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Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Le Lien: Un centre de ressources francophones provincial

Une mine de ressources à une distance de clic

Créé en 1986, le Lien est un centre de ressources culturelles et pédagogiques en français. Il dessert les francophones et francophiles de la Saskatchewan et de l’Ouest canadien. Seul centre francophone de prestation de services, le Lien met gratuitement à la disposition de ses usagers 42 000 titres soit 70 000 ressources sous forme de livres, de films (DVD, VHS), de CDs et propose l’accès à du matériel audiovisuel.

15 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27477)/Commentaires ()/
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Nicole Lemire:  De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Nicole Lemire: De Nipawin à Edmonton, en passant par Prince Albert

Chaque année, des milliers d’étudiants en 12e année sont confrontés à la même question : qu’est-ce qu’ils feront après l’obtention de leur diplôme : amorcer des études collégiales ou universitaires, aller directement sur le marché du travail ou prendre une pause d’études?

 

9 octobre 2014/Auteur: Étienne Alary/Nombre de vues (28814)/Commentaires ()/

Nicole Dupuis, enseignante en école d’immersion à Estevan

Ceux qui choisissent le métier d’enseignant doivent être prêts à aimer leurs élèves, être capables de collaborer avec leurs collègues et prêts à appuyer les parents.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (32647)/Commentaires ()/
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Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Yves St-Maurice réélu à la présidence de l’ACELF

Lors de l’assemblée annuelle tenue à Halifax, le 27 septembre dernier, les membres de l’Association canadienne d’éducation de langue française (ACELF) ont réélu M. Yves St-Maurice à la présidence de l’association pour un quatrième mandat consécutif. 

9 octobre 2014/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (31303)/Commentaires ()/
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Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Institut français: Des initiatives pour favoriser la réussite des étudiants

Services de mentorats et tutorats

Depuis le début de l’année universitaire, l’Institut français, sous la supervision de Ariadna Sachdeva, Conseillère et coordonnatrice des programmes crédités et des services aux étudiants, a mis en place un programme de mentorat.

9 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27334)/Commentaires ()/
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Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Hausse des inscriptions dans les écoles francophones de l'Ontario et de l'Ouest

Les écoles fransaskoises connaissent la deuxième plus forte hausse au pays

La tendance nationale des inscriptions dans les écoles francophones est positive. Mais pas dans toutes les provinces, où se profilent d’importants défis pour l’avenir. Le 24e Congrès de la Fédération nationale des conseils scolaires francophones (FNCSF) fera le point. 

3 octobre 2014/Auteur: Lucien Chaput (Francopresse)/Nombre de vues (24434)/Commentaires ()/
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Programmation du Collège Mathieu 2014-15

Programmation du Collège Mathieu 2014-15

L'institution fransaskoise s’affirme comme l’un des acteurs majeurs du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

Petit à petit, à force de travail et au fil du temps, le Collège Mathieu, sous la direction générale de Francis Kasongo, s’affirme de plus en plus comme l’un des acteurs majeurs, avec l’Institut français, du dossier du post-secondaire francophone en Saskatchewan.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (27730)/Commentaires ()/
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Les choses bougent à l’Institut français

Les choses bougent à l’Institut français

 Deux mois et demi après sa prise de fonction à la direction de l’Institut français, Sophie Bouffard peut déjà se prévaloir d’un bilan honorable.

2 octobre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (29086)/Commentaires ()/
Êtes-vous business?

Êtes-vous business?

Le sujet de cette première formation d'une série de quatre, animée par le conseiller en développement économique Ildephonse Bigirimana, était l’acquisition d’une franchise. 

2 octobre 2014/Auteur: Marie-Pier Boilard/Nombre de vues (40665)/Commentaires ()/
Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le CÉF et l’Eau Vive font équipe pour soutenir les initiatives des conseils écoles

Le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) et la Coopérative des publications fransaskoises (CPF) lancent une campagne d’aide au financement de projets scolaires par vente d’abonnements au journal l’Eau Vive

2 octobre 2014/Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/Nombre de vues (27158)/Commentaires ()/
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L’université francophone ontarienne pour 2025?

