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L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

L'École Beau Soleil fête ses 25 ans au son de On n'est pas des cowgirls

Un bon spectacle pour un anniversaire d'importance

GRAVELBOURG -  La communauté fransaskoise de Gravelbourg a célébré le 25ième anniversaire de l’École Beau Soleil, qui a vu le jour en 1990 au Centre culturel Maillard.

30 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (34635)/Commentaires ()/
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Méditer à l’école

Méditer à l’école

Pour être en paix avec soi et avec les autres

Pourquoi amener la pratique de la méditation dans nos écoles? Parce qu'elle donne la possibilité de s’entraîner à ressentir ce qu’on est en train de vivre de façon concrète. Elle donne aux élèves la force mentale de pauser, ressentir, et stabiliser leur attention sur ce qu’ils-elles vivent
29 octobre 2016/Auteur: Frédéric Dupré et Céline Martin/Nombre de vues (33953)/Commentaires ()/
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Bonne note de passage pour les écoles fransaskoises

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Le CÉF débute l’année scolaire débute sur une note positive

C’est une commission scolaire fransaskoise en meilleure santé qui débute la nouvelle année scolaire.
27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (29377)/Commentaires ()/
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De l’huile sur un feu presque éteint?

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Un cadre du CÉF devient président de l'APF

L’élection d’un employé cadre du Conseil des écoles fransaskoise à la présidence de l’Association des parents fransaskois (APF) (CÉF) en fait sourciller plus d’un dans la communauté. 

27 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (37135)/Commentaires ()/
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Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Semaine de l’éducation 2016 : Célébrons le présent, préparons l’avenir

Le gouvernement de la Saskatchewan a déclaré la semaine du 16 au 22 octobre, la Semaine de l’éducation en Saskatchewan.
17 octobre 2016/Auteur: Gouvernement de la Saskatchewan/Nombre de vues (22162)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

Bière et ailes de poulet avec Les Petits Pois de Bellevue

L'activité de levée de fonds du centre éducatif attire plus de 80 personnes

Le 7 octobre 2016 plus de 80 personnes se sont rendues au Centre communautaire BDS à Bellevue pour participer à la première soirée bière et ailes de poulet du Centre éducatif Les Petits Pois.

13 octobre 2016/Auteur: Centre francophone BDS/Nombre de vues (34727)/Commentaires ()/
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Petite enfance: les communautés francophones ont besoin de plus de soutien

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Le commissaire aux langues officielles publie un rapport sur la petite enfance

Dans son rapport "La petite enfance: vecteur de vitalité des communautés francophones en situation minoritaire", dévoilé le 3 octobre 2016, le commissaire aux langues officielles, Graham Fraser, demande au gouvernement fédéral d’ouvrir les coffres pour les services touchant la petite enfance en milieu minoritaire.
12 octobre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (34532)/Commentaires ()/
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L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

L’École Beau Soleil de Gravelbourg: 25 ans d’existence

Lors du passage de la tournée « Mon enfant, mon engagement » de l’Association des parents fransaskois, je regardais les gens dans la salle pour constater que nous n’étions que deux à avoir connu la saga de la mise sur pied de l’École Beau Soleil à Gravelbourg.

 

 

3 octobre 2016/Auteur: Michel Vézina/Nombre de vues (31787)/Commentaires ()/
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Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Les tribunaux pour morceler le Protocole des langues officielles dans l’enseignement?

Trois organismes ont réclamé mi-septembre la modernisation des ententes nationales en éducation qui lient le fédéral et les provinces. Ils demandent la création d’un protocole additionnel tripartite pour la gestion des fonds fédéraux destinés à l’enseignement en français, langue maternelle. 

1 octobre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (35390)/Commentaires ()/
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Santé mentale à l’école

Santé mentale à l’école

Accepter de partager ses états d’âme est difficile quand on souffre

Le phénomène est répandu : des enfants en retrait ou agressifs qui dérangent. On ne sait pas comment les aider, on les écarte, on les stigmatise et les relations se détériorent. La santé mentale n’est pas perçue comme un problème de santé ordinaire.


