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La petite enfance et l'avenir : Quand les chiffres parlent d'eux-mêmes

Dossier petite enfance - Mai 2014

« Donner un degré de priorité élevé au développement de la petite enfance. Il s’agit là de l’investissement le plus rentable que nous puissions faire pour assurer notre prospérité à long terme. » (rapport L’Ontario à l’ère de la créativité)

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (24775)/Commentaires ()/
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Mais qu’est-ce qu’elles font toute la journée?

Dossier petite enfance - Mai 2014

La garderie, comme on dit... Que sait-on de ce lieu, de ce milieu dans lequel évoluent les tout-petits, de cette micro-société où ils passent souvent plus de temps que dans leur famille? Que sait-on du rôle et de la place qu’occupent les éducatrices dans la vie des enfants? 

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (31391)/Commentaires ()/
Balises: Gard'Amis
L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

L’école Beau Soleil se distingue au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise

Le 30 avril et 1er mai dernier, des élèves de l’école Beau Soleil de Gravelbourg ont participé au festival théâtral de l’Association Jeunesse Fransaskoise (AJF) à Saskatoon. Cet évènement annuel, organisé en collaboration avec La Troupe du Jour (LTDJ), a plongé les participants dans le monde du théâtre en leur permettant de suivre des ateliers donnés par des spécialistes de tous les horizons, comme l’expression corporelle, l’improvisation et le jeu lors de la première journée du festival.  

15 mai 2014/Auteur: Étienne Gravel/Nombre de vues (27757)/Commentaires ()/
Balises: AJF
Destination Provence

Destination Provence

Immersion et dégustation pour dix étudiantes de l’Université de Regina

C’est en Provence, une région du sud-est de la France, que se rendront dix étudiantes et deux accompagnatrices du département de français de l’Université de Regina, du 13 au 29 mai prochains.

15 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (20937)/Commentaires ()/
Science et culture à l’école de Zénon Park

Science et culture à l’école de Zénon Park

Deux journées bien remplies!

Le lundi 14 avril, les élèves de l’école Notre-Dame-des-Vertus ont présenté un magnifique projet collectif. Les élèves de la maternelle à la 3e année racontent et chantent « La soupe aux pierres ». Un joli conte qui parle de débrouillardise et de partage. 

15 mai 2014/Auteur: Amy-Valérie Olivier – CÉF/Nombre de vues (23115)/Commentaires ()/
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Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Mathieu Racine : du restaurant à la garderie

Dossier petite enfance - Mai 2014

Originaire de l’Outaouais, Mathieu est un Chef cuisinier, un vrai! Pendant dix ans, il a touché à plusieurs cuisines, en commençant par la cuisine française pour laquelle il a une prédilection. À la Gard’Amis depuis mars 2013, il veille au bien-être des estomacs des petits et des grands.

15 mai 2014/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (30481)/Commentaires ()/
Foire du patrimoine régionale de Regina

Foire du patrimoine régionale de Regina

Des jeunes de 18 écoles étalent leur savoir

La Foire régionale du patrimoine s’est tenue à l’Université des Premières Nations, le jeudi 1er mai. Cet évènement réunissait les 103 projets des 125 élèves (4e à 9e année) de 18 écoles des 6 commissions scolaires suivantes : le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), Prairie Valley, Regina Catholic, Regina public, South East Cornerstone et Holy Family.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (47356)/Commentaires ()/
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Une table ronde sur la petite enfance

Un service essentiel mais comment le financer?

Les programmes de la prématernelle sont aussi essentiels à la réussite des élèves qu’à la vitalité des communautés francophones en contexte minoritaire. Le défi, c’est comment en assurer leur financement à court, à moyen et à long terme. Ce sont les constats et les questionnements qui sont ressortis lors d’une table ronde sur la petite enfance, organisée par le Conseil scolaire fransaskois (CSF).

8 mai 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28822)/Commentaires ()/
Cercle communauté-université

Cercle communauté-université

Conjuguer action et réflexion

Jeudi 1er mai de 9 h à 16 h s’est tenu un cercle université-communauté sur le thème du développement communautaire fransaskois à l’Institut français (IF) de l’Université de Regina.

8 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30225)/Commentaires ()/
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Nouvelle directrice à l’Institut français

Nouvelle directrice à l’Institut français

À l’heure du postsecondaire francophone

Sophie Bouffard sera la nouvelle directrice de l’Institut français (IF) à partir du 1er juillet prochain. L’Institut était dirigé depuis septembre 2012 par madame Sheila Petty, suite au non renouvellement du contrat de l’ancien directeur, Peter Dorrington.

1 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25332)/Commentaires ()/
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Le RCCFC, un allié pour l’éducation en français

Le RCCFC, un allié pour l’éducation en français

L'Ouest et le Nord collaborent

Le Réseau des cégeps et des collèges francophones du Canada (RCCFC) a tenu l’une de ses quatre réunions annuelles mercredi 24 avril au Carrefour Horizons à Regina.

1 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25034)/Commentaires ()/
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Foire locale du patrimoine au Pavillon secondaire Monseigneur de Laval

Foire locale du patrimoine au Pavillon secondaire Monseigneur de Laval

La foire locale du Patrimoine, réunissant 66 projets d’équipes de 2e, 4e, 6e et 8e années, s’est tenue lundi 14 avril dernier au Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV), à Regina. 

