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Ranger, un plaisir partagé ?

Ranger, un plaisir partagé ?

Demander à un enfant de ranger sa chambre peut devenir un jeu

Amener son enfant à devenir grand soulève toujours son lot de soucis pour les parents ; particulièrement pour les parents qui travaillent et qui pensent ne pas avoir assez de temps à leur consacrer. 

2 juin 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (40208)/Commentaires ()/
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Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Une mosaïque créée par les élèves de Zenon Park

Découvrir la puissance du groupe

ZENON Park - Les élèves étaient très fiers de voir les images qu’ils avaient soumises aux artistes dans la mosaïque. Cette murale est le produit de leur imagination, de leur culture, de leur vécu.
19 mai 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36937)/Commentaires ()/
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Les élèves de Debden découvrent la Ville de Québec

Les élèves de Debden découvrent la Ville de Québec

DEBDEN - En septembre 2014, nous avons commencé à planifier notre voyage éducatif à Québec. Avec l'aide de nos parents, notre communauté, notre division scolaire et nos enseignantes, nous avons commencé les levées de fonds. 
27 avril 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36711)/Commentaires ()/
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Ma culture, où est-elle sur le campus?

Ma culture, où est-elle sur le campus?

Conférence à la Cité universitaire francophone

REGINA - Conférence portant  sur l'identité, l'intégration et le bien-être de la jeunesse fransaskoise et métisse dans un environnement universitaire.
21 avril 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (31444)/Commentaires ()/
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Un ancien président du CSF se prononce

Un ancien président du CSF se prononce

Rencontre avec Yvan Lebel

« Est-ce qu’on pense à nos jeunes dans tout ça ? » C’est le cri du cœur d’Yvan Lebel qui a déjà occupé la présidence du Conseil scolaire fransaskois pendant 4 ans.
21 avril 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (27156)/Commentaires ()/
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Rencontre avec Kenneth Bos: histoire d'une chronique

Rencontre avec Kenneth Bos: histoire d'une chronique

Rencontre avec Kenneth Bos, à l'origine de "S'exprimer autrement", chronique qui paraît dans l'Eau vive depuis le 24 mars.
21 avril 2016/Auteur: Mychèle Fortin/Nombre de vues (38389)/Commentaires ()/
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Le centre éducatif Les Petits Pois de Bellevue

Le centre éducatif Les Petits Pois de Bellevue

Défis et projets d'une garderie en milieu rural

BELLEVUE - Après une occupation temporaire au sein du restaurant le Rendez-Vous, l’équipe et les enfants du centre éducatif Les Petits Pois ont intégré leurs locaux flambant neufs au sein de l’école.
21 avril 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (26583)/Commentaires ()/
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Communications scolaires

Communications scolaires

Ça a bardé ces dernières semaines dans les couloirs d’écoles. L’annonce du retour de l’ancien directeur de l’Éducation du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) a fortement polarisé les parents.
7 avril 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (28890)/Commentaires ()/
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Les 5 choses essentielles à apprendre avant l’âge de 20 ans

Les 5 choses essentielles à apprendre avant l’âge de 20 ans

Dans notre vie moderne, développée et diverse, il y a des choses que tous les jeunes devraient apprendre en grandissant pour potentiellement sauver des vies ou éviter des événements tragiques.
7 avril 2016/Auteur: Pat Connolley/Nombre de vues (34359)/Commentaires ()/
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Projet intergénérationnel à Gravelbourg

Projet intergénérationnel à Gravelbourg

Des aînés et des jeunes élèves de Gravelbourg ont discuté carrières.
7 avril 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (33149)/Commentaires ()/
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Concours Flash ton école: prix Coup de coeur des RVF à l'École Valois

Concours Flash ton école: prix Coup de coeur des RVF à l'École Valois

Rencontre avec la monitrice de langue Éliane Garcia

PRINCE ALBERT - L'école Valois a remporté la deuxième place du concours Flash ton école en se méritant le prix Coup de coeur du jury.
5 avril 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (36266)/Commentaires ()/
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L’article 23 inclut-il le préscolaire ?

L’article 23 inclut-il le préscolaire ?

Un vide juridique relentit les gouvernements provinciaux

Le ministère de l’Éducation du Nouveau-Brunswick attend un examen du régime de garderies avant de décider s’il demandera l’avis de la Cour d’appel. En Ontario, où la petite enfance est également intégrée au ministère de l’Éducation, on attend une loi habilitante pour la prise en charge de services éducatifs préscolaires.

25 mars 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (36711)/Commentaires ()/
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Débats houleux entre CSF et parents

Débats houleux entre CSF et parents

La réembauche de Bernard Roy au cœur de l’Assemblée des électeurs du CSF

REGINA - L’assemblée générale des électeurs du Conseil scolaire fransaskois qui s'est tenue  vendredi le 11 mars était hautement attendue.  Et les plumes ont volé.

