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L’Association des parents fransaskois et la petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Pour l’Association des parents fransaskois (APF), la petite enfance (de la garderie à la prématernelle) est un dossier prioritaire, car il représente l’avenir de la communauté. Investir dans la petite enfance, c’est donc investir dans notre avenir. L’APF traite ce dossier avec le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27449)/Commentaires ()/

Les groupes de jeux :Pour favoriser le développement global de l’enfant

Dossier petite enfance - Mai 2014

L’Association des parents fransaskois (APF) chapeaute plusieurs structures, telles que les Centres d’appui à la famille et à l’enfance (CAFE) et les Centres de ressources à la petite enfance (CREPE). Elle travaille avec les garderies familiales avec ou sans permis et les prématernelles du CÉF. « Plus il y a d’organismes qui s’impliquent, chacun avec ses compétences, meilleur sera l’appui », affirme Hind Ramy. 

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26433)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Le Collège Mathieu et la formation en petite enfance

Dossier petite enfance - Mai 2014

Le Collège Mathieu, institution d’éducation postsecondaire en français en Saskatchewan, offre le programme d’Éducation à la petite enfance depuis une dizaine d’années. Les personnes qui ont complété ce programme, ainsi que la majorité des étudiants actuellement admis, travaillent déjà dans le secteur. La tendance des inscriptions est à la hausse d’une année à l’autre, et ceci est l’un des indicateurs d’un besoin réel sur le marché du travail de la province.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (37704)/Commentaires ()/
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Éducatrice : Un métier à l’avenir prometteur

Dossier petite enfance - Mai 2014

Entretien avec Madame Brigitte Chassé, Agente à la petite enfance auprès du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) qui nous a partagé son opinion sur l’éducation de la petite enfance.

15 mai 2014/Auteur: Josiane Barebereho – Collège Mathieu/Nombre de vues (35536)/Commentaires ()/
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La Garderie : Là où tout commence

La Garderie : Là où tout commence

Dossier petite enfance - Mai 2014

C’est au bout de quatre ans de démarches auprès du gouvernement et grâce à l’appui de l’ensemble de la communauté fransaskoise que le centre éducatif a pu ouvrir ses portes en 1987. À l’été 1996, le Centre a emménagé dans ses nouveaux locaux au Centre scolaire communautaire de Regina.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (37645)/Commentaires ()/
Balises: Gard'Amis

La petite enfance et l'avenir : Quand les chiffres parlent d'eux-mêmes

Dossier petite enfance - Mai 2014

« Donner un degré de priorité élevé au développement de la petite enfance. Il s’agit là de l’investissement le plus rentable que nous puissions faire pour assurer notre prospérité à long terme. » (rapport L’Ontario à l’ère de la créativité)

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (26594)/Commentaires ()/
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Mais qu’est-ce qu’elles font toute la journée?

Dossier petite enfance - Mai 2014

La garderie, comme on dit... Que sait-on de ce lieu, de ce milieu dans lequel évoluent les tout-petits, de cette micro-société où ils passent souvent plus de temps que dans leur famille? Que sait-on du rôle et de la place qu’occupent les éducatrices dans la vie des enfants? 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (34408)/Commentaires ()/
Balises: Gard'Amis
L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

Le 30 avril et 1er mai dernier, des élèves de l’école Beau Soleil de Gravelbourg ont participé au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise (AJF) à Saskatoon. Cet évènement annuel, organisé en collaboration avec La Troupe du Jour (LTDJ), a plongé les participants dans le monde du théâtre en leur permettant de suivre des ateliers donnés par des spécialistes de tous les horizons, comme l’expression corporelle, l’improvisation et le jeu lors de la première journée du festival.  

15 mai 2014/Auteur: Étienne Gravel/Nombre de vues (29882)/Commentaires ()/
Balises: AJF
Destination Provence

Destination Provence

Immersion et dégustation pour dix étudiantes de l’Université de Regina

C’est en Provence, une région du sud-est de la France, que se rendront dix étudiantes et deux accompagnatrices du département de français de l’Université de Regina, du 13 au 29 mai prochains.

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (22548)/Commentaires ()/
Science et culture à l’école de Zénon Park

Science et culture à l’école de Zénon Park

Deux journées bien remplies!

Le lundi 14 avril, les élèves de l’école Notre-Dame-des-Vertus ont présenté un magnifique projet collectif. Les élèves de la maternelle à la 3e année racontent et chantent « La soupe aux pierres ». Un joli conte qui parle de débrouillardise et de partage. 

