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L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu L’après-pétrole dans l'Ouest canadien: entre déni et peur de l’inconnu Impact sur les francophones Thursday, August 27, 2015 23359 « Le pétrole nous a donné une période de croissance économique mais il n’en reste rien, soutient la professeure retraitée de l’Université de Calgary, Dominique Perron. Les perceptions traditionnelles de l’économie ont à peu près trahi les Canadiens. Le...
Le CCS attend plus de justice avec les anglophones Le CCS attend plus de justice avec les anglophones REGINA - Le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan espère que le pouvoir issu des prochaines élections, épaulera... Thursday, August 20, 2015 24422
Le français, un atout de taille en affaires Le français, un atout de taille en affaires Le Réseau de développement économique et d’employabilité (RDÉE) Canada a profité de la tenue de... Friday, June 26, 2015 18232
Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan Le CCS devient le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan REGINA - Les années se suivent mais ne se ressemblent pas pour l'association fransaskoise qui s'occupe d'économie, le Conseil de la... Thursday, June 18, 2015 28869
Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg Essencerie automatisée: inauguration officielle à Gravelbourg GRAVELBOURG - La Coopérative régionale Southland d’Assiniboia a inauguré officiellement une nouvelle essencerie... Thursday, June 18, 2015 24691
Économie et francophonie Économie et francophonie Le Conseil de la coopération a changé de nom pour devenir le Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan. Ce... Thursday, June 18, 2015 30754
La presse doit se réinventer La presse doit se réinventer TORONTO - Les journaux régionaux sont au coeur d'une révolution sans précédent et ils doivent innover pour demeurer... Tuesday, June 16, 2015 22130
Tourisme francophone en milieu minoritaire Friday, June 12, 2015 Tourisme francophone en milieu minoritaire Mais le tourisme de proximité n’est pas adapté aux dimensions du Canada. Visiter les communautés francophones reste néanmoins un marché en plein essor.
Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg Wednesday, May 20, 2015 Le français, langue de travail au World Trade Centre Winnipeg WINNIPEG - Fin avril 2015, les 300 membres de l’Association internationale des WTC ont élu Mariette Mulaire à leur Conseil d’administration.
Dominique Liboiron / Tuesday, October 24, 2023 / Categories: Société, Voyages, Chroniques, Aventure et plein air Un demi-million de kilomètres parcourus J’attendais ce moment depuis des années. En 2016, je m’étais donné le but de parcourir 500 000 km avec mon camion. Le moment tant attendu est finalement arrivé. J’ai acheté ma 1995 Ford Ranger à mon oncle Gerry en 2006 et le camion avait déjà presque 200 000 km au compteur (environ 125 000 miles). J’espérais que le véhicule était encore bon pour un autre 100 000 km. Jamais je n’aurais deviné qu’il dépasserait les 500 000 km (310 000 miles). Or, c’est ce qu’il s’est passé il y a quelques semaines. Une longue aventure Un demi-million de kilomètres, c’est la distance de la Terre à la lune, plus trois autres tours de la Terre. Les 10 000 derniers kilomètres étaient stressants par moments. Je conduisais avec grande précaution pour éviter à tout prix un accident. L’odomètre affiche 500 000 km. Photo : Dominique Liboiron Quand l’odomètre a affiché 499 997 km, un chevreuil s’est avancé sur l’autoroute devant moi. Angoissé, j’ai vite freiné et, pour les trois derniers kilomètres, j’ai roulé lentement. Par chance, il y avait un chemin de gravier là où mon Ranger a atteint les 500 000 km. J’ai tourné là afin de prendre des photos. Je me sentais fier d’avoir atteint mon but, d’autant plus qu’il s’agissait d’un projet de longue durée. Ménager sa monture En cours de route, je n’ai jamais eu à réparer le moteur de 2,3 litres ni la transmission. Par contre, j’ai changé certaines pièces ici et là, y compris l’alternateur qui avait lâché après un stationnement. J’ai posé trois radiateurs, deux pompes à essence et le démarreur à deux reprises. Avant de le changer la dernière fois, j’ai dû me faufiler sous mon camion et le retirer à l’aide d’un tournevis pour lier les deux bornes du démarreur. Cela a causé un éclat de flammèches en direction de ma face et, pour dire la franche vérité, j’ai eu peur. Une fois rendu au parc national d’Elk Island, près d’Edmonton, j’ai eu à le démarrer avec un tournevis lorsqu’il y avait des bisons en rut près de mon camion. Ça aussi, c’était inquiétant. J’ai équipé mon camion pour l’aventure. Étant donné que j’aime explorer des endroits éloignés et peu fréquentés, je ne peux pas me fier à d’autres personnes pour m’aider si je tombe en panne ou si je suis mal pris. Mon père et moi avons construit un coffre en bois que je garde dans la boîte du camion et dans lequel je mets des outils. L’hiver, j’y place une chaîne pour tirer les véhicules pris dans la neige. Je garde aussi avec moi un sac de litière pour chat. Oui, la litière ne gèle pas en bloc comme le sable et offre une bonne traction lorsque nous sommes pris sur la glace ! En cas de neiges profondes, j’ai des chaînes pour mes roues. Mon camion atteindra-t-il les 600 000 km ? À suivre… Print 3644 Dominique LiboironDominique Liboiron Other posts by Dominique Liboiron Contact author Comments are only visible to subscribers.