24 mars 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard et Frédéric Dupré/Nombre de vues (29571)/Commentaires ()/
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L'École Beau Soleil et l'École Mathieu de Gravelbourg soulignent le Mois de l’histoire des Noirs

GRAVELBOURG - Le tissu social de la Saskatchewan est constitué de plus d’une soixantaine de nationalités différentes.
24 mars 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (27031)/Commentaires ()/
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L’Université d’Ottawa tend la main aux Fransaskois

L’Université d’Ottawa tend la main aux Fransaskois

Un programme de common law offert en français en Saskatchewan

L’Université d’Ottawa et l'Université de la Saskatchewan sont partenaires pour offrir des études de common law en français
24 mars 2016/Auteur: Mila Roy (Gazette de l'Université d'Ottawa)/Nombre de vues (31452)/Commentaires ()/
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10 ans de Festival Terre ferme à Willow Bunch

Retour sur une aventure musicale familiale 

Auteur: Marie Galophe/2 septembre 2017/Catégories: 2017, Willow Bunch, Arts et culture

La famille Campagne

La famille Campagne

De gauche à droite: Aline, Annette, Solange, Paul, Suzanne, Michèle et Carmen
Il faut entendre Paul Campagne répéter plus de fois que nécessaire le mot « Saskatchewan » dans la conversation pour sentir le plaisir qu’il éprouve à en être. À la fois citoyen, chantre et cultivateur, il nous reçoit en compagnie de sa sœur Suzanne, portant un chandail des Roughriders un peu usé, les cheveux en bataille après sept heures de vol depuis Montréal, et prenant surtout un plaisir évident à raconter l’histoire du festival, comme si, finalement, elle n’était rien de moins que la sienne. 

Qui est la famille Campagne en Saskatchewan?

Paul : Les légendaires? (Rires) Marguerite et Émile Campagne ont eu sept enfants et nous, nous sommes les sept enfants de la famille. Et puis ça fait 35 ans qu’on fait de la musique. Originaire de la Saskatchewan, on a commencé à faire de la musique en Saskatchewan, ensuite on a déménagé au Manitoba, ensuite on a fini par déménager au Québec. Je pense qu’on a toujours un peu la Saskatchewan dans nos veines. On a toujours été fiers de dire qu’on venait de la Saskatchewan, alors c’est ça, la famille Campagne. On est des troubadours qui représentent la Saskatchewan d’une certaine façon. 

Vous parlez de vos parents, mais n’avez-vous pas des enfants qui ont suivi vos traces?

Paul : Oui, mes garçons, Gabriel et Alexis. Terre ferme a commencé, si tu veux, en 2008, un peu pour faire un rassemblement à la ferme. Parce que notre père est décédé en février 2008 et on a décidé qu’on voulait faire quelque chose, un peu pour donner les impressions de ce que c’était la ferme à nos enfants, à leurs petits-enfants, à Émile et Marguerite. Alors, la première année, c’était uniquement un rassemblement pour la famille, et on a invité des gens du village. 

Quelle place occupe la ferme de Willow Bunch dans votre histoire?

Paul : C’est la terre originelle de nos arrière-grands-parents. Mon grand-père a hérité de ces terres-là, mon père a pris la ferme. Avant son décès, il a légué la terre à nous, ses sept enfants. La terre, c’est le point focal de tout ce qu’on fait maintenant. 

Suzanne : C’est un très joli coin, il y a beaucoup d’histoire dans notre région. C’est spécial le feeling d’être sur ces terres-là. Ça représente les pionniers qui sont arrivés, et beaucoup de continuité pour nous.

Est-ce que la magie du lieu contribue à la pérennité du festival?

Paul : Je pense que c’est uniquement ça. On a eu plusieurs requêtes : « Venez faire le festival dans nos villages! » Mais pour moi, ça ne serait pas la même chose. Le fait que c’est sur la terre de nos ancêtres, c’est ce qui fait la magie du festival, pour moi, pour les enfants aussi.

Suzanne : Le Festival Terre ferme, c’est une expérience vraiment unique, très intimiste. On ne veut pas avoir 5000 personnes, on ne veut pas grandir, grandir. Ce n’est pas à propos de ça pour nous, c’est faire que chaque personne qui vient a cette expérience-là, vit vraiment quelque chose d’unique.

Sur le plan financier, comment avez-vous commencé? Et où en êtes-vous dix ans plus tard? 

Paul : Les premiers trois ans, je dirais qu’on vendait même pas des billets, c’était un chapeau qu’on passait dans la foule, les gens mettaient un dix dollars. La ferme évidemment a subventionné un peu les billets d’avion, pour les gens qui venaient de loin. Au début, c’était pas très rentable mais c’était pas le but de l’exercice. Et même aujourd’hui, c’est pas le but. Le but, c’est le rassemblement. On a des bourses maintenant : Saskarts, Conseil des Arts… Depuis cinq ans, on est beaucoup plus professionnels dans le sens qu’on appliquent pour des bourses. Même que cette année, on a embauché quelqu’un pour travailler à partir de juin presque uniquement à faire la promo pour le festival. C’est la première année que c’est pas nous, de la famille, qui faisons tout. Cette année, le budget était presque de 40 000 $.

Combien de gens se sont présentés au Festival Terre ferme cette année?

Paul : Cette année, on a eu le plus gros turn-out qu’on a eu depuis le début. On était à 320 qui ont payé. Avec tous les bénévoles et toute la famille, on était presque 400 sur le site. 

Des projets pour la 11ième édition?

Paul : Un mois après le festival, on se dit on va jamais plus faire ça, c’est trop de travail. That’s it man! That’s it! (Rires) Mais après trois mois, on se dit, c’était quand même bien, on a eu du fun, on va sûrement le refaire encore…

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Marie Galophe

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 - samedi 28 décembre 2024