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Festival fransaskois 2024

De plus en plus d'élèves font l'école à la maison depuis 5 ans

TORONTO - Les familles qui choisissent de faire l'éducation de leurs enfants à domicile sont de plus en plus nombreuses, indique une étude de l'Institut Fraser. 

16 juin 2015/Auteur: La Presse canadienne/Nombre de vues (18647)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Le blogue chanté du Dr Horrible

Le blogue chanté du Dr Horrible

Une pièce innovante présentée par les élèves du Pavillon Gustave Dubois

SASKATOON -Pour les élèves de l’École canadienne-française secondaire, la fin de l'année scolaire c’est aussi le temps de présenter une nouvelle pièce de théâtre : ils ont ainsi interprété Le blogue chanté du Docteur Horrible les 2 et 3 juin derniers.

11 juin 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (30177)/Commentaires ()/
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Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Alexis Warren se démarque à la Dictée P.G.L.

Le jeune Fransaskois Alexis Warren a remporté le prix Provinces de l'Ouest et Territoires, dans la catégorie classe francophone, lors de la grande finale internationale de la Dictée P.G.L.
28 mai 2015/Auteur: L'Eau vive/Nombre de vues (27095)/Commentaires ()/
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Fête des finissants à l'école Valois

Fête des finissants à l'école Valois

Une soirée placée sous le signe de l'émotion

PRINCE ALBERT - Le 22 mai dernier, l’École Valois s’est parée de ses plus belles couleurs pour la fameuse fête des finissants.
28 mai 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (29252)/Commentaires ()/
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Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Collation des grades pour les finissantes du Collège Mathieu

Le Collège Mathieu est heureux d’avoir tenu la collation des grades pour souligner les accomplissements et l’engagement réalisés par les finissantes de la cohorte 2015.

28 mai 2015/Auteur: Collège Mathieu/Nombre de vues (33566)/Commentaires ()/
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Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon

Charlotte Mabika, propriétaire d’une garderie en milieu familial à Saskatoon

Mai est le mois de la petite enfance. Quand on pense aux garderies, c’est souvent les centres à la petite enfance qui nous viennent à l’esprit. Aujourd’hui nous allons découvrir une alternative à ces centres : les garderies en milieu familial.

28 mai 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (43527)/Commentaires ()/
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Des parents veulent que leur association se prononce sur la situation des écoles fransaskoises

Le 12 mai dernier, un groupe de parents, dont je fais partie, a envoyé une lettre à la présidente de l'Association des parents fransaskois (APF). Dans cette lettre nous faisions part de nos préoccupations, notamment au sujet des coupures faites par le Conseil scolaire fransaskois (CSF) et des diminutions importantes des services.
28 mai 2015/Auteur: Jean-Marie Allard (Courrier du lecteur)/Nombre de vues (18751)/Commentaires ()/
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Mario Cyr reçoit le prix Edgar-Gallant 2015 pour l’éducation

Mario Cyr, ancien directeur général du Conseil scolaire francophone de la Colombie-Britannique, est le lauréat cette année du prix Edgar-Gallant pour sa contribution remarquable à l’essor de l’éducation en français en milieu minoritaire.

21 mai 2015/Auteur: Francopresse/Nombre de vues (18242)/Commentaires ()/
Catégories: 2015Éducation
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Le Test d’Évaluation de Français (TEF) à l’Institut français de Regina

Le Test d’Évaluation de Français (TEF) à l’Institut français de Regina

Une participante raconte…

REGINA - L’Institut est devenu, il y a 3 mois, le premier établissement en Saskatchewan officiellement reconnu pour administrer le Test d’évaluation de français (TEF).

20 mai 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah(EV)/Nombre de vues (33678)/Commentaires ()/
Balises: TEF
Transport scolaire et élèves francophones

Transport scolaire et élèves francophones

Le transport homogène dans les conseils scolaires francophones est-il constitutionnel ?
20 mai 2015/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32389)/Commentaires ()/
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Bilinguisme: les francophones et les anglophones invités à mieux se connaître

Bilinguisme: les francophones et les anglophones invités à mieux se connaître

Une belle initiative du club Rotary de Moncton

MONCTON - Dominic Cardy, chef du NPD au Nouveau Brunswick et Mathieu Wade, sociologue de l’Université de Moncton, ont partagé leurs points de vue sur la question sensible du bilinguisme lors d’un dialogue public au début du mois de mai au Collège Oulton de Moncton.

20 mai 2015/Auteur: Simon Delattre (Acadie Nouvelle)/Nombre de vues (27201)/Commentaires ()/
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Foire régionale du Patrimoine à Regina

Foire régionale du Patrimoine à Regina

« Est-ce que les juges sont passés vous voir » ?