15 mai 2014/Auteur: Amy-Valérie Olivier – CÉF/Nombre de vues (24872)/Commentaires ()/
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Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Dossier petite enfance - Mai 2014

Originaire de l’Outaouais, Mathieu est un Chef cuisinier, un vrai! Pendant dix ans, il a touché à plusieurs cuisines, en commençant par la cuisine française pour laquelle il a une prédilection. À la Gard’Amis depuis mars 2013, il veille au bien-être des estomacs des petits et des grands.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (33140)/Commentaires ()/
Foire du patrimoine régionale de Regina

Foire du patrimoine régionale de Regina

Des jeunes de 18 écoles étalent leur savoir

La Foire régionale du patrimoine s’est tenue à l’Université des Premières Nations, le jeudi 1er mai. Cet évènement réunissait les 103 projets des 125 élèves (4e à 9e année) de 18 écoles des 6 commissions scolaires suivantes : le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), Prairie Valley, Regina Catholic, Regina public, South East Cornerstone et Holy Family.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (50016)/Commentaires ()/
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Une table ronde sur la petite enfance

Un service essentiel mais comment le financer?

Les programmes de la prématernelle sont aussi essentiels à la réussite des élèves qu’à la vitalité des communautés francophones en contexte minoritaire. Le défi, c’est comment en assurer leur financement à court, à moyen et à long terme. Ce sont les constats et les questionnements qui sont ressortis lors d’une table ronde sur la petite enfance, organisée par le Conseil scolaire fransaskois (CSF).

8 mai 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (31331)/Commentaires ()/
Cercle communauté-université

Cercle communauté-université

Conjuguer action et réflexion

Jeudi 1er mai de 9 h à 16 h s’est tenu un cercle université-communauté sur le thème du développement communautaire fransaskois à l’Institut français (IF) de l’Université de Regina.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (35640)/Commentaires ()/
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Nouvelle directrice à l’Institut français

Nouvelle directrice à l’Institut français

À l’heure du postsecondaire francophone

Sophie Bouffard sera la nouvelle directrice de l’Institut français (IF) à partir du 1er juillet prochain. L’Institut était dirigé depuis septembre 2012 par madame Sheila Petty, suite au non renouvellement du contrat de l’ancien directeur, Peter Dorrington.

1 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26818)/Commentaires ()/
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La FCFA dévoile son projet de loi aux partis politiques

Auteur: Anonym/21 mars 2019/Catégories: 2019, Société, Francophonie, Juridique

La Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA) du Canada a livré en personne le texte de son projet de loi sur les langues officielles aux représentants des trois grands partis politiques, mercredi 27 février. L’organisme a rendu publique sur les réseaux sociaux la rencontre du président Jean Johnson avec la ministre Mélanie Joly et deux critiques de l’opposition en matière de langues officielles.

Le choix du lobby francophone de diffuser ce moment de partage avec des politiciens d’un document confidentiel inaccessible aux communautés aurait dérangé plus d’un observateur. L’enjeu est soulevé dans un échange du 28 février sur Twitter.

La FCFA : « Ça y est, nous avons remis aux trois partis notre proposition de projet de loi pour moderniser la Loi, le premier projet complet pour transformer la Loi, de A à Z, en plus de 30 ans! »

Le politicologue Martin Normand (MN), de l’Université d’Ottawa : « C'est une stratégie comme une autre mais il me semble que la population francophone que la FCFA représente aurait dû voir le projet de loi avant ou en même temps que les élus. C'est pour elle qu'elle agit, pas pour eux. »

Le directeur général Ali Chaisson (AC), de la Société nationale de l’Acadie du Nouveau-Brunswick : « Comment veux-tu que la population francophone puisse maitriser les mille et une interprétations de notre objet d'étude! Sincèrement, je fais partie d'une gang de nerds francophones qui s'intéressent, au-delà de mes fonctions. C'est la réalité! »

« C’est l’enchainement des évènements qui me dérange »

MN : « Personnellement, je pense qu'il ne faut pas sous-estimer la population comme vous le faites. C'est regrettable que le DG d'un porte-parole se représente ainsi ceux que son organisme représente. Et cet argument ne dédouane personne d'une réflexion plus large sur la gouvernance. »

AC : « Je ne sous-estime personne. Je dis tout simplement qu'il ne faut pas miser sur le libellé d'une loi pour engager les gens dans une démarche. Il faut faire une démarche séparée qui interpelle les gens par une vulgarisation qui les touche. »

MN : « Là-dessus, je suis d'accord. C'est l'enchaînement actuel des événements qui me dérange et qui m'amène à réfléchir en termes de gouvernance et de mobilisation. »

La conférence de presse prévue pour le 28 février, annulée puis reportée au 5 mars, dévoilera le libellé de loi. Entretemps, Francopresse a obtenu confidentiellement de la documentation élaborée par la FCFA pour l’évènement, notamment des notes de breffage et un résumé de la proposition.


Un vocabulaire de « stagnation, déclin et plafonnement »

La contribution de la FCFA s’inscrit dans le processus de modernisation de la Loi annoncé en juin 2018 par le premier ministre Justin Trudeau. Le Comité permanent des langues officielles du Sénat a déjà produit trois études sur la réforme linguistique en attendant de publier un rapport final l’été prochain.