L’université francophone ontarienne pour 2025?

Gouverne ontarienne, mission canadienne

Le Sommet provincial des États généraux sur le postsecondaire en Ontario français, du 3 au 5 octobre à Toronto, promet de franchir une étape clé dans la création d’une université franco-ontarienne. Un projet qui dépasserait les frontières provinciales.

28 septembre 2014/Auteur: Louis-Marie Achille (Francopresse)/Nombre de vues (23774)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Miles Muri, directeur des écoles Sans-Frontière et Père Mercure

M. Miles Muri travaille pour le Conseil des écoles fransaskoises (CÉF). Il a été directeur de l’École secondaire Collège Mathieu à Gravelbourg puis directeur du Centre d’éducation virtuelle et d’innovation (CÉVI) pendant un an avant de devenir directeur des écoles Père Mercure et Sans-Frontières.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (25236)/Commentaires ()/
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Pour une solution à long terme

Pour une solution à long terme

Le CSF et le jugement de la Cour du banc de la reine

Le 19 août dernier, le juge Brian A. Barrington-Foote de la Cour du Banc de la Reine a ordonné au gouvernement de la Saskatchewan de payer la somme de 500 000 $ au Conseil scolaire fransaskois (CSF) qui réclamait 5,2 M $.

18 septembre 2014/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (26604)/Commentaires ()/
Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Le CÉF bénéficie du programme Ordinateurs pour les écoles

Depuis cinq ans, le Conseil des écoles fransaskoises profite du programme national Ordinateurs pour les écoles (OPE). Créé en 1993 par Industrie Canada et les TelecomPioneers, ce programme a permis, à date, de donner plus de 1 100 000 ordinateurs et imprimantes provenant des administrations publiques et du secteur privé. 
18 septembre 2014/Auteur: Alexandre Daubisse (EV)/Nombre de vues (30428)/Commentaires ()/
Immersion dans l’immersion

Immersion dans l’immersion

Entrevue avec Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon

C’est le temps de la rentrée et on a beaucoup parlé des écoles du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF), mais il y a aussi les autres : les écoles d’immersion. Pour faire un point sur ce secteur, nous avons rencontré M. Paul Bazin, conseiller pédagogique pour toutes les écoles d’immersion publiques de Saskatoon.

18 septembre 2014/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (29988)/Commentaires ()/
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La Saskatchewan annonce le premier plan de réouverture du Canada

Auteur: Sébastien Durand – Initiative de journalisme local – APF Ouest/1 mai 2020/Catégories: 2020, Société

La Saskatchewan est devenue ce 23 avril la première province canadienne à dévoiler un plan de réouverture de son économie. Sur fond de diminution du nombre de cas actifs de COVID-19, le premier ministre Scott Moe et le médecin hygiéniste en chef Saqib Shahab ont présenté les détails de ce plan en cinq phases dont la première aura lieu le 4 mai. Les enjeux sont d’ordres sanitaire, économique mais aussi politique.

Trente-six jours après avoir déclaré l’état d’urgence sanitaire dans la province, le premier ministre Scott Moe a donc repris la parole pour annoncer cette fois la relance économique. Le 4 mai, il sera de nouveau possible de consulter dentistes, opticiens, physiothérapeutes et autres praticiens. Les Saskatchewanais pourront se livrer à certaines activités de plein air « à faible risque » telles que la pêche et le golf à partir du 15 mai, ou le camping à partir du 1er juin.

La phase 2 du plan provincial prévoit la réouverture à partir du 19 mai des commerces de détail et l’accès à certains services de soin personnel comme le coiffeur ou l’acupuncture. Le passage aux phases 3, 4 et 5 du plan sera déterminé ultérieurement et doit aboutir à la levée des restrictions restantes : réouverture des restaurants, centres sportifs et garderies en phase 3, puis des centres de loisirs en phase 4.

