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Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Le répertoire FRÉSK se met à la page du numérique

Depuis le 6 janvier, FRÉSK, le répertoire de ressources éducatives en français pour la Saskatchewan, a délaisser la version papier du catalogue au profit d’un site web.

25 janvier 2021/Auteur: Lucas Pilleri/Nombre de vues (14465)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
Balises: FRÉSK
Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Étudier en pandémie : les étudiants de La Cité se confient

Le début du semestre d’hiver est l’occasion de revenir sur l'expérience étudiante inédite à la Cité universitaire francophone de Regina depuis le début de la pandémie.

24 janvier 2021/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (22894)/Commentaires ()/
Balises: COVID-19
Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

Une fenêtre s’ouvre entre les ainés et l’école Boréale à Ponteix

L’école Boréale a ainsi pu donner un nouveau souffle à sa collaboration communautaire avec le Foyer Saint-Joseph de Ponteix :

 

21 janvier 2021/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (17990)/Commentaires ()/
Balises:
Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, jeune Fransaskoise passionnée, lauréate d’un concours international

Addison Shyluk, élève en 11e année à l’École canadienne-française de Saskatoon, Pavillon Gustave-Dubois, vient de remporter le concours international Ma minute francophone.

18 décembre 2020/Auteur: Emmanuel Masson/Nombre de vues (15730)/Commentaires ()/
Balises:
Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Infrastructures scolaires à Saskatoon : un sondage confirme les besoins

Alors que Regina a obtenu l’aval du gouvernement pour le financement de nouveaux espaces scolaires, Saskatoon et Prince Albert attendent toujours. Le Comité vision des espaces scolaires francophones à Saskatoon, créé en juin 2020, a consulté la communauté pour identifier les besoins dans la ville des ponts.

11 décembre 2020/Auteur: Arthur Béague/Nombre de vues (19164)/Commentaires ()/
Balises:
Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

Ma thèse en 180 secondes : trois Fransaskois dans la course

L’Association francophone pour le savoir propose à des étudiants, via son concours Ma thèse en 180 secondes, de présenter leur sujet de recherche en termes simples à un auditoire. Le défi : exposer de façon claire, concise et convaincante un projet d’envergure en trois minutes.

14 novembre 2020/Auteur: Leslie Diaz/Nombre de vues (15249)/Commentaires ()/
Balises:
Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Alpha Barry réélu pour un deuxième mandat

Entretien avec Alpha Barry, été réélu au poste de conseiller scolaire pour la région scolaire n°3 incluant Regina et Moose Jaw. Celui qui est aussi président du Conseil scolaire fransaskois l’a emporté avec 70 % des voix face à son adversaire Siriki Diabagaté.

11 novembre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (15497)/Commentaires ()/
Balises: Alpha Barry
Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Liberté académique : la parole aux universités de l’Ouest

Les établissements universitaires de l’Ouest du pays ont des outils en place pour assurer la liberté académique de leurs professeurs tout en assurant un traitement rigoureux des plaintes des étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Initiative de journalisme local – APF - Ouest)/Nombre de vues (17043)/Commentaires ()/
Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Les professeurs de moins en moins protégés dans leur liberté universitaire

Selon un nouveau sondage Léger, près de la moitié des Canadiens sont au courant de la récente controverse à l’Université d’Ottawa, et plus de la moitié ont tendance à soutenir la professeure ayant prononcé le «mot en n» dans le cadre de son cours Art and Gender plutôt que les étudiants.

7 novembre 2020/Auteur: Marie-Paule Berthiaume (Francopresse)/Nombre de vues (14148)/Commentaires ()/
Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

Campus Saint-Jean : vers une intervention fédérale?

La ministre Mélanie Joly invite le gouvernement de l’Alberta à annuler sa décision de couper le financement du campus Saint-Jean de l’Université de l’Alberta, dans une lettre adressée au premier ministre de la province, Jason Kenney.

1 novembre 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (17116)/Commentaires ()/
Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

Débats corsés entre les candidats au poste de conseiller scolaire

C'est un premier débat radiophonique parfois houleux qui a eu lieu le 20 octobre entre Alpha Barry et Siriki Diabagaté, les deux prétendants au poste de conseiller scolaire de Regina.

23 octobre 2020/Auteur: Marie-Lou Bernatchez/Nombre de vues (13431)/Commentaires ()/
Balises:
Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

Professeure suspendue à l’Ud'O : «deux principes à réconcilier», selon le recteur

LE DROIT (Ontario) – Le débat autour de la suspension d’une professeure de l’Université d’Ottawa pour avoir utilisé le mot «n**ger» continue de faire rage.

21 octobre 2020/Auteur: Daniel LeBlanc e)t Julien Paquette (Le Droit)/Nombre de vues (15554)/Commentaires ()/
Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Course électorale au CSF: continuité ou changement ?

Les parents fransaskois de Regina et Saskatoon seront appelés aux urnes le 28 octobre pour choisir leur conseiller scolaire dans le cadre des élections générales du Conseil scolaire fransaskois.

15 octobre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (16795)/Commentaires ()/
Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Les écoles fransaskoises réussissent leur rentrée malgré la pandémie

Rentrée scolaire

La rentrée scolaire fransaskoise a eu lieu du 8 au 11 septembre partout dans la province. L’eau vive s’est entretenue avec quelques parents pour faire le bilan d’une semaine riche en émotions.