25 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29649)/Commentaires ()/
Pédagogie à l’école de langue française

Pédagogie à l’école de langue française

Former sur l’identité en 168 capsules et 400 minutes

Les élèves parlent anglais. Que faire? Une vidéo propulse l’enseignant dans la réalité de l’école et propose en 120 secondes des approches éprouvées. La pédagogie en milieu minoritaire est enfin définie et la formation sera offerte sur le Web dès septembre.

23 avril 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (27870)/Commentaires ()/
Catégories: Cinéma Éducation
Balises: FNCSFPELF
Le Ministre Rob Norris visite Collège Mathieu

Le Ministre Rob Norris visite Collège Mathieu

Le ministre de l’Enseignement supérieur de la Saskatchewan, Rob Norris, a visité le Collège Mathieu à Gravelbourg le 10 avril 2014. 

21 avril 2014/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (30038)/Commentaires ()/
Remise de bourses au 5 à 7 de l’Institut français

Remise de bourses au 5 à 7 de l’Institut français

C’est au cours du dernier 5 à 7 de l’année de l’Institut français qu’a eu lieu la remise de bourses d’études annuelle.

17 avril 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (23871)/Commentaires ()/
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Parlons de francophobie

Auteur: Réjean Paulin/26 février 2019/Catégories: Société, Francophonie, Réjean Paulin

« Francophobie ». Voilà que ce mot nauséabond réapparait dans le vocabulaire courant. Il plane sur tout le Canada. Le Nouveau-Brunswick est gouverné par un gouvernement minoritaire à la merci d’un parti hostile aux francophones.

L’Ontario de Doug Ford a indiqué ses couleurs l’automne dernier. Des voix leur font écho ailleurs au pays selon la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA). La situation ne serait pas rose au Manitoba, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique.

La FCFA s’en inquiète au point de le signaler au premier ministre du Canada. Son président, Jean Johnson, et Justin Trudeau se sont rencontrés le 15 février pour en discuter.

Cela se passe alors que la Loi sur les langues officiellescélèbre un demi-siècle d’existence.

Curieux comment l’histoire fait les choses. Il y a 50 ans, un maire est devenu tristement célèbre chez les francophones à cause de son hostilité à leur endroit. Leonard Jones, alors à la mairie de Moncton au Nouveau-Brunswick, hantait les Acadiens. On l’avait coiffé du titre de francophobe.

En même temps, il y avait éveil francophone au Canada et ailleurs dans le monde. On assistait à la création de l’Agence de coopération culturelle et technique devenue l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Ici, nos communautés s’organisaient pour mieux revendiquer leurs droits. C’est à cette époque que la Fédération des francophones hors Québec (FFHQ) a vu le jour avec toutes les associations qui font maintenant partie de la FCFA.

Dans ce tourbillon, le Canada confirmait son statut d’état bilingue, avec sa Loi sur les langues officielles.

Un mal qui accable encore le pays

La francophonie a connu de belles avancées pendant ce demi-siècle.

Le système scolaire s’est développé, la participation des francophones aux affaires de l’État a pris de l’ampleur, divers programmes de soutien aux minorités linguistiques ont pris naissance, des anglophones sont devenus francophiles… Bref, il y a du positif. Malgré tout, une tache indélébile jusqu’à ce jour nécessite un coup d’abrasif. La francophobie, virulente à l’époque, est un mal dont le pays n’est pas encore guéri.

Une idée a surgi lors d’une récente séance du Comité permanent des langues officielles à Ottawa : la tenue d’un sommet sur les langues officielles. C’est le néodémocrate François Choquette qui en a fait mention. Il voit « un recul, de manière générale, de la défense des langues officielles partout au pays ».

Il est certain qu’une réflexion pancanadienne est nécessaire, car l’enjeu dépasse la seule question linguistique. Il en va de la reconnaissance de notre histoire et de l’ouverture à l’autre, un trait de caractère qui gagne en importance avec la mobilité des peuples qui occupent notre Terre.

Le Canada est beaucoup plus diversifié au plan culturel et ethnique qu’il l’était il y a 50 ans. Une communauté sénégalaise vit au Manitoba. Des Philippins viennent de s’installer à Saint-Quentin dans le nord du Nouveau-Brunswick. Cette diversité l’enrichit et continuera à le faire.

Revenons à ce francophobe qu’était le maire de Moncton à la fin des années 60. Ces francophones qui lui faisaient tellement peur ont fait de Moncton une ville universitaire, puis une ville d’envergure internationale qui a accueilli tout un cortège de chefs d’État dans le cadre du Sommet de la Francophonie de 1999. François Mitterrand s’y était rendu en 1987.

Manifestement, il reste des Canadiens qui n’y croient pas. Un autre demi-siècle suffira peut-être? Un bon sommet qui réunirait beaucoup de monde, premiers ministres, ministres, ténors des langues officielles, même des diplomates témoins de l’apport du bilinguisme pour la reconnaissance du Canada dans le monde, donnerait un nouvel élan à une Loiqui n’a pas encore terminé son œuvre.

Ce serait l’occasion de donner un bon coup « d’effaçouère » (ça me semble plus fort qu’une « efface ») à un mot délétère tristement réapparu dans un lexique qui pourrait être plus beau.

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Réjean Paulin

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 - samedi 18 mai 2024