La prudence de mise

Cependant, la reprise des activités ne signifie pas que la pandémie est une histoire ancienne. Les risques de contamination restent présents et chaque phase sera assortie de contraintes. Les instances du gouvernement exhortent la population à continuer les efforts consentis pour réduire les risques de transmission : distanciation physique, gestes barrières, minimisation des déplacements, etc.

Par ailleurs, certaines restrictions de longue durée resteront en place, notamment l’obligation d’isolement pour les voyageurs ou personnes exposées ou testées positives à la COVID-19, la visite de personnes vulnérables, la suspension des classes ainsi que les rassemblements.

Une démarche à tâtons

Remettre l’économie sur les rails tout en limitant l’exposition au coronavirus, l’exercice est périlleux et appelle à une certaine humilité. Si le plan de Scott Moe n’est pas figé dans le temps, c’est pour permettre au gouvernement de l’ajuster en fonction de l’évolution de la maladie. Le docteur Shahab a notamment déclaré qu’il faudra « continuer de tirer des enseignements de nos observations » [Traduction].

Cette prudence est la bienvenue pour la directrice du Réseau Santé en français de la Saskatchewan (RSFS) Frédérique Baudemont : « Il ne s’est pas engagé et pour moi c’est quelque chose de positif dans le sens où il revient beaucoup sur le fait qu’on va surveiller de près ce qu’il se passe. »

Parmi les mesures annoncées figure l’enquête systématique des éclosions pour en comprendre les causes et éviter de nouvelles contaminations. Ces mesures reçoivent un accueil favorable du côté de Kouamé N’Goandi, directeur du Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS). Ce dernier trouve un bon équilibre dans le retour progressif de l’économie couplé à une surveillance de l’épidémie : « Ce sont les gens en bonne santé qui sont capables de consommer, de travailler, qui font fonctionner l’économie », souligne-t-il.

Une discipline décisive

L’objectif du gouvernement est clair : « Ne voir aucune augmentation lorsque les gens vont s’engager dans des activités collectives », a insisté le médecin Shahab lors de l’allocution officielle. Voilà tout l’enjeu du maintien de la discipline que le premier ministre a présentée comme un facteur déterminant dans le contrôle de l’épidémie.

Denis Simard, président de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), met en garde contre le risque de voir l’histoire se répéter. « Chaque fois qu’il y a eu une grande maladie dans l’histoire de la Saskatchewan, on a demandé aux gens de s’isoler. Après ça, la vie a commencé à reprendre et chaque fois le taux de mortalité était plus haut dans la reprise que dans la période d’isolation », prévient-il.

Un plan aussi politique ?

Scott Moe se démarque ainsi en étant le premier au Canada à dévoiler un plan de réouverture provinciale. Si le docteur Shahab maintient qu’il s’agit « d’un marathon, et non d’un sprint », il n’en reste pas moins que le premier ministre se retrouve sous le feu des projecteurs. Selon Jérôme Melançon, professeur agrégé à la Cité universitaire francophone de Regina, « toute décision, toute déclaration de la part des partis va avoir un enjeu sur la manière dont c’est perçu. Il n’y a pas un parti qui va commencer à agir au pouvoir ou non sans tenir compte du fait qu’il y aura une élection bientôt. »

Le plan aurait-il été construit en vue des élections ? Le docteur spécialiste de la question politique fournit une analyse qui pousse à la réflexion : « Si on regarde à qui le plan va profiter, qui va aller jouer au golf, qui va aller se promener en bateau, qui va utiliser les services médicaux qui vont être rouverts, je pense qu’il y a un certain public pour cette annonce-là. »

L’universitaire regrette par ailleurs que le plan de Scott Moe ne fasse « pas mention de prévention pour mitiger les risques pour les personnes les plus vulnérables ». Les personnes à risque, que ce soit les aînés ou les personnes à la santé fragile, seront de plus en plus exposées à mesure que l’économie reprendra vie ces prochaines semaines.

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Balises: COVID-19
Sébastien Durand

Sébastien Durand – Initiative de journalisme local – APF Ouest

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 - mardi 5 novembre 2024