorat sont notamment envisagées.

Sortir de sa bulle

« On doit changer d’approche et se mettre sur le chemin des jeunes. Il ne faut plus attendre qu’ils viennent à nous, mais s’engager auprès d’eux, s’adapter à leur réalité », estime Serge Quinty.

L’ouverture doit également se faire à l’égard des élèves d’immersion selon le directeur des affaires publiques et politiques de Canadian Parents for French, Ahdithya Visweswaran.

Durant sa scolarité entre le Manitoba et l’Alberta, la communauté francophone ne l’a pas toujours accueilli à bras ouverts. Ce dernier évoque des remarques acerbes : « Toi, t’as l’accent de l’immersion, tu dilues la francophonie. »

« En tant que personne immigrante, racisée, riche de plusieurs identités, je ne me sentais pas à ma place dans la francophonie, je n’avais pas de sentiment d’appartenance », confie Ahdithya Visweswaran.

Il salue à cet égard la volonté d’intégration des responsables communautaires présents au Forum des leaders : « Je me suis senti validé dans mon identité comme jeune bilingue, une nouvelle ère semble s’ouvrir. »

Sortir du clivage

Nicole Thibault appelle de son côté à briser la ligne de démarcation entre les systèmes scolaires francophone et anglophone, « qui ne définissent plus les jeunes d’aujourd’hui ».

« Les jeunes sont plus ouverts à passer d’un côté à l’autre, avec des parcours beaucoup plus mixtes, à cheval entre l’immersion et les écoles francophones », assure la directrice de Canadian Parents for French.

À ce titre, elle souhaite inciter davantage les élèves d’immersion à participer aux activités des groupes de jeunes francophones.

Le Fransaskois Louis-Pascal Guérette DeVink songe, lui, à organiser des tournées de promotion dans les écoles d’immersion pour faire connaître son réseau jeunesse.

« Les jeunes d’immersion ne savent pas où sont les lieux de vie en français, il faut leur dire qu’il existe des façons de continuer dans la francophonie, en dehors de l’éducation », soutient Jack Bailey.

À Ottawa, Ahdithya Visweswaran espère que ce forum n’est qu’un début, « la première étape vers une plus grande inclusion des jeunes de tous les horizons et de toutes les diversités ».

Print
551

Marine Ernoult – FrancopresseGhita Hanane

Other posts by Marine Ernoult – Francopresse
Contact author
Comments are only visible to subscribers.

Contact author

x
Terms Of UsePrivacy Statement© Copyright 2024 Journal L'Eau Vive. Tous les droits sont réservés.
Back To Top