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Moins d'élèves dans les écoles fransaskoises

Moins d'élèves dans les écoles fransaskoises

Entrevue avec André Denis, président du Conseil scolaire fransaskois

REGINA - Depuis la rentrée, les écoles fransaskoises ont enregistré plusieurs dizaines d’inscrits en moins par rapport à l’an dernier. Le président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), André Denis, se dit inquiet mais veut attendre d’en savoir plus.

14 octobre 2015/Auteur: Propos recueillis par Sébastien Németh/Nombre de vues (35474)/Commentaires ()/
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Le Collège Mathieu commence l’année en bonne santé

Le Collège Mathieu commence l’année en bonne santé

Des nouveautés dévoilées à l'Assemblée générale annuelle

GRAVELBOURG - Le Collège Mathieu a tenu, le 2 octobre dernier, son Assemblée générale à Gravelbourg. Les sujets d’ordre financier, la création de nouveaux partenariats et aussi de nouvelles techniques étaient à l’ordre du jour.

8 octobre 2015/Auteur: Gary Ouellette (EV)/Nombre de vues (27225)/Commentaires ()/
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Des parents chargent à nouveau le Conseil scolaire

Des parents chargent à nouveau le Conseil scolaire

REGINA - Moins de six semaines après une Assemblée générale extraordinaire plutôt houleuse, le Conseil scolaire fransaskois (CSF) est de nouveau attaqué.

8 octobre 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (29203)/Commentaires ()/
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Formation pour les animatrices de groupes de jeux

Formation pour les animatrices de groupes de jeux

SASKATOON - L’Association des parents fransaskois (APF) et le Collège Mathieu ont offert aux animatrices de groupes de jeux de toute la province une formation gratuite le samedi 26 septembre dans

1 octobre 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (24818)/Commentaires ()/
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Nouvelle classe portative livrée à l’école Boréale

Nouvelle classe portative livrée à l’école Boréale

Mardi 15 septembre, une classe portative a été livrée à l’école Boréale de Ponteix. Un équipement qui devrait apporter davantage de confort pour les élèves et les enseignants. 

24 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (38566)/Commentaires ()/
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Enseignement portatif

À l’école Boréale de Ponteix, on n’aura plus besoin d’étudier ou de travailler dans la cuisine. Une nouvelle classe portative vient d’arriver. 

24 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (30876)/Commentaires ()/
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Les demandes de services sont en hausse, mais pas les budgets

Les demandes de services sont en hausse, mais pas les budgets

Rencontre avec Frédérique Baudemont, directrice de l'Association des parents fransaskois

SASKATOON - Arrivée à la direction de l’Association des parents fransaskois (APF) au début du mois, Frédérique Baudemont nous donne les orientations de l’organisme en cette nouvelle année scolaire qui commence pour les élèves et les parents.

17 septembre 2015/Auteur: Alexandra Drame (EV)/Nombre de vues (27904)/Commentaires ()/
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AGE du CSF: trois heures d'échanges difficiles

AGE du CSF: trois heures d'échanges difficiles

Très attendue, l’Assemblée générale extraordinaire du Conseil scolaire fransaskois (CSF) n’a pas répondu aux attentes. La réunion provoquée par un groupe de parents d’élèves, devait évoquer les questions sensibles des finances et de l’abandon des recours en justice.

3 septembre 2015/Auteur: Jean-Pierre Picard (EV)/Nombre de vues (37762)/Commentaires ()/
Balises: CSF-AGE 2015
Une Fransaskoise à la tête de l'école Père Mercure

Une Fransaskoise à la tête de l'école Père Mercure

NORTH BATTLEFORD - Julie Lemire, ancienne enseignante, prend les rênes de l’école Père Mercure, à North Battleford.

3 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (39110)/Commentaires ()/
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Luc Handfield, nouveau directeur adjoint de l’éducation au CÉF

Luc Handfield, nouveau directeur adjoint de l’éducation au CÉF

Un expert de l’éducation minoritaire rejoint le CEF

D’origine québécoise, Luc Handfield est le nouveau directeur adjoint de l’éducation au Conseil des écoles fransaskoises.
3 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (36502)/Commentaires ()/
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Système anglo, franco ou immersion?

Système anglo, franco ou immersion?

Alors que des centaines de familles sont en pleine rentrée des classes depuis mardi dernier, des parents francophones et anglophones ont choisi d’inscrire leurs enfants dans l’autre système linguistique. Témoignages.

3 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh (EV)/Nombre de vues (35949)/Commentaires ()/
Thérapie de couple

Thérapie de couple

Réflexion autour de l'AGE du Conseil scolaire fransaskois

 Difficile d’entamer une rentrée scolaire après une Assemblée générale extraordinaire demandée par des parents en colère et inquiets.
3 septembre 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (32398)/Commentaires ()/
Balises: CSF-AGE 2015
Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois

Fréquentation toujours en hausse à l’école Valois

PRINCE ALBERT - Comme toutes les écoles de Prince Albert, la cloche de l’école Valois a retenti pour la première fois depuis 2 mois.

3 septembre 2015/Auteur: Sandra Hassan Farah (EV)/Nombre de vues (32402)/Commentaires ()/
La Cité universitaire francophone officiellement lancée

La Cité universitaire francophone officiellement lancée

REGINA - La Cité universitaire francophone (CUF) a été inaugurée le 1er septembre 2015 devant un parterre de personnalités issues de la communauté, du monde académique et politique. La nouvelle entité a pour mission de promouvoir l’enseignement en français.