10 élèves de l’école élémentaire et secondaire de Monseigneur de Laval ont participé à cette belle foire sur l’histoire
20 mai 2015/Auteur: Claude Martel (EV)/Nombre de vues (35630)/Commentaires ()/
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La Cour suprême et la Commission scolaire francophone du Yukon: la Cour d’appel a commis une erreur

La Cour suprême et la Commission scolaire francophone du Yukon: la Cour d’appel a commis une erreur

Retour à la case départ

La Cour suprême a rendu une décision unanime concernant le litige opposant la Commission scolaire francophone du Yukon au gouvernement territorial.
14 mai 2015/Auteur: Pierre-Luc Lafrance (L'Aurore boréale)/Nombre de vues (24648)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationJuridique
Balises: CSFY
La cause des francophones du Yukon renvoyée à un tribunal inférieur

La cause des francophones du Yukon renvoyée à un tribunal inférieur

Retour à la case départ pour la Commission scolaire francophone du Yukon

Le combat linguistique que mène devant les tribunaux l'unique commission scolaire francophone du Yukon est loin d'être terminé.
14 mai 2015/Auteur: La Presse canadienne/Nombre de vues (23368)/Commentaires ()/
Catégories: ÉducationJuridique
Balises: CSFY
Le grand Cabaret à Mgr de Laval : la leçon des « petits » aux « grands »

Le grand Cabaret à Mgr de Laval : la leçon des « petits » aux « grands »

Des moments d’émotion et une leçon d’humilité

REGINA - Organisé le vendredi 8 mai par les élèves de la 7e à la 9e du Pavillon secondaire de l’École Monseigneur de Laval, le spectacle La Grand Cabaret est une leçon de vie.

14 mai 2015/Auteur: Abdoulaye Yoh (EV)/Nombre de vues (28405)/Commentaires ()/
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Choisir la Saskatchewan pour un meilleur avenir

Choisir la Saskatchewan pour un meilleur avenir

Auteur: Lucas Pilleri/21 mars 2023/Catégories: Société, Immigration

C’est la promesse que les différentes parties prenantes ont avancé à plusieurs reprises lors du Sommet provincial en établissement organisé le 13 mars par le Réseau en immigration francophone de la Saskatchewan (RIF-SK). Entre présentations, témoignages et travaux de groupe, la rencontre a permis de faire part des stratégies d’attraction, d’accueil et de rétention des immigrants francophones.

L’édition 2023 du sommet du RIF avait pour thème Vers 2023-2028 : Stratégies d’attraction et d’accueil des immigrants francophones. Tour à tour, les intervenants ont ainsi abordé divers enjeux entourant le dossier.

Ferdinand Bararuzunza, gestionnaire du RIF-SK, a démarré en exposant les résultats attendus de la rencontre : « Les multiples présentations, échanges et témoignages permettront aux immigrants potentiels de savoir à quel point la Saskatchewan est une province accueillante. »

À son tour, Ronald Labrecque, directeur général de l’Assemblée communautaire fransaskoise (ACF), organisme fiduciaire du RIF-SK, a présenté les trois objectifs principaux : « Informer le public, regarder les enjeux, défis et opportunités, et partager nos meilleures pratiques. » 

Un effort de groupe

Le gouvernement provincial était de la partie avec la présence d’Anne McRorie, directrice des services en immigration du ministère de l’Immigration et de la Formation professionnelle, qui s’est exprimée en anglais.

Cette dernière a indiqué que les immigrants bilingues avaient plus de chance d’être sélectionnés dans le système du gouvernement provincial. « Depuis 2019, le nombre d’immigrants francophones a augmenté dans la province d’environ 30 % », a-t-elle assuré.

De son côté, Anne-Yvette Sibomana, de la Direction des affaires francophones (DAF), a mis en avant les services en français offerts par le gouvernement provincial. Des services découlant de la Politique de services en langue française, « un engagement politique et moral », adoptée en 2003.

Aussi a-t-elle parlé du Centre de services aux citoyens Bonjour, « un guichet unique d’accès aux services en français du gouvernement de la Saskatchewan », précisant qu’il y avait « actuellement 375 pages en français » sur le site du gouvernement.

Immigration, Réfugiés et Citoyenneté Canada (IRCC) était également présent au travers de son représentant Yann Legrand, à Edmonton. « D’ici janvier 2024, on va lancer l’appel de proposition pour financer les fournisseurs de services pour les cinq prochaines années », a-t-il déclaré, encourageant les organismes fransaskois à préparer leurs demandes en vue de « continuer à épanouir la communauté francophone ».

Relever les défis

Une vidéo de ThinkSask vantant les atouts économiques de la province sous le slogan Saskatchewan – Solide et sûre a été traduite en français et visionnée pour l’occasion.

