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C’est rare qu’on a envie de parler de la solitude et pour cause. En fait, souvent quand on le fait, comme la maladie mentale, on la décrit en métaphore. On en fait une chimère pour illustrer à nos interlocuteurs tout le malaise qu’elle impose.
Bien des Canadiens ont lutté contre l’érosion du service postal. Mais les transformations ont continué, malgré le moratoire sur la clôture de bureaux.
Dans l’histoire de la musique, le chef d’orchestre n'apparaît que tardivement. Les orchestres jusqu’à l’époque de Mozart étant de taille moyenne et comptant environ 30 musiciens, la notion de chef d’orchestre n’était pas encore apparue.
La chasse fait partie de la culture fransaskoise. Pour assurer la continuité du sport, il faut que les jeunes s’y intéressent. Mais initier un néophyte à la chasse n’assure pas tout simplement la survie des traditions d’un peuple. Il s’agit également d’un moyen pour les nouveaux chasseurs d’apprendre aux vétérans du sport comment s’améliorer.
De nombreux spécialistes sont d’avis que l’année 2016 est en bonne position pour devenir l’année la plus chaude jamais enregistrée, dépassant le record précédent établi en 2015. Ces tendances à long terme ont des conséquences sur les environnements nordiques, en particulier sur le pergélisol.
La classe de la 3e année de l'École Valois a conçu une affiche pour la pièce de théâtre Par amitié. Selon leur enseignante, madame Nathalie Beaulieu, "la classe a eu beaucoup de plaisir à concevoir des affiches pour la pièce de théâtre. Cela correspondait à mon programme d'étude de faire une affiche en utilisant le titre d'une pièce où d'un livre. Quel beau travail ont fait les élèves."
Le service au public offert par le gouvernement fédéral changera son visage linguistique en 2021. La ministre du Patrimoine, Mélanie Joly, et le président du Conseil du Trésor, Scott Brison, en ont fait l’annonce récemment. Il s’agira de mieux adapter l’offre à la demande.
GRAVELBOURG - L’année tire à sa fin à Gravelbourg et voici un bref aperçu des dernières activités avant de prendre un arrêt avant les Fêtes.
Que retiendra-t-on de 2016? Probablement deux événements qui sont survenus à la fin de l’année: l’élection de M. Donald Trump lors de l’élection présidentielle américaine et le décès de M. Fidel Castro à Cuba. Grâce au développement des technologies de communication, on aura pu vivre ces événements à la minute près.
Pour souligner le 150e anniversaire du Canada, le gouvernement fédéral a mis sur pied un programme pour financer des projets communautaires au pays. En Saskatchewan, deux projets d’organismes fransaskois ont été retenus.
GRAVELBOURG - Vous sentez-vous seul? Vous n’avez jamais rencontré l’âme sœur? Ou toutes vos tentatives non rien donné? Vous avez un ami un peu naïf et solitaire que vous pourriez manipuler à votre goût? Et un soi-disant neveu « info-techno »? Alors pourquoi ne pas faire du « online dating »!
C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.
Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.
Entrevue avec Donald Michaud, le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).
Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.
On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.
C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.
La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.
Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »
Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.
À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF.
Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des motifs encore flous, lors d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel à un conciliateur puisque les négociations qu’ils ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.
Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté.
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- jeudi 2 mai 2024