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Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le nouveau directeur du CÉF veut une analyse de la situation

Le Conseil scolaire fransaskois (CFS) a annoncé la nomination de monsieur Donald Michaud au poste de directeur par intérim du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). 

20 février 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26899)/Commentaires ()/
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Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Des ateliers bien appréciés

C’est le samedi 1er février 2014 que le Conseil de la Coopération de la Saskatchewan (CCS) offrait son quatrième et dernier atelier pour l’année 2013 – 2014, et ce, dans le cadre de son projet « Êtes-vous business? »

20 février 2014/Auteur: Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan/Nombre de vues (39486)/Commentaires ()/
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Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Toute la province a fêté la Journée de l’Alphabétisation Familiale

Comme chaque année, le 27 janvier a été synonyme de Journée de l’Alphabétisation Familiale. 

30 janvier 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (22636)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Entrevue avec Marcel Michaud, directeur général du Collège Mathieu

Il l’affirme sans broncher, les défis que devra relever le Collège Mathieu sont énormes. De plus, la diminution du nombre d’élèves fréquentant son école l’inquiète beaucoup.

12 avril 2001/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (21872)/Commentaires ()/
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L'élection albertaine suivie avec intérêt aux États Unis

Auteur: Alexander Panetta (La Presse canadienne)/9 mai 2015/Catégories: Politique

WASHINGTON _ Les élections provinciales du Canada sont rarement suivies avec intérêt par les Américains. Or, les élections albertaines de mardi ont attiré leur attention, cette fois-ci en raison de ses conséquences sur l'un des projets d'oléoducs les plus controversés de leur histoire: Keystone XL.

Jane Kleeb, qui s'oppose à la construction de l'oléoduc, se tenait informée lors de la campagne électorale et elle s'est réjouie avec d'autres militants de l'arrivée au pouvoir des néo-démocrates après plus de quarante ans de gouvernance conservatrice.

Mme Kleeb se dit pleine d'espoir parce que ce résultat électoral pourrait signifier à l'administration Obama que la province a finalement rejeté le projet Keystone XL. Selon elle, les Albertains ont clairement "envoyé un message à leur gouvernement".

Les grands réseaux américains ont d'ailleurs analysé le résultat du scrutin en fonction de cet enjeu.

Sur le réseau MSNBC, qui penche plutôt à gauche sur l'échiquier politique, l'animateur Ed Schutz a parlé d'une "révolution politique" qui amène des mauvaises nouvelles à TransCanada puisque son projet serait menacé.

Le site internet Salon affichait quant à lui la manchette suivante: "L'Alberta a élu un groupe de socialistes qui détestent Keystone XL."

Les médias plutôt partisans du projet de construction ont aussi réagi. Le Wall Street Journal, qui se range souvent du côté de l'industrie, a publié un article où il prédisait que cette élection pourrait "amener un nouvel obstacle important" aux entreprises pétrolières, qui sont déjà durement éprouvées par la chute des prix du pétrole.

Concernant le projet Keystone XL à l'étude aux États-Unis, la première ministre élue de l'Alberta, Rachel Notley, a simplement dit privilégier que le pétrole brut soit raffiné dans la province au lieu de l'envoyer tel quel aux États-Unis. Elle est aussi en faveur du projet Énergie Est, mais elle s'est toutefois opposée à Northern Gateway de l'entreprise Enbridge pour des raisons environnementales.

Mme Notley a toutefois clairement signifié qu'elle ne se rendrait pas à Washington pour faire la promotion des projets comme l'ont fait ses prédécesseurs.

L'Alberta avait envoyé quatre représentants dans la capitale américaine pour tenter d'influencer les législateurs américains, dont l'ancien député conservateur fédéral Rob Merrifield. Un porte-parole de la province a affirmé qu'il était encore trop tôt pour déterminer ce qui allait advenir de ce changement de cap.

Un conseiller d'entreprises des deux côtés de la frontière a affirmé qu'il avait reçu plusieurs questions de ses clients. Paul Frazer a voulu les rassurer en affirmant qu'il n'y aurait pas de changements radicaux ou soudains.

"J'ai l'impression que la première ministre est très pragmatique (...) Les gens d'affaires américains à qui j'ai parlé se rendent compte qu'ils ne doivent pas paniquer ou adopter des mesures précipitamment", a-t-il expliqué en entrevue avec La Presse Canadienne. 


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Presse Canadienne

Alexander Panetta (La Presse canadienne)

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 - vendredi 15 novembre 2024