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Francine Proulx-Kenzle se prononce sur la situation du CSF

Il faut dialoguer et rétablir la confiance

Comme mamie fransaskoise, je suis très inquiète pour l’avenir de l’éducation en français dans notre communauté. Je reconnais que les défis sont nombreux et importants. Comment faire pour les relever?

11 juin 2014/Auteur: Francine Proulx-Kenzle/Nombre de vues (18310)/Commentaires ()/
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Récital de musique à l’école Providence de Vonda

Récital de musique à l’école Providence de Vonda

À la veille de la fin de l’année scolaire, des élèves de l’école Providence de la prématernelle à la 6e année ont offert un spectacle de très grande qualité à un public venu nombreux.

11 juin 2014/Auteur: Abdoul Sall – ACFT/Nombre de vues (25464)/Commentaires ()/
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Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Un réseau pancanadien francophone court-circuité?

Alphabétisation et compétences essentielles

Après un an de silence, le ministère d’Emploi et Développement social Canada (EDSC) a rendu sa réponse. C’est non à l’éducation aux adultes francophones et acadiens par les francophones et Acadiens. Un non sans explications qui met en péril l’existence même des réseaux d’alphabétisation et de compétences essentielles (ACE). 

10 juin 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24784)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation

Le culte du silence

Le culte du silence devient de plus en plus la norme.  Du moins en public.  Au lieu de parler ouvertement, on rumine en silence. Et le mécontentement croît.  

5 juin 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (22933)/Commentaires ()/
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Les 7e années de Mgr de Laval changent d’école

Le Pavillon secondaire des Quatre Vents de l’école Laval (PSQV) à Regina accueillera les élèves de la 7e année à la rentrée 2014.

5 juin 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (21823)/Commentaires ()/
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La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La PÉLEC : une solution pour le sous-financement des écoles fransaskoises?

La Saskatchewan pourrait emboîter le pas à l'Ontario et au Nouveau Brunswick

La Politique d’encadrement linguistique et culturel ou PÉLEC est un outil qui pourrait aider à résoudre les problèmes auxquels sont confrontés le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la province en matière de financement et de programmation.

5 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25694)/Commentaires ()/
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Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Un héros grec au pavillon Gustave Dubois!

Des élèves de Saskatoon ont présenté un spectacle musical

Hercule, héros de la mythologie dont les nombreuses aventures l’ont mené de la Méditerranée jusqu’aux enfers, a ajouté une tâche à sa liste déjà longue de 12 travaux : il était en effet de passage à Saskatoon pour quelques jours, du 26 au 28 mai, et a pu profiter d’un beau temps printanier digne du mont Olympe!

5 juin 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (32002)/Commentaires ()/
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Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Mesures de compressions du réseau scolaire fransaskois

Leurs raisons et leur impact

Les mesures liées aux compressions budgétaires du Conseil scolaire fransaskois (CSF) entreront en vigueur le 1er septembre 2014 tandis que certains postes ne seront pas renouvelés lorsque les contrats prendront fin au mois de juin. Voici quelques précisions obtenues auprès de monsieur André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois.

2 juin 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26417)/Commentaires ()/
Balises: CEF-finances

Concours d’art oratoire

Coup d'oeil sur la finale provinciale du Concours d’art oratoire, organisé par Canadian Parents for French – Saskatchewan (CPF-SK) à Saskatoon, le samedi 26 avril 2014.

29 mai 2014/Auteur: Kenneth Bos/Nombre de vues (25563)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

Au printemps ça bourgeonne à l’Association des parents fransaskois !

On plante à l’extérieur, on range à l’intérieur!

Le joli mois de mai, en plus d’être le mois de la petite enfance, est aussi synonyme de renouveau, de fin de l’hiver, de grand nettoyage et cela se vérifie au sein de nos organismes communautaires! L’Association des Parents fransaskois (APF) a organisé plusieurs activités en ce début de printemps pour les familles de Saskatoon et d’autres villes.

29 mai 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (25999)/Commentaires ()/
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La Grande Traversée

Une école de la vie

Transformés, c’est sans doute le mot qui revient le plus dans les commentaires des six élèves du Pavillon secondaire des Quatre Vents (PSQV) de Regina, qui ont participé à l’édition 2014 de La Grande Traversée (LGT) en Saskatchewan.

29 mai 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24245)/Commentaires ()/
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Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Deux écoles saskatchewannaises se partagent 112 000$ de la Fondation Indigo pour l'amour de la lecture

Plus de 1,5 millions distribués aux écoles primaires dans le besoin

La Fondation Indigo pour l'amour de la lecture octroie des subventions du Fonds pour la littératie de 1,5 million de dollars à 20 écoles primaires dans le besoin.

28 mai 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (29444)/Commentaires ()/
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Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Un débat mal engagé et un mauvais choix pour le Canada

Le RESDAC se prononce sur le financement du développement des compétences

Le débat actuel concernant le financement du développement de l’alphabétisme et des compétences au Canada dérape. 