27 septembre 2016/Auteur: Anonym/Nombre de vues (32608)/Commentaires ()/
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Quand sommeil rime avec problème

Quand sommeil rime avec problème

20h : voici le moment tant redouté du coucher. « Est-ce que Capucine va encore crier de longues minutes avant de s’endormir ? », « Combien de fois Lucas va-t-il se réveiller cette nuit ?  « Je suis épuisée au travail, physiquement et nerveusement. »

15 septembre 2016/Auteur: Sandra Hassan Farah /Nombre de vues (44788)/Commentaires ()/
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Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Nouvelle année scolaire et nouveau plan stratégique pour le CÉF

Le Conseil scolaire fransaskois (CSF) veut arrimer le nouveau plan stratégique 2016-2021 du Conseil des écoles fransaskoises (CÉF) avec les écoles fransaskoises et la communauté.
7 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (31913)/Commentaires ()/
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Regard sur le modèle scolaire finlandais

Regard sur le modèle scolaire finlandais

La Finlande, jadis premier de classe, dégringole en éducation

Cet article vous propose ce que l’on peut importer de ce système scolaire du pays de Nokia, dans le nord de l’Europe, qui a aboli l’école privée en 1970.

6 septembre 2016/Auteur: Marie-Jacquard Handy, orthopédagogue/Nombre de vues (29365)/Commentaires ()/
Catégories: Éducation
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Français, littérature et décrochage universitaire

Français, littérature et décrochage universitaire

Entretien avec l’auteur Paul Savoie

L'auteur Paul Savoie a accepté de partager sa vision de la dimension francophone dans le monde de l’enseignement et de l’édition.

5 septembre 2016/Auteur: Jean-Pierre Picard/Nombre de vues (29175)/Commentaires ()/
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Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

Démission d’André Denis du CSF: « Je voulais du renouvellement»

André Denis, ancien président du Conseil scolaire fransaskois (CSF), affirme avoir démissionné de son poste de conseiller, le 10 juillet dernier, après neuf ans et demi d’implication, à cause de la réembauche de Bernard Roy comme directeur de l’éducation du Conseil des écoles fransaskoise (CÉF).
2 septembre 2016/Auteur: Pascal Lévesque/Nombre de vues (33290)/Commentaires ()/
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De la France à la Saskatchewan, une histoire familiale par-delà l’Atlantique

De la France à la Saskatchewan, une histoire familiale par-delà l’Atlantique

Auteur: Lucas Pilleri/22 octobre 2023/Catégories: Société, Histoire et patrimoine

Dans un voyage qui mêle les liens du sang à la découverte de la Saskatchewan, le généalogiste français David Albert-Brunet a fait la rencontre de ses cousins éloignés. Descendant de pionniers des Prairies, le passionné d’histoire espère ainsi enrichir une histoire familiale déjà bien riche.

Arrivés en Saskatchewan le 27 septembre, David Albert-Brunet et cinq autres membres de sa famille, tous originaires de la Vienne, une région de l’ouest de la France, ont réalisé un tour de la province, accueillis notamment à Fort Qu'Appelle chez l’un de leurs cousins canadiens.

Cette visite marquait la deuxième fois du généalogiste en terre canadienne, un choix dicté par sa quête continue d’alimenter ses recherches. « Je veux compléter l’histoire familiale, dit-il. C’est une histoire passionnante. »

Une histoire de famille

C’est en 1895 que le destin de la famille française Autet, les ancêtres de David Albert-Brunet, se mêle à celle de l’Ouest canadien.

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Une cousinade organisée en 2015 par l’Association des descendants de Charles dit Pierre Authé et Jeanne Bassereau a rassemblé plusieurs centaines de personnes. Crédits : Courtoisie de David Albert-Brunet

À cette époque, nombreux étaient les Français à partir à la conquête de la Nouvelle-France et de l’Ouest canadien, poussés par la Société d’immigration française de Montréal qui souhaitait faire opposition à la présence anglophone.

« Tout un réseau de monarchistes et catholiques français prêchait le départ de la France et l’installation dans ce jeune pays qu’était le Canada, vendu comme la Terre promise du cultivateur », écrit David Albert-Brunet dans son mémoire d’étude.

Le principal instigateur de ce réseau est alors le Français Auguste Bodard, secrétaire général de la Société d’immigration française, qui fonde le village de Domrémy, au nord-est de Saskatoon, en 1894.

Ainsi les Autet quittent leur petit village de Sammarçolles, dans la région de Poitiers et, après 13 jours de traversée, s’installent à Domrémy, attirés par « les promesses mirifiques d’obtenir des terres », note le descendant.

Ce sont 64 hectares, précisément, que les Français obtiennent. Le tout, « en échange de 10 dollars dans le cadre de la loi sur les homesteads ».