17 septembre 2020/Auteur: Estelle Bonetto/Nombre de vues (16185)/Commentaires ()/
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Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

Des pistes de réflexion pour financer l’éducation postsecondaire francophone

La récente victoire du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique (CSFCB) en Cour suprême laisse présager une possible expansion de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.

28 août 2020/Auteur: Bruno Cournoyer Paquin (Francopresse)/Nombre de vues (15876)/Commentaires ()/
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Alexis Normand à Paris pour faire lumière sur la réalité fransaskoise

Alexis Normand à Paris pour faire lumière sur la réalité fransaskoise

Auteur: Leanne Treamblay/24 octobre 2024/Catégories: Arts et culture, Musique

En octobre, l’auteure-compositrice-interprète Alexis Normand était de passage à Paris à l’occasion du Festival de la francophonie Refaire le monde. À travers le partage de sa musique et la projection de son documentaire Assez French, la Fransaskoise a porté l’identité francophone en milieu minoritaire au cœur des échanges.

Pourquoi teniez-vous à assister à ce festival ?

C’est un événement en marge du Sommet international de la francophonie. L’idée est de réfléchir à la place de la francophonie, à comment on peut changer le monde pour le meilleur. C’est vraiment une belle façon de regarder la francophonie sous de multiples facettes.

Le Festival comprend de la musique, du théâtre, de l’art visuel et aussi des débats et des balados qui s’enregistrent en temps réel. Et il y a aussi une librairie avec des livres en français de partout dans le monde.

Vous faisiez partie d’une délégation canadienne envoyée par l’Ambassade de France au Canada. Est-ce pour cette raison que votre film Assez French a été projeté lors du festival ?

En fait, c'est le festival qui a choisi de le projeter et c’était une coïncidence que l'ambassade m’ait choisie !

C’est le Centre culturel canadien à Paris qui a organisé la projection. Ils ont coordonné une période de questions après la projection et ils m’ont aussi demandé de faire une entrevue en direct avec TV5 Monde durant le téléjournal.

Votre court métrage raconte comment votre famille exogame transmet la langue et la culture francophones en Saskatchewan. Comment les Français ont-ils reçu le film ?

Je pense que mon film a vraiment touché les gens. Quand j'ai sorti le film il y a deux ans, je savais que les thématiques parleraient beaucoup aux francophones, peu importe où on habite dans le monde. Il existe des enjeux francophones par rapport à la langue et on peut se retrouver là-dedans.

La plupart des Français ne savent même pas qu'il y a des francophones dans l'Ouest canadien. C'est pour ça que l'Ambassade française voulait envoyer une petite délégation de la francophonie canadienne au festival : pour qu’on soit vus et entendus.

Quelles questions vous ont été posées suivant la projection d’Assez French ?

Il fallait vraiment que je donne du contexte aux gens pour qu'ils comprennent pourquoi mon père est aussi assimilé. Il fallait leur faire comprendre que c'était illégal d'enseigner dans n'importe quelle autre langue que l'anglais pendant une longue période au Canada, et c'est pour ça qu’au fil du temps mon père a perdu sa langue.

C'est cette partie de l'histoire qui est peu connue par les francophones qui habitent en situation majoritaire, que ce soit en Europe ou en Afrique.

Étiez-vous inquiète de la réception du public français ?

J'ai plus peur des opinions divergentes au Canada ! [rires] Les Français, d’habitude, s’ils connaissent la francophonie canadienne, c'est quelque chose qui les intéresse et donc ils sont curieux de voir à quoi ça ressemble.

Il y a des gens qui ont des idées super claires et peut-être étroites de ce qu’est la francophonie, et l'histoire de ma famille éclate souvent ces images. L'idée pour moi derrière le film était vraiment d’élargir la conversation.

En plus de la France, vous vous êtes aussi rendue en Ontario cet automne.

J’ai visité neuf écoles francophones secondaires en situation minoritaire en deux semaines dans le nord de l’Ontario pour animer des conférences. 

Je chante, bien sûr, et je raconte aussi mon cheminement identitaire personnel, y compris mes insécurités linguistiques.

Je parle des nœuds qui ont été formés par mon malaise par rapport à mon identité francophone et à ma qualité de langue en français. J'explique comment j'ai réussi à défaire ces nœuds.

Par exemple, auparavant, j'avais tellement honte de mon accent que je ne voulais même pas parler, surtout lors de mes spectacles en français. Mais il faut comprendre que chaque accent est un tunnel qui s'ouvre sur un vécu francophone qui mérite d'être célébré. Quand j'ai compris ça, je n'avais plus honte.

Après la partie musicale, on écoute mon film Assez French. Après la projection, j'invite les élèves ainsi que les enseignants à faire part de leurs expériences personnelles par rapport à la langue et à l'identité.

Et vous êtes de retour dans les Prairies…

Oui, je suis en Alberta et en Saskatchewan pour des spectacles. J’étais à la soirée du 50e anniversaire du Conseil culturel fransaskois le 19 octobre.

Que comptez-vous faire pendant l’hiver ?

Je vais commencer à écrire mon prochain album en français !

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Ghita Hanane

Leanne Treamblay

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