2 septembre 2015/Auteur: Émilie Dessureault-Paquette (EV)/Nombre de vues (29791)/Commentaires ()/
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La cloche va sonner

La cloche va sonner

C’est l’heure du retour en classe pour des centaines de jeunes Fransaskois. Et cette nouvelle rentrée scolaire apporte encore une fois son lot de débats sur l’éducation francophone dans la province.

27 août 2015/Auteur: Sébastien Németh/Nombre de vues (23156)/Commentaires ()/
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Jérome Leis : D’un projet scolaire à une carrière d’exception

Jérome Leis : D’un projet scolaire à une carrière d’exception

Portrait d'un ancien de l'École canadienne-française de Saskatoon

Auteur: Conseil des écoles fransaskoises/7 octobre 2019/Catégories: 2019, La vie des élèves

À l’École canadienne-française de Saskatoon, Jérôme prenait part avec passion aux expo-sciences, souvenir impérissable de sa scolarité. Vingt ans plus tard, le voilà devenu docteur d’envergure à Toronto, professeur associé et directeur du contrôle de l’infection à l’Hôpital Sunnybrook Health Sciences. Retour sur un parcours scolaire formateur qui l’a placé dans les meilleures dispositions pour réussir.

Quel a été ton parcours scolaire au secondaire ?
Je suis d’origine française, mais notre famille habite dans l’Ouest canadien depuis de nombreuses années. On a habité à Winnipeg puis à Saskatoon. J’ai été à l’École canadienne-française de Saskatoon pour mon secondaire. Je suis finissant de 2001.

Et après le secondaire ?
Par la suite, j’ai eu un bac en physiologie humaine à l’Université de la Saskatchewan en 2004. J’ai fait des études de médecine à l’Université d’Ottawa dans un programme bilingue entre 2004 et 2008. Puis je suis venu à l’Université de Toronto pour faire mon internat pendant 5 ans. Je me suis spécialisé en médecine interne puis en maladies infectieuses. Enfin, j’ai fait ma maîtrise de science dans l’amélioration des soins et de la sécurité du patient à l’Université de Toronto.

Aujourd’hui, quelle est ta profession ?
Je suis au Centre des sciences de Sunnybrook, qui est l’un des hôpitaux universitaires de l’Université de Toronto. C’est le plus grand hôpital de traumatologie au Canada. J’ai pris poste comme spécialiste en maladies infectieuses. Je passe une partie de mon temps en service clinique auprès des patients et des étudiants en formation. Quand je ne suis pas dans le service, j’ai des responsabilités administratives en tant que directeur médical du contrôle des infections. Et je suis aussi le directeur du programme d’antibiogouvernance, pour favoriser une meilleure utilisation des antibiotiques à l’hôpital. C’est une problématique de santé publique.

Pratiques-tu en français ?
On parle français à la maison avec mes deux enfants et mon épouse. C’est notre langue maternelle. Dans le cadre professionnel, je continue à vivre un peu en situation minoritaire. Ça ressemble pas mal à ce que j’ai connu en Saskatchewan. On est rattachés à une communauté francophone ici en Ontario. J’ai des patients francophones et je suis capable grâce à ma formation bilingue d’offrir des soins en français.

Quel impact a eu selon toi ta scolarité à l’École canadienne-française de Saskatoon ?
J’ai développé une identité comme francophone. Deuxièmement, cela m’a permis de développer ma capacité à m’exprimer, écrire et étudier en français. Troisièmement, j’ai eu pas mal d’opportunités comme étudiant, notamment avec l’accès aux expo-sciences. C’est vraiment mon meilleur souvenir de scolarité. Ça m’a ouvert de nombreuses portes. J’ai pu faire des présentations avec d’autres jeunes à travers le Canada, j’ai eu la chance d’avoir accès à d’autres expo-sciences nationales, de voyager et de recevoir des bourses. Le fait d’avoir été exposé à la science à un jeune âge a eu un grand impact sur tout mon cheminement.

Les expo-sciences t’ont emmené loin ?
En 11e ou 12e année, en 2000-2001, j’ai eu la chance de voyager à Regina pour l’expo-science provinciale avec les autres Fransaskois. Les meilleurs projets ont été choisis, on est allés à l’Université Queen de Kingston en Ontario pour passer une semaine à l’expo-science pancanadienne où mon projet a encore une fois été reconnu. J’ai pu obtenir une bourse pour aller étudier en Israël pendant l’été 2001. Ce sont des expériences très fortes qu’on ne peut pas oublier. Tout a commencé avec un petit projet de science à l’École canadienne-française !

Quels autres souvenirs as-tu gardés de ta scolarité ?
Je me rappelle avoir été très bien traité. Les élèves étaient très respectés. C’était une petite école. On n’était pas nombreux à cette époque-là. En 2001, il y avait 6 élèves dans ma classe. On avait beaucoup d’attention de la part des professeurs. C’était vraiment un bon environnement structuré et encadré pour pouvoir se développer. J’étais bien préparé pour les études postsecondaires.

Que dirais-tu à des parents ou des jeunes qui considéreraient l’école de langue française ?
Il n’y a absolument aucun doute. Être bilingue au Canada ouvre des portes. Pouvoir grandir dans les deux langues est une chance à ne pas rater. Quand on est plus vieux, c’est trop tard. À une certaine époque, il y avait des doutes vis-à-vis de la qualité de l’éducation car c’était une nouvelle petite école et beaucoup de gens étaient très réticents. Si on regarde les finissants depuis 20 ans, ce sont des gens bien établis dans leur carrière dans différents domaines. Il n’y a aucune raison de douter aujourd’hui.

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Conseil des écoles fransaskoises

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 - vendredi 15 novembre 2024