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Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (30008)/Commentaires ()/

Notre école

Depuis une semaine, les écoles ont repris leurs activités. Pour les jeunes Fransaskoises et Fransaskois, c’est maintenant une chose normale que d’aller dans une école fransaskoise. Mais il n’y a pas si longtemps, ce n’était pas la réalité.

11 septembre 2014/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (29130)/Commentaires ()/
Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Un enseignement de qualité malgré l’austérité

Entrevue avec Donald Michaud,  le directeur de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30027)/Commentaires ()/
L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

L’optimisation des compétences et des ressources au service des élèves

Rencontre avec Dolorèse Nolette

Rencontre avec Dolorèse Nolette, directrice générale de l’éducation par intérim au Conseil des écoles fransaskoises (CÉF).

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28590)/Commentaires ()/

Une nouvelle année pour le CÉF : Attendre de voir

Un consensus semble atteint par tous les interlocuteurs du CÉF qui prennent maintenant un certain recul après avoir exprimé leurs critiques et veulent laisser les personnes en charge le soin de travailler à l’amélioration de son fonctionnement.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (28999)/Commentaires ()/
Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

Quelle année scolaire pour les écoles du CÉF?

On se souvient d’un commentaire de Francis Potié, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), à propos des coupures de Patrimoine canadien lors d’une table ronde à l’Institut français. « Tout ne va pas si mal. » Il me semble qu’il pourrait aussi bien s’appliquer à la « crise » qu’est en train de traverser le CÉF.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (31978)/Commentaires ()/

Une rentrée comme les autres

C’était l’effervescence au Pavillon secondaire des quatre vents (PSQV) de l’école Laval à Regina en cette matinée de rentrée, mardi 2 septembre.

11 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26847)/Commentaires ()/

Pourquoi choisir l’école de la minorité?

La rentrée scolaire 2014 ne fera sans doute pas exception. Encore une fois, trop d’enfants de parents ayants droit ne seront pas inscrits à une école francophone. Une tendance qui met en péril l’avenir des communautés francophones en situation minoritaire.

11 septembre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24191)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Nomination à la direction des écoles Beau Soleil et ÉSCM à Gravelbourg

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) annonce la nomination de Rosalie Lizée à titre de directrice de l'école Beau Soleil et de l'école secondaire Collège Mathieu (ÉSCM) à Gravelbourg.
4 septembre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (28012)/Commentaires ()/
Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le CÉF restructure ses services face à ses défis budgétaires

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a dévoilé, le 18 août dernier, les détails de la restructuration de ses services éducatifs. Ces changements ont été apportés afin, selon le CÉF, de «mieux répondre aux nouveaux défis qui découlent des compressions budgétaires annoncées en juin 2014. [L]a réorganisation des services voués aux élèves permettra de favoriser la réussite des élèves et l’accompagnement des intervenants dans les écoles. »

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (26924)/Commentaires ()/
Balises:
Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

Jugement dans la crise scolaire fransaskoise

La Cour octroie dix fois moins que réclamé

Le juge Barrington Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan, le 19 août, de payer la somme de 500 000 $ pour renflouer les coffres du Conseil scolaire fransaskois (CSF) pour l’année 2014-2015.

28 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29239)/Commentaires ()/
La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

La Résidence à l’ESCM de Gravelbourg est finalement fermée.

Le début de la fin.

À entendre que le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a finalement fermé la résidence à l’École secondaire Collège Mathieu (ESCM) de Gravelbourg n’était pas une grande surprise pour moi. J’ai été le premier directeur académique de l’ESCM sous les auspices du CÉF. 

28 août 2014/Auteur: Anonym/Nombre de vues (22071)/Commentaires ()/

Tentative de conciliation entre les enseignants et le gouvernement

Après avoir été secouée par des remous internes ces derniers jours avec l’éviction de son président, Colin Keess, pour des  motifs encore flous, lors  d’un vote de non-confiance, la Fédération des enseig nants de la Saskatchewan (Saskatchewan Teachers’ Federation – STF) et  le gouvernement de la Saskatchewan se sont mis d’accord pour faire appel  à un conciliateur puisque  les négociations qu’ils  ont engagées pour la rédaction d’une nouvelle convention collective sont au point mort.

21 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (22535)/Commentaires ()/
Catégories: 2014Éducation
Balises:

Réparer les erreurs du passé ou préparer l’avenir?

Dans les démarches entourant sa demande d’injonction pour réclamer un montant supplémentaire de 5,2 millions de dollars au gouvernement provincial, le Conseil scolaire fransaskois n’a pas mis toutes les chances de son côté. 