Puis, Charles Billard, directeur adjoint du Service d’accueil et d’intégration francophone de la Saskatchewan (SAIF-SK), a pris la parole afin de présenter les services en établissement offerts depuis avril 2020 par son organisme.

Aiguillage, établissement, pré-départ, instruction à domicile, inclusion communautaire font partie de l’offre du SAIF qui possède trois bureaux à Saskatoon, Regina et Prince Albert.

Les défis d’employabilité des nouveaux arrivants ont par la suite été décortiqués par Siriki Diabagate, gestionnaire en employabilité et immigration au Conseil économique et coopératif de la Saskatchewan (CÉCS).

La barrière de la langue, l’exigence de l’expérience professionnelle canadienne, le manque de reconnaissance des compétences acquises à l’extérieur du Canada, une faible scolarisation, l’absence de réseau, ou encore l’appartenance à une minorité visible sont autant de défis d’accès au marché du travail selon l’agent.

Le gestionnaire appelle donc à accompagner les employeurs afin de les aider à mieux connaître et comprendre la diversité, à faciliter les occasions de réseautage avec les nouveaux arrivants, voire à « avoir des incitatifs financiers à s’ouvrir à cette clientèle ».

Moment d’authenticité de la rencontre, deux vidéos de témoignage de nouveaux arrivants ont été diffusées, dont celui d’une famille de quatre enfants d’origine camerounaise qui se dit heureuse de l’accueil reçu à son arrivée dans la province.

Une grande famille

L’immigration francophone intéresse aussi la Fédération des communautés francophones et acadienne (FCFA). Kimberly Jean Pharuns, directrice du dossier de l’immigration, a profité du sommet pour défendre la vision de son organisme porte-parole.

« L’immigration représente un enjeu d’avenir important, souligne-t-elle. Nous avons la vision d’une francophonie qui attire, accueille et intègre. »

Cette dernière est revenue sur le fait que pour la première fois depuis près de vingt ans, la cible de 4,4 % d’immigrants francophones a été atteinte au niveau fédéral.

« La non-atteinte des cibles depuis 2008 a entraîné une perte de 76 000 immigrants francophones », rappelle-t-elle, s’appuyant sur une étude du commissaire aux langues officielles de novembre 2021.

Ainsi, Kimberly Jean Pharuns exhorte à rattraper le temps perdu en adoptant des cibles de réparation audacieuses. « Pourquoi ne pas dépasser la cible des 4,4 % ? Le déclin n’est pas une fatalité ! »

Pour y parvenir, il faudrait selon elle créer un programme d’immigration économique francophone distinct, créer un volet francophone pour la catégorie du parrainage familial, ou encore faciliter la venue d’étudiants francophones.

Quant à lui, Ronald Labrecque a insisté sur les délais et complications de traitement administratif des demandes d’immigration, « le plus gros défi » selon lui.

Le directeur de l’ACF a aussi attiré l’attention sur les disparités provinciales en matière de résultats et d’efforts : « Même si la cible de 4,4 % a été atteinte au niveau national, en Saskatchewan on est à moins de 2 %. Certaines régions ont besoin de plus d’aide. »

Des pistes d’amélioration

Enfin, Jimmy Bankamwabo de l’Institut Compass a présenté les résultats de son étude sur les facteurs d’attraction et de rétention des immigrants francophones en Saskatchewan.

Parmi les facteurs à prendre en compte figurent les compétences en anglais, l’intégration sur le marché du travail, le manque de services en français, les conditions climatiques et la reconnaissance des diplômes.

Toujours selon cette étude, les services les plus importants aux yeux des immigrants concernent l’employabilité, l’éducation, l’accueil et l’établissement. En outre, les facteurs d’attraction et de rétention principaux sont l’accès au logement, à des emplois décents et aux garderies et écoles.

L’agent a conclu en énonçant plusieurs stratégies d’amélioration, incitant notamment à une plus grande visibilité des services en français et à une plus grande collaboration avec la majorité anglophone.

Ferdinand Bararuzunza, gestionnaire du RIF-SK, a accueilli la présentation avec intérêt : « Les résultats de l’étude seront reflétés dans le plan stratégique que nous concevrons pour la période 2025-2030. »

Et d’ajouter : « La Saskatchewan devrait recevoir 700 immigrants francophones et je ne suis pas très optimiste que nous pourrons atteindre cette cible. Nous aurons besoin de davantage de ressources. J’aimerais inviter les différents bailleurs ici présents à prendre cela en compte dans l’analyse des prochaines demandes de financement. »

Pour terminer le sommet, des travaux de groupe ont été organisés entre la quarantaine de participants présents.

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Lucas Pilleri

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 - jeudi 27 juin 2024