Un changement de vie considérable pour ceux qui possédaient seulement 1,93 hectare dans leur village d’origine. « Rien d’étonnant donc que la famille soit partie à l’autre bout du monde ! », commente le généalogiste.

Après quelques années difficiles, la famille finit par faire fortune. « Ils avaient une ferme agricole, la grand-mère avait ouvert son atelier de couture, le fils Arthur avait ouvert son entreprise de forgeron, sa femme était cuisinière, ils faisaient aussi de la maçonnerie, du travail dans les chemins de fer… Ils n’ont pas beaucoup chômé ! », souligne David Albert-Brunet.

Connaître ses racines

L’homme de 41 ans, généalogiste professionnel, documentaliste et archiviste, est en train de constituer le grand livre de sa famille, un document qu’il envisage de présenter comme thèse universitaire, peut-être à l'Université de Regina.

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David Albert-Brunet (en blanc, au premier plan) et des membres de sa famille ont visité les locaux de la Cité universitaire francophone de Regina. Crédits : Courtoisie de David Albert-Brunet

D’ailleurs, lors de son séjour, David Albert-Brunet en a profité pour visiter les locaux de la Cité universitaire francophone à Regina, où il a été reçu par la doyenne associée Sophie Gaudet et le professeur d’histoire Michael Poplyansky.

« Ils voulaient savoir dans quel contexte on venait en Saskatchewan. Je n’ai parlé à peine qu’une heure, ce qui est rare me connaissant ! »

Intéressé, Michael Poplyansky a même sollicité une présentation vidéo pour sa classe sur la migration des Poitevins au Canada. « Il m’a dit que la présentation devait durer une heure, mais je sais déjà que je vais dépasser ! Il y a tellement de choses à dire ! »

Si le Français est intarissable sur le sujet, c’est qu’il a entrepris des recherches depuis son plus jeune âge. Ainsi sa visite dans les Prairies concrétise-t-elle un rêve nourri depuis des décennies.

« J’ai l’impression d’être dans un nuage, dit-il. Depuis ma tendre enfance, j’ai l’idée de cette province de la Saskatchewan, j’ai commencé des recherches à l’âge de 10 ans et j’espérais y aller un jour. À cet âge, quand on vous annonce que vous avez de la famille au Canada, c’est impressionnant ! »

Se retrouver

Pour documenter ses recherches, le passionné a créé une association familiale en France, l’Association des descendants de Charles dit Pierre Authé (1809-1871) et Jeanne Bassereau (1810-1871) : de la France vers le Nouveau Monde, une organisation qui a joué un rôle central dans les retrouvailles entre cousins des deux côtés de l'Atlantique.

Petit à petit, grâce aussi aux médias sociaux, le réseau familial s’est élargi, rassemblant plusieurs centaines de cousins.

« Ça a donné envie à beaucoup de partir au Canada, précise David Albert-Brunet. Au début, une cinquantaine de personnes étaient intéressées, et je me suis dit ‘mon Dieu, on va avoir du mal !’ Mais finalement, on était 16 lors de notre premier voyage en 2013, ce qui était déjà difficile à organiser. »

Une riche visite

Le voyage du groupe en Saskatchewan ne s’est pas limité aux réunions familiales. Ponctué aussi de visites culturelles, il a permis de mieux connaître la réalité de ces descendants qui, au fil des années, ont évolué en milieu minoritaire, voyant peu à peu la langue de Molière disparaître au profit de celle de Shakespeare.

« Je suis content de voir que certains descendants se remettent à la langue maternelle du français. Quand j’ai lancé l’association familiale, l’idée était aussi qu’on puisse progresser dans la langue de l’autre entre cousins », indique celui qui se débrouille très bien en anglais.

Pour autant, les descendants saskatchewanais ne sont pas nécessairement au courant de cette riche histoire familiale.

« C’est un peu moi qui leur apprends, reconnaît le documentaliste. Les anciennes générations connaissaient l’histoire, mais il faut le faire découvrir aux nouvelles générations. »

Ce rôle de passeur, le généalogiste l’endosse avec plaisir. « Pour faire de l’histoire, il faut savoir comment vivaient les gens et il faut travailler sur le fond de la vie d’une famille, comprendre la réalité des faits et pas seulement une conception intellectualisée de l’histoire », avance-t-il.

Et de conclure : « Les universitaires en France méprisent souvent la généalogie. À tort, car elle peut régler beaucoup de problèmes de recherche historique. »

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Lucas Pilleri

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 - jeudi 26 décembre 2024