14 août 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26523)/Commentaires ()/

CSF : Une injonction plaidée dans des conditions défavorables

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) a, comme prévu, plaidé par la voix de son avocat, Me Roger Lepage, devant la Cour du Banc de la Reine à Regina, lors d’une injonction, pour obtenir la somme de 5,2 millions de dollars du gouvernement provincial les 6 et 7 août derniers.

14 août 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (24710)/Commentaires ()/
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Sommes-nous une menace à notre propre développement?

L'intolérance raciale dans la fransaskoisie

Auteur: Marie-France Kenny/19 janvier 2017/Catégories: Courrier du lecteur, Société

Racisme
Comme moi, vous aurez entendu les constats des commissaires aux langues officielles qui se sont succédés, lu les différentes études sur la vitalité des communautés et pris connaissance des résultats du sondage mené par Patrimoine canadien sur la dualité linguistique et des critiques à l’égard du gouvernement parce qu’on ne semble pas avoir de vision sur la dualité linguistique.

Oui, ma langue est menacée par différents facteurs tels l’assimilation, le faible taux d’immigrants francophones par rapport aux immigrants anglophones, la non reconnaissance de certains paliers de gouvernement de notre existence, de notre vitalité, de notre apport économique et culturel. Rien de nouveau dans tout ça.

Or, il me semble que de nouvelles menaces à notre vitalité et notre existence aient fait surface en 2016. J’ai beau ne plus faire partie du réseau associatif, reste que je demeure branchée et que je ne peux m’empêcher de voir et d’entendre ce qui se passe. Alors que jusqu’ici les menaces venaient de l’extérieur, voilà que nous devenons nous-même une menace à notre développement. Où est notre vision? Guide-t-elle nos actions?

On voit de plus en plus de tensions raciales dans nos communautés. D’abord, des ignorants qui appellent nos organismes où travaillent des Africains pour les traiter de « sale n… »! Puis selon certains employés, des gestionnaires qui leur rappellent de ne « pas trop fréquenter les blancs, parce qu’ils sont malhonnêtes. »  Puis pour couronner le tout, on entend des commentaires négatifs sur les Burundais de la part d’Ivoiriens, sur les blancs de la part de Burundais, sur les musulmans de la part de blancs, etc...  Bref, tout le monde semble parler contre tout le monde.

En même temps se jouent des guerres d’égos et de pouvoirs, des guerres « politiques » où un exécutif congédie quelqu’un parce qu’on se sent intimidé par ses compétences et son intégrité et qu’un membre de ce même exécutif cherche ensuite à briguer le poste; ou encore plutôt que de travailler ensemble, nos organismes se battent pour s’accaparer des projets que quelqu’un d’autre mène déjà sans penser que l’on pourrait les mener ensemble pour le bien de la communauté.

Alors que nous devrions nous serrer les coudes et ramer ensemble pour préserver et faire vibrer cette langue qui nous unit, nous passons plus de temps à dénigrer l’autre. Nous semblons avoir oublié notre but commun : le développement communautaire!

Personne n’a le monopole sur la francophonie et son développement, ni les gens qui se disent de souche, ni les nouveaux arrivants. Oui nous sommes différents, oui nous sommes issus de différentes cultures, mais c’est la beauté de la chose. Alors que notre diversité devrait nous enrichir et nous renforcer, voilà qu’elle nous divise. De la place, il y en a certainement pour tout le monde dans ma francophonie.  C’est ensemble que nous arriverons à bon port. En se divisant ainsi tout simplement parce qu’on ne vient pas du même endroit, nous nous rendons plus vulnérables en nous exposons davantage aux facteurs externes.

A-t-on oublié que lorsqu’on se porte bénévole ou que l’on travaille pour un organisme, la seule chose qui devrait nous inspirer, nous guider, c’est le bien de l’organisme, de notre communauté? Le bien de notre communauté passe par une vision commune de notre développement, la compréhension, l’entraide, la solidarité et une volonté réelle de changer les choses positivement, pas par une guerre d’égo ou de pouvoir.

Alors que l’on entame 2017, parlons-nous, apprenons à nous connaître, à mieux travailler ensemble, à être solidaires et rappelons-nous que notre seul mandat comme francophone c’est le développement communautaire afin de pouvoir vivre ensemble et nous épanouir en français.

Marie-France Kenny
Regina

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 - samedi 16 novembre 2024