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Le budget fédéral et la formation à l’emploi

Les francophones pris entre les colonnes

Les provinces, les employeurs et les sans emploi sont poussés au pied du mur.

27 février 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35949)/Commentaires ()/
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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27022)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (40003)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22759)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21979)/Commentaires ()/
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Ces femmes dans nos vies

Ces femmes dans nos vies

Auteur: Leslie Diaz/12 novembre 2022/Catégories: Arts et culture, Arts visuels

Pour Zoé Fortier, artiste visuelle de Saskatoon, pas besoin d’aller loin pour trouver l’inspiration auprès de la gent féminine. Qu’elle soit une mère, une grand-mère, une sœur, une épouse ou une amie, la femme est un modèle et chaque jour est une occasion de la célébrer.

Le 2 novembre, l’artiste aux multiples talents a profité de la programmation du Rendez-vous fransaskois pour proposer une activité artistique en ligne orientée vers la femme.

« Réaliser le portrait d’une personne permet aux gens de pouvoir faire appel à leurs souvenirs et de partager leurs émotions et ressentis face à une image qu’ils ont dans la tête. C’est ce que je voulais initier avec un atelier sur le portrait », explique Zoé Fortier.

L’activité était donc l’occasion rêvée d’en apprendre plus sur l’art du portrait psychique ou visuel. En outre, la rencontre a également offert un moment touchant et sincère aux neuf participants.

L’art du portrait

Quelle que soit l’époque historique considérée, de l’ère grecque à l’époque romaine en passant par la civilisation égyptienne, l’art du portrait a toujours fédéré à travers les âges, a rappelé l’artiste visuelle.

Le portrait atteindra son paroxysme durant la Renaissance. C’est d’ailleurs en Italie avec la famille de Médicis que le genre puisera une grande partie de son inspiration. Dans une quête de réalisme constant, c’est au cours du 19e siècle que cet art retrouve toute sa vigueur, et ce, malgré l’apparition d’un concurrent de taille : l’appareil photo.

Avec une multitude de techniques, de supports et processus, l’un des critères de choix pour qualifier une œuvre de portrait reste la ressemblance avec le modèle. L’objectif de tout artiste, dont Zoé Fortier, est que le sujet de sa création soit reconnaissable ou facile à imaginer.

Dans le cadre de l’atelier, l’un des défis majeurs pour les participants a été de parvenir à retranscrire le plus fidèlement possible la personnalité, le caractère ou encore l’apparence du modèle à travers un processus créatif bien déterminé.

Entre souvenirs et création

Le concept de l’atelier de Zoé Fortier est imaginatif et méthodique à la fois. Les participants ont tout d’abord été invités à méditer pendant une minute pour faire le vide et se concentrer sur les objectifs de l’atelier.

Ils ont par la suite été encouragés à réaliser un portrait affectif de la femme à laquelle ils pensaient « J’ai tout de suite pensé à ma sœur, commente Denis Rouleau, l’un des participants. C’est une femme incroyable et nous sommes très proches. »

La formatrice explique que le portrait affectif est une première étape qui va fortement influencer la création visuelle pour la suite du processus : « Le portrait affectif sert à poser des mots sur des souvenirs et des émotions. Les participants doivent trouver des mots pour décrire la présence de la personne, son sourire ou son rire, son regard ou encore son écoute. » Le portrait affectif est ainsi intrinsèquement lié au portrait visuel.  

Aussi découvre-t-on des récits joyeux, d’autres plus tristes, mais avant tout des femmes passionnées, fortes et dévouées. L’atelier se révèle finalement être un pont affectif entre la réalité des participants et ces femmes qui sont parfois éloignées ou défuntes. « Ma mère est toujours au pays, elle me manque beaucoup, je pense à elle tout le temps », confie Adnan Rherrass, un participant originaire du Maroc. 

La seconde étape invitait les participants à dessiner cette personne chère à leur cœur, une belle façon de figer le temps pour un instant.

 

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Leslie Diaz

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