26 mai 2014/Auteur: Isabelle Salesse/Nombre de vues (33678)/Commentaires ()/
Balises: RESDAC

Méga-procès pour les écoles francophones en Colombie-Britannique

« Si on construit, les gens viennent »

C’est le Champ de rêve, version francophone hors Québec. Depuis 1982, un scénario semblable s’est déroulé dans plus de 130 collectivités francophones et acadiennes. Bâtissez l’école, disaient les parents, et vous verrez, les inscriptions y seront et les jeunes y resteront.

23 mai 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (17605)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

Les élèves de Debden voyagent à la Ville de Québec

En novembre 2013, nous avons commencé à planifier notre premier voyage éducationnel à la Ville de Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté et nos enseignants, nous avons commencé les collectes de fonds. Pendant les heures de classe, nous avons recherché les activités qui satisferaient nos résultats d'apprentissages de nos programmes d'études. Les billets d'avion étaient achetés, et avant qu'on le sache, on était parti! 

22 mai 2014/Auteur: Diana Couture – École Publique de Debden/Nombre de vues (23699)/Commentaires ()/
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Parlons de francophobie

Auteur: Réjean Paulin/26 février 2019/Catégories: Société, Francophonie, Réjean Paulin

« Francophobie ». Voilà que ce mot nauséabond réapparait dans le vocabulaire courant. Il plane sur tout le Canada. Le Nouveau-Brunswick est gouverné par un gouvernement minoritaire à la merci d’un parti hostile aux francophones.

L’Ontario de Doug Ford a indiqué ses couleurs l’automne dernier. Des voix leur font écho ailleurs au pays selon la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA). La situation ne serait pas rose au Manitoba, en Saskatchewan et en Colombie-Britannique.

La FCFA s’en inquiète au point de le signaler au premier ministre du Canada. Son président, Jean Johnson, et Justin Trudeau se sont rencontrés le 15 février pour en discuter.

Cela se passe alors que la Loi sur les langues officiellescélèbre un demi-siècle d’existence.

Curieux comment l’histoire fait les choses. Il y a 50 ans, un maire est devenu tristement célèbre chez les francophones à cause de son hostilité à leur endroit. Leonard Jones, alors à la mairie de Moncton au Nouveau-Brunswick, hantait les Acadiens. On l’avait coiffé du titre de francophobe.

En même temps, il y avait éveil francophone au Canada et ailleurs dans le monde. On assistait à la création de l’Agence de coopération culturelle et technique devenue l’Organisation internationale de la francophonie (OIF). Ici, nos communautés s’organisaient pour mieux revendiquer leurs droits. C’est à cette époque que la Fédération des francophones hors Québec (FFHQ) a vu le jour avec toutes les associations qui font maintenant partie de la FCFA.

Dans ce tourbillon, le Canada confirmait son statut d’état bilingue, avec sa Loi sur les langues officielles.

Un mal qui accable encore le pays

La francophonie a connu de belles avancées pendant ce demi-siècle.

Le système scolaire s’est développé, la participation des francophones aux affaires de l’État a pris de l’ampleur, divers programmes de soutien aux minorités linguistiques ont pris naissance, des anglophones sont devenus francophiles… Bref, il y a du positif. Malgré tout, une tache indélébile jusqu’à ce jour nécessite un coup d’abrasif. La francophobie, virulente à l’époque, est un mal dont le pays n’est pas encore guéri.

Une idée a surgi lors d’une récente séance du Comité permanent des langues officielles à Ottawa : la tenue d’un sommet sur les langues officielles. C’est le néodémocrate François Choquette qui en a fait mention. Il voit « un recul, de manière générale, de la défense des langues officielles partout au pays ».

Il est certain qu’une réflexion pancanadienne est nécessaire, car l’enjeu dépasse la seule question linguistique. Il en va de la reconnaissance de notre histoire et de l’ouverture à l’autre, un trait de caractère qui gagne en importance avec la mobilité des peuples qui occupent notre Terre.

Le Canada est beaucoup plus diversifié au plan culturel et ethnique qu’il l’était il y a 50 ans. Une communauté sénégalaise vit au Manitoba. Des Philippins viennent de s’installer à Saint-Quentin dans le nord du Nouveau-Brunswick. Cette diversité l’enrichit et continuera à le faire.

Revenons à ce francophobe qu’était le maire de Moncton à la fin des années 60. Ces francophones qui lui faisaient tellement peur ont fait de Moncton une ville universitaire, puis une ville d’envergure internationale qui a accueilli tout un cortège de chefs d’État dans le cadre du Sommet de la Francophonie de 1999. François Mitterrand s’y était rendu en 1987.

Manifestement, il reste des Canadiens qui n’y croient pas. Un autre demi-siècle suffira peut-être? Un bon sommet qui réunirait beaucoup de monde, premiers ministres, ministres, ténors des langues officielles, même des diplomates témoins de l’apport du bilinguisme pour la reconnaissance du Canada dans le monde, donnerait un nouvel élan à une Loiqui n’a pas encore terminé son œuvre.

Ce serait l’occasion de donner un bon coup « d’effaçouère » (ça me semble plus fort qu’une « efface ») à un mot délétère tristement réapparu dans un lexique qui pourrait être plus beau.

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Réjean Paulin

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 - samedi 18 mai 2024