Mot du directeur génal du Conseil des écoles fransaskoises, Ronald Ajavo, à l'occasion du début de l'annéeé 2021.
En 1969, Richard Dupas n'avait que 12 ans lorsque le journaliste et animateur Henri Bergeron de Radio-Canada l'a interviewé à la télévision au sujet des chances de survie du français à Gravelbourg.
Originaire du Vietnam, la poétesse a élu domicile au Canada il y a près de deux décennies et vit maintenant en Saskatchewan depuis 2011. Après Au gré de l’amour et Voyage du cœur, Thuy Nguyen poursuit sur sa lancée poétique avec Un tissu de bonheur
Le président des États-Unis, Joe Biden, a annulé le permis de construction et d’opération fédéral du projet de pipeline Keystone XL. Qu'en penses Justin Trudeau?
L’hiver est synonyme pour beaucoup de raquettes, patins à glace et ski. En dépit de la COVID-19, les Saskatchewanais peuvent tout de même prendre le temps d'explorer des sports d'hivers.
La Troupe du Jour a lancé sa saison 2020-2021 en décembre avec la pièce La vie après le hockey, une traduction par Michel Garneau de la pièce canadienne Life After Hockey du dramaturge Kenneth Brown
L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :
Le chef conservateur Erin O’Toole a expulsé le député de Hastings—Lennox et Addington, Derek Sloan, du caucus du Parti conservateur du Canada
Quarante-quatre pour cent des francophones seraient mal à l’aise d’utiliser le français au travail, révèle un sondage du Commissariat aux langues officielles auquel ont répondu plus de 10 000 fonctionnaires fédéraux. Des données qui ne surprennent pas certains experts qui rappellent que le phénomène de l'insécurité linguistique est documenté depuis de nombreuses années.
La langue anglaise permet aux personnes non-binaires d’utiliser un terme parapluie pour définir leur identité: they/them. En français, les pronoms neutres et inclusifs comme iels, saon, celleux tardent à s’implanter dans la culture populaire. Résultat : des francophones trans et non-binaires sont plusieurs à se tourner vers un mode de vie anglais.
Le nouveau balado Les Francos oublié.e.s est né de l’amitié entre deux francophones canadiens. Janie Moyen et Ahdithya Visweswaran se sont unis pour créer un espace de discussion sur les identités sous-représentées de la jeunesse francophone canadienne.
Les services de santé en français en Saskatchewan, en Alberta et en Colombie-Britannique sont à peu près inexistants, en raison de l’absence d’obligations juridiques. Il appartient aux réseaux de santé en français de ces trois provinces de mettre en œuvre des actions concrètes pour préserver la santé mentale des populations francophones.
La moitié des communautés francophones accueillantes au Canada se situe dans l’Ouest et les Territoires.
Survol de l'actualité fransaskoise durant l'année 2020.
Des cratères gigantesques allant de plus de 50 mètres de profondeur semblent s’enfouir sous terre. Les images sont impressionnantes et les explications peu rassurantes.
Supposément, les plus vieux outils en pierre datent de 13 000 ans, soit autour de l’arrivée des premiers humains. Mais la science démontre aujourd’hui que l’Amérique avait déjà été peuplée au moins une dizaine de milliers d’années plus tôt.
Les trois thèmes du racisme, de la discrimination et du cyberharcèlement ont pris une place prépondérante lors de la Table des élus du 19 décembre.
Galerie de photos présentant l'esprit des Fêtes dans les écoles fransaskoises
Promouvoir l’entraide pour développer une communauté qui se serre les coudes, c’est ce que tente d’accomplir le Service d’accueil et d’inclusion francophone de la Saskatchewan (SAIF-SK) avec le lancement de la Place fransaskoise le 30 novembre 2020.
Le Conseil culturel fransaskois (CCF) a organisé le 17 décembre une formation gratuite intitulée Mon balado 101, animée par l’auteure-compositrice-interprète fransaskoise Anique Granger.
Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours international Ma minute francophone.
Si le Canada est aujourd’hui multiculturel, inclusif et dévoué à la protection des minorités, la colonisation et le génocide des Autochtones font aussi partie de son histoire.
En cette fin d’année, L’Eau vive relate comment cinq artistes se sont adaptés à la pandémie, entre déceptions et créations.
La pandémie n'est pas la seule source de division dans la société canadienne. Les causes légitimes de mécontentement et d'inquiétude sont oubliées, noyées sous des avalanches de revendications de personnes ou de groupes qui s'estiment offensés. Ce que Caroline Fourest appelle une « peste de la sensibilité » dans son livre Génération offensée (Grasset, 2020).
Le Réseau Santé en français de la Saskatchewan a annoncé, le 1er décembre, l’activation de la ligne téléphonique TAO Tel-Aide en Saskatchewan, une assistance d’écoute en français disponible gratuitement, 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7.
Le Théâtre Oskana de Regina présentait, du 15 au 18 mars dernier, Un tramway nommé Désir, de l’auteur américain Tennessee Williams.
Compte rendu et photos des célébrations de la Saint-Jean-Baptiste à Saskatoon, Bellegarde, Gravelbourg et Zenon Park.