Depuis novembre, 11 mémoires sur la modernisation auraient été déposés au Comité permanent des langues officielles des Communes. La procédure législative ne débuterait toutefois pas avant 2020.

D’après l’organisme parapluie, la Loi adoptée en 1969 et remplacée en 1988 n’a jamais été pleinement respectée. « Au cours de la dernière décennie, affirme le groupe dans ses notes de breffage, la situation s’est dégradée à un tel point que des mots comme “stagnation, déclin et plafonnement” font partie du vocabulaire utilisé dans les rapports du commissaire aux langues. »

« Le document que nous présentons est clé-en-main »

La FCFA soutient qu’après 50 ans de problèmes systémiques de coordination et de responsabilisation, « force est de conclure que l’enjeu est structurel et que la Loi sous sa forme actuelle est le principal obstacle à sa propre mise en œuvre ».

La volonté d’en finir avec les difficultés récurrentes pourrait faire consensus. Au Parlement, note l’organisme, un nombre d’élus se serait montré réceptif à une orientation fournie par les communautés francophones.

« Le document que nous présentons aujourd’hui est clé-en-main, signale la FCFA, et pourrait être déposé en Chambre tel quel comme projet de loi du gouvernement. Nous serions bien sûr très heureux d’un tel résultat. À tout le moins, la FCFA s’attend à ce que ce projet de loi alimente les débats parlementaires, les consultations de la ministre Joly et bien sûr les plateformes des partis. »

Ottawa n’accordera pas de priorité au libellé de la FCFA, selon l’attaché de presse de la ministre Joly. « Le gouvernement tiendra compte des exercices en cours comme les audiences et les rapports des comités du Sénat et de la Chambre des Communes. Le projet de loi de la FCFA sera examiné avec tous les autres mémoires et témoignages reçus. »

Jeremy Ghio précise certaines modalités de l’examen national. « Les citoyens et les organismes seront invités à participer à des forums et des tables-rondes lors desquels ils auront l’occasion de partager leurs points de vue. »


Résumé de la proposition de Projet de loi

  • Confier la mise en œuvre à une agence centrale.
    • Désigner une agence centrale chargée de la responsabilité de coordonner la mise en œuvre de la Loi sur les langues officielles, et conférer à cette institution les pouvoirs nécessaires pour jouer ce rôle. Une Loi modernisée devrait conférer le rôle de coordination et de mise en œuvre au Conseil du Trésor, avec l’appui d’un ministre d’État et d’un secrétariat des langues officielles.
  • Définir un droit de participation des minorités de langue officielle. Une Loi sur les langues officielles modernisée devrait consacrer le principe du « par et pour » les communautés de langue officielle en situation minoritaire et les habiliter afin qu’elles puissent participer à la mise en œuvre de la Loi. Plus spécifiquement, une Loi modernisée devrait :
    • Préciser les obligations de consultation des institutions fédérales et un devoir de tenir compte du fruit de ces consultations.
    • Créer un conseil consultatif qui encadrera la collaboration entre le gouvernement fédéral et les représentantes et représentants reconnus des communautés pour la planification et la mise en œuvre des politiques de langues officielles.
  • Moderniser les mécanismes de surveillance et d’imputabilité.
    • Créer un tribunal administratif responsable d’entendre les doléances au sujet de la mise en œuvre de la Loi sur les langues officielles et d’imposer des ordonnances exécutoires ou des sanctions aux institutions fédérales.
    • Redéfinir le rôle et les pouvoirs du commissaire aux langues officielles afin qu’il puisse remplir pleinement son rôle de protecteur du citoyen et de promoteur des langues officielles.
  • Élargir la portée des droits et obligations.
    • Renforcer le préambule et la clause d’objet;
    • Inclure des clauses linguistiques exécutoires dans les ententes fédérales-provinciales-territoriales;
    • Lever l’exemption de bilinguisme qui s’applique présentement aux juges de la Cour suprême du Canada;
    • Enchâsser l’existence du Programme de contestation judiciaire;
    • Offrir tous les services du gouvernement fédéral dans les deux langues officielles, en tenant compte non seulement du nombre, mais aussi de critères de vitalité des communautés de langue officielle;
    • Créer, à l’échelle nationale, un environnement de travail au sein de l’administration publique fédérale où chacun peut travailler dans la langue officielle de son choix ainsi qu’apprendre et faire usage de l’autre langue officielle;
    • Clarifier l’obligation du gouvernement d’adopter un plan de développement quinquennal pour les langues officielles;
    • Énoncer de nouvelles obligations du gouvernement fédéral d’adopter des politiques d’immigration favorisant la dualité linguistique;
    • Énoncer explicitement l’obligation de Statistique Canada de dénombrer les personnes titulaires de droits à l’éducation dans la langue de la minorité en vertu de l’article 23 de la Charte canadienne des droits et libertés.
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 - vendredi 27